Aujourd’hui
nous aimerions porter votre attention sur l’énergie du moment. Il y a un grand
nombre d’entre vous qui êtes encouragés à vraiment contempler ce que vous
voulez créer à partir de maintenant; d’identifier clairement ce que vous VOULEZ
et ne voulez PAS créer. Et ce faisant, vous rencontrez le sentiment heureux de
faire confiance en votre capacité à créer la vie de vos rêves, pour ensuite
rencontrer les peurs et les doutes qui ont tourmenté votre esprit pendant des
années et qui disent que vous ne pouvez pas. “Pourquoi est-ce ainsi vous
demandez ? Qu’est-ce que je fais de mal ?” À cela nous sourions, puisque vous
n’avez rien fait de mal, vous êtes simplement en train de vous rappeler comment
voler. Vous voyez, vous intégrez de nouvelles croyances qui disent que vous
êtes capables de créer et de manifester n’importe quel désir, tout en essayant
de libérer les peurs et les doutes qui disent que vous ne pouvez pas et vous
vous assoyez en équilibre précaire, prêts à prendre votre envol jusqu’à ce que
la peur de tomber se présente.
Ce titre un peu provocateur a été choisi intuitivement pour montrer que tout le monde est issu de cette conscience Une et par conséquent que chacun est potentiellement capable de devenir autonome et co-créateur conscient de sa vie. Tout est question de perspective…
jeudi 28 août 2014
« Les rencontres sont toutes programmées » par Joéliah, avec une très large intro perso...
auteur non cité |
J’ai dû être enseignée cette nuit parce que je me sens
bizarre ! J’ai juste envie de me laisser porter par la grâce. L’expérience
amoureuse de ces derniers mois, m’a révélée beaucoup de choses à propos de mes croyances
et aussi de l’amour vrai de soi, de la force que ça procure. J’ai bien quelques
douleurs au niveau du cœur parce que je ressens toujours de l’amour pour cette
personne mais comme l’amour de soi est primordial et que j’arrive enfin à le
vive, à le vibrer de l’intérieur vers l’extérieur, de mon cœur, mes mains, à
mes corps subtil et physique, ça relativise beaucoup la situation. D’autant
plus que je fais totalement confiance à la vie et que rien n’est jamais
définitif. Je ne veux plus exercer de contrôle, ou du moins essayer de le
faire, sur les événements de ma vie. Ce qui est relatif au cœur ne peut pas s’expliquer
ou se comprendre par le mental. Je sens bien que depuis le début, tout est
orchestré d’en haut mais je ne cherche plus à savoir si c’était une relation karmique
de guérison, une flamme jumelle…
Tout cela n’a plus de raison d’être, ce qui compte, c’est
le présent, la façon dont je vis cette séparation. Comment je me sens ici et
maintenant. Et bien le bilan est positif ! Non seulement j’ai « gagné »
en amour de soi et en confiance en soi et en la vie mais en plus, j’ai guéri
beaucoup de blessures du passé. Et le plus important, c’est que j’ai suivi mon cœur
et me suis enfin autorisée à aimer, à sortir de ma zone de confort en faisant
confiance à mon ressenti, pour vivre pleinement cette expérience. J’aurais aimé
mieux faire mais comme on ne peut pas changer ce qui est, et que je fais toujours au mieux selon les
circonstances. Oui, je sais, je répète souvent cette phrase mais c’est
volontaire, c’est pour que ça rentre !
"LE SENS CACHE DES DÉPENDANCES" par Olivier Soulier
Maria Lucia Art |
Avant d’être vécue comme une difficulté, la dépendance
constitue en premier lieu une phase physiologique normale du développement de
l’être humain. L’œuf nouvellement fécondé, l’embryon, puis le petit enfant
ne pourraient survivre si l’extérieur ne lui prêtait des moyens matériels,
alimentaires et affectifs. Nous utilisons ces aides pour nous constituer.
La dépendance est donc au départ une nécessité et une bonne
chose. L’extérieur pallie notre absence de moyens. Nous sommes donc au départ,
dépendants, par la force des choses !
Le chemin de notre vie sera longtemps un chemin
d’autonomie. C’est-à-dire un chemin pour apprendre à trouver en nous ce qui au
départ nous venait de l’extérieur. Passer d’une dépendance nécessaire à une
autonomie voulue et gagnée sur la vie : l’histoire fait fondamentalement partie
de notre chemin d’apprentissage.
Tout au long de ce chemin vont se présenter de nombreux
écueils parmi lesquels nous trouvons les drogues. Elles sont le plus souvent
des substituts ou des déplacements à des dépendances non résolues.
En explorant le chemin de nos dépendances, nous visiterons
les phases mal ou incomplètement vécues de notre existence. Quitter nos
dépendances, c’est se libérer pour trouver pleinement le sens et les moyens de
notre vie.
Commençons par revisiter notre histoire afin d’y découvrir
de nombreux mécanismes intimes des dépendances.
"Nouveau message de Marie" via Monique Mathieu
Emmanuel Dagher |
15/08/2014
Je perçois une forme magnifique. Elle me dit :
« Beaucoup d'êtres humains m'ont priée
aujourd'hui, et mon énergie, ma vibration qui se diffuse et qui peut aller très
rapidement d'un lieu à un autre, est essentiellement tournée vers tous les
hommes, même ceux qui ne me prient pas, parce que j'ai un immense Amour pour le
peuple de la Terre dont j'ai fait partie, notamment dans une de mes nombreuses
incarnations.
Vous avez bien sûr deviné qui je suis. Je suis celle
que vous avez appelée Marie.
A vous que j'aime infiniment, j'aimerais dire que je
ne suis d'aucune religion. Ne me mettez pas d'étiquette ! J'ai vécu
sur Terre, j'ai accompli ma merveilleuse mission, et maintenant je suis
ailleurs. Je peux être sur les vaisseaux, je peux être sur d'autres mondes,
mais je continue de temps en temps sur la Terre et de temps en temps ailleurs
le travail que j'ai commencé et déjà continué sur ce monde.
Il y a deux mille ans, j'ai laissé mon empreinte
vibratoire sur la Terre car il devait en être ainsi ; il fallait que je
sois un être de ralliement. Moi, comme mon Fils, avons été missionnés pour
cela. Dans l’Énergie, l'Amour et la Connaissance qui furent les miennes, j'ai fédéré
beaucoup d'êtres qui se sont ouverts.
Il y a eu beaucoup de sacrifices au nom d'une
religion ! On ne tue pas, on ne détruit pas au nom d'une religion !
mercredi 27 août 2014
"Rediffusion de la vibra-conférence avec Conrad"
auteur inconnu |
La vidéo de la rediffusion de la Vibra-conférence avec "Conrad"que j'ai découvert au fil de mes balades sur le Net et qui m'a stupéfaite par le discours tout à fait en accord avec ce que je pense! Il s'adresse à tout le monde et pas seulement à quelques initiés, il a une façon simple et logique de dire les choses. C'est utile parfois d’entendre un rappel de sa foi dans la bouche d'un autre. Non pas que j'aie besoin d 'être convaincue puisque je ne doute absolument pas du fait d'être un humain divin mais pour amplifier la foi par l'écho, l'échange énergétique, le fait d'être sur la même longueur d'ondes. Internet est idéal pour ça. Mon ami me reprochait de ne pas aller vers les gens mais je n'ai aucun intérêt à les voir se prendre à leurs jeux. Très peu de gens sont authentiques, dans le vrai sens du terme, comme le dit Marianne Woodman, l'origine du mot étant "auteur", cela sous-entend d'être créateur de sa vie. D'être conscient de qui on est en réalité, côté obscur comme lumineux. Ici, je peux être moi-même et rencontrer des gens même si c'est virtuel, qui sont sur la même fréquence, avec les mêmes valeurs, le même objectif; être soi et heureux. L'anonymat de la toile favorise la sincérité, on peut se "dévoiler" sans trop prendre de risque. On se "protège" derrière un pseudonyme et le tour est joué. Certains en abusent mais dans le lot, il y en a qui profite de cette opportunité d'être vrai, soi-même.
Finalement les quelques personnes avec je suis en affinité et que j'ai rencontrées sur la toile, restent des amis de cœur, des âmis. Malgré la distance qui nous sépare et le fait de ne pas se voir, se toucher, on va très loin dans les confidences et ça fait un bien fou. On "s'entraine" à être soi, sans craindre d'être critiqué, jugé, on ose parler de notre foi sans complexe, comme quelque chose de naturel, évident. Mon compagnon a apprécié aussi son discours et sa façon d'exprimer les choses. Bon je me réécoute la vidéo...
"Le pouvoir du féminin", selon Marion Woodman
Spirithorse |
Nous avons inventé la roue, déchiffré le code de
l’ADN…
Quelle sera la prochaine étape pour l’humanité ? Marion Woodman,
analyste jungienne, pionnière et auteure de dix livres, pense que les individus
et les sociétés sont destinés à évoluer. Et le meilleur moyen pour évoluer
serait d’amener le féminin dans notre culture. Le texte qui suit est tiré d’une
interview réalisée avec Marion Woodman.
« Quand je parle du «
féminin », je ne parle pas de genre. Je parle du principe féminin qui est
vivant et actif — ou réprimé — à la fois chez l’homme et la femme. Le principe
féminin essaie de se relier. Au lieu de diviser les choses, il dit : en quoi
nous ressemblons-nous ? Comment pouvons-nous établir des liens ? Où est l’amour
? Peux-tu m’écouter ? Écoutes-tu vraiment ce que je dis ? Me vois-tu ? Te
soucies-tu de me voir ou pas ?
C’est une question d’une grande importance, et il est difficile de parler du féminin parce que très peu de gens en ont fait l’expérience. Le féminin est présence, et relation, c’est une ouverture du cœur qui fait que lorsque vous rencontrez une autre personne vous voyez réellement sa véritable essence. Quel est le sens de la vie si personne ne vous a jamais vu ?
Je ne peux pas vous dire le nombre de personnes — hommes et femmes — qui ont pleuré dans mon bureau en disant : "Personne ne m’a jamais vu(e). Personne n’a jamais pris le temps de m’écouter. Je ne suis pas digne d’être aimé(e)", une des expressions les plus tristes de la langue. Parfois, un flot de sentiments m’envahit, je tends la main et ils disent : "Ne me touchez pas. Je suis indigne d’amour." Et ils le pensent. Dans l’enfance, cette personne a été élevée dans un lieu où le féminin n’était pas présent. Pour comprendre, il vous faut avoir expérimenté le féminin.
C’est une question d’une grande importance, et il est difficile de parler du féminin parce que très peu de gens en ont fait l’expérience. Le féminin est présence, et relation, c’est une ouverture du cœur qui fait que lorsque vous rencontrez une autre personne vous voyez réellement sa véritable essence. Quel est le sens de la vie si personne ne vous a jamais vu ?
Je ne peux pas vous dire le nombre de personnes — hommes et femmes — qui ont pleuré dans mon bureau en disant : "Personne ne m’a jamais vu(e). Personne n’a jamais pris le temps de m’écouter. Je ne suis pas digne d’être aimé(e)", une des expressions les plus tristes de la langue. Parfois, un flot de sentiments m’envahit, je tends la main et ils disent : "Ne me touchez pas. Je suis indigne d’amour." Et ils le pensent. Dans l’enfance, cette personne a été élevée dans un lieu où le féminin n’était pas présent. Pour comprendre, il vous faut avoir expérimenté le féminin.
"La pédagogie Montessori c’est quoi ?" par Anne-Laure Vaineau
Sculpture de Jurga |
Favoriser la confiance en
soi, l’autonomie, tout en permettant à l’enfant d’évoluer à son propre rythme
et en toute liberté. Telles sont les promesses de la pédagogie Montessori, que
certains jugent trop débonnaire et permissive. En quoi consiste ce mode
d’éducation qui se veut placer l’enfant au centre de la pédagogie ? Éléments de
réponses avec Charlotte Poussin, éducatrice et directrice d’une école
Montessori.
Sommaire
- Les principes de la pédagogie Montessori
- Montessori : des écoles hors-normes
- 3 questions à…
« L’enfant n’est pas un vase que l’on remplit, mais
une source que l’on laisse jaillir. » Telle est la philosophie de l’éducation
de Maria Montessori, première femme médecin d’Italie, dévouée à la cause des
enfants. « Éduquer, ce n’est pas dresser » prône celle qui, en janvier 1907
ouvre la première Maison des enfants (Casa dei Bambini en italien).
Sa
révolution ? Mettre à la disposition des écoliers un matériel adapté, mais
surtout, les laisser libres de choisir eux-mêmes les activités qu’ils
souhaitent faire, pendant le temps qu’ils le désirent. Elle constate alors,
avec surprise, que les tout-petits (dès trois ans), sont capables de faire
preuve d’une concentration et d’une autodiscipline inattendues. C’est ainsi que
nait la pédagogie Montessori : dès lors que l’enfant se trouve dans un
environnement propice, accompagné par un éducateur qui s’adapte à lui et le
stimule, l’enfant apprend par lui-même, à son rythme. Un siècle plus tard,
cette méthode a fait de nombreux adeptes à travers le monde et plus de 20 000
écoles ont ouvert leurs portes. Mais pour les montessoriens, la France et ses
quelques cent écoles, reste à la traîne. À ce jour, l’Education nationale
refuse de valider une telle pédagogie, contraignant les établissements à se
développer en marge du système public.
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