En
ce moment, les situations et l’effet pleine lune font émerger les pensées
émotions qui maintiennent en place les croyances invalidantes qui continuent de me maintenir dans l'illusion du rôle de la victime.
L’amour lumière, le retour au cœur est l’acte qui
permet de guérir ces blessures ou de se libérer des archétypes mais ça demande
une confiance totale en ce processus.
Parce qu’il est clair que lorsque les
stratégies s’enclenchent automatiquement puisqu’elles sont inconscientes, il faudra de la patience afin de trouver la clarté, de
comprendre ce qui se joue en soi.
La
transparence et le désir de vérité, de savoir reconnaitre ce que nous portons
et de vouloir tomber les masques, sont indispensables au processus de guérison
ou de désidentification des rôles.
Le
réflexe conditionné consiste à projeter vers l’extérieur nos peurs, nos
croyances, nos frustrations, nos attentes et tant qu’on n’en prend pas
conscience, on sera soumis aux mouvements douloureux internes, à la peur et la
culpabilité, aux croyances basées sur la notion de séparation et de manque.
Le désir de savoir, de s’éveiller, est souvent une projection de
notre mal-être qui se manifeste par la recherche de sens. C'est une dynamique intéressante mais elle nous éloigne de notre centre, de notre propre vérité si on se tourne vers les
autres, vers ceux qu’on pense être éveillés alors que la connaissance est
intérieure.
Elle n'est pas intellectuelle mais vibratoire.
Elle n'est pas intellectuelle mais vibratoire.
Désirer ardemment lâcher les rôles demande d’être conscient de tous
les schémas automatiques et de changer notre façon de voir ces pensées émotions
qu’on a pris l’habitude de refouler ou au contraire auxquelles on s'accroche.
C’est tout le mode de fonctionnement interne qui demande d’être vu et lâché mais ça ne se fait pas simplement en devenant conscient des rôles qu’on a endossés ou du fait d’être enfermé dans le triangle de Karpman, les rôles de victime, de bourreau et de sauveur.
Ça demande
de la foi et de la persévérance puisque ces pensées émotions qu’on a toujours
refoulées, refusé de voir en face et de ramener au cœur, sont intenses au
niveau énergétique et la tendance à projeter vers l'extérieur ce qui est en soi est douloureux va perdurer. Même quand on se sent à l'aise dans le rôle de bourreau on sera nécessairement victime un jour ou l'autre. Et si on s'identifie au sauveur, on se place en victime quand l'autre ne suit pas nos conseils, en persécuteur quand on veut à tout prix le changer ou obtenir sa reconnaissance, et ainsi être aimé.
L'amour vrai n'exige rien de l'autre, il est en plus impersonnel, il vibre à l'intérieur et s'exprime par un manque à combler jusqu'à se qu'on s'autorise à s'aimer en vérité, tel que nous sommes dans l'instant et à confier à l'amour lumière en soi le soin de rétablir l'équilibre intérieur. L'amour se manifeste et circule librement à l'intérieur lorsqu'on s'ancre dans la paix et le silence du cœur. Lorsqu'on va au-delà des masques et conditionnements. Au-delà des croyances.
L'amour vrai n'exige rien de l'autre, il est en plus impersonnel, il vibre à l'intérieur et s'exprime par un manque à combler jusqu'à se qu'on s'autorise à s'aimer en vérité, tel que nous sommes dans l'instant et à confier à l'amour lumière en soi le soin de rétablir l'équilibre intérieur. L'amour se manifeste et circule librement à l'intérieur lorsqu'on s'ancre dans la paix et le silence du cœur. Lorsqu'on va au-delà des masques et conditionnements. Au-delà des croyances.
Reconnaitre
ces blessures, admettre qu’on les porte, et désirer lâcher les rôles ne suffit
pas bien que ce soit indispensable. Et même quand on fait confiance à la source
en soi, à la puissance de l’amour lumière, le moment où l’émotion surgit place
le mental dans la confusion. Une lutte entre le mental et l'inconscient peut s'installer.
Tant qu’on essaie de guérir la blessure par la
compréhension de ces schémas inconscients, rien ne va changer véritablement
parce qu’alors, on est encore dans le contrôle, le vouloir, on tente de changer
en force ce qui demande à être vu avec les yeux du cœur, avec compassion.
Par expérience, je constate que ça n’est qu’en laissant la pensée et l’émotion s’exprimer sans jugement que peu à peu les réflexes conditionnés, les stratégies sont abandonnées.
Le jugement va s’exprimer naturellement puisque l’inconscient et
la conscience basée sur les anciennes croyances, sur la notion arbitraire de
division, de rejet, de bien et de mal, ont décidé qu’il était inapproprié d’exprimer la colère, la
peur, qu’il valait mieux s’attacher aux émotions et pensées positives si on veut être aimé ou au moins ne pas être rejeté.
C'est sûr que si on projette nos pensées émotions sur les autres, ça ne résout rien mais si on les refoule ou si on s'interdit de les vivre, on reste soumis aux jeux de rôles, aux manipulations internes et externes.
C'est sûr que si on projette nos pensées émotions sur les autres, ça ne résout rien mais si on les refoule ou si on s'interdit de les vivre, on reste soumis aux jeux de rôles, aux manipulations internes et externes.
Tant qu’on
considère les choses selon le concept de dualité, on perpétue le mal-être, le
déséquilibre, la division interne et les stratégies tout autant que les rôles.
On ne peut pas
empêcher le jugement, le fait que le mental refoule les émotions mais on peut
revenir à la neutralité, choisir de laisser la source en soi mettre de l’ordre,
rétablir l’harmonie, l’équilibre.
En
acceptant le fait que le mental n’ait pas le pouvoir de guérir les blessures, en
confiant à la source chaque pensée émotion qui s’exprime de façon spontanée tout
en sachant que c’est l’expression du passé, que ces énergies ne nous
définissent pas, peu à peu, on se détache de ces phénomènes, de ces mouvements
internes.
En se rappelant que c’est en revenant à la paix du cœur qu’on cesse
de nourrir les blessures, les stratégies et les croyances invalidantes basées
sur l’idée de séparation, peu à peu, le mental intervient de moins en moins. Il ne cherche plus à résoudre quelque chose qui le dépasse, il s'abandonne en confiance à la source intérieur en focalisant l'attention à l'intérieur.
Il
est difficile d’imaginer que lorsqu’une émotion qu’on a toujours réfrénée s’exprime,
on est précisément dans le processus de libération et pourtant, c’est le cas.
Ce qui libère, c’est le fait de projeter cette énergie en direction du cœur, du
centre, plutôt que vers l’extérieur.
La
projection mentale est une stratégie qui vise à se libérer de l’émotion mais
elle ne fait que nourrir les jeux de rôle, le sentiment d’impuissance et de division interne tout en ravivant la blessure de rejet, de trahison, d'injustice, de séparation et d'isolement.
On
projette lorsqu’on accuse les autres, les circonstances ou soi-même, d’avoir
agit d’une façon qui ne correspondait pas à nos attentes. Les attentes, les projections, lorsqu'on croit manquer d'amour ou quand on ne l'a pas trouvé en soi, sont l'expression de la peur, de l'ignorance, du rejet de soi, des aspects internes en souffrance.
Lorsqu’on se rend compte qu’on agit selon une stratégie, qu’on joue un rôle, qu’on projette notre mal-être sur les autres et quand on veut s’en libérer, le réflexe premier sera de s’accuser, de s’en vouloir. Parce qu'on pense inconsciemment ou consciemment que l'amour est à l'extérieur, qu'on doit le gagner, le mériter, l'obtenir de la part des autres.
L’être
véritable n’est pas une construction mentale, un modèle idéalisé par des
concepts intellectuels ou spirituels. Il se révèle au-delà, à travers les jeux
de rôles et ça n’est qu’en laissant le cœur harmoniser les énergies, alchimiser
les énergies des rôles, des archétypes, qu’il émerge peu à peu.
L’être
véritable est avant tout l’essence divine, la vibration de la source, de la
paix, de l’unité, de la liberté d’être, de la joie de vivre. Ce ne sont pas des
concepts mais un état d’être général. C'est un ensemble de fréquence qu'on apprend à laisser émerger et à vivre à l'intérieur.
Revenir
au centre et focaliser son attention sur le désir de paix et d’unité intérieure
peut demander beaucoup de foi et de courage par moments. Et la paix peut tarder
à se manifester mais lorsqu’elle revient, on sait qu’on a fait le bon choix
même si ces processus internes nous dépassent.
En maintenant ce choix de vivre
dans la paix et l’unité intérieure alors même que les pensées émotions sont
chaotiques, alors même que la colère, la peur ou la culpabilité s’expriment, la
foi et le sentiment de puissance augmentent.
La puissance d’aimer, de voir et d’accueillir
les pensées émotions de l’enfant en soi, ces pensées qu’on a refoulées pour
jouer les adultes, les êtres éveillés ou les sages.
A mon sens, la sagesse
véritable réside dans le fait de savoir que la source est l'unité, la paix, la lumière et amour et
que les croyances ou concepts intellectuels ne peuvent pas vraiment concevoir
ce qu'est le divin.
La
foi c’est quelque chose qu’on ressent, qu’on pressent et qui dépasse l’entendement.
Plus on croit savoir ce qui concerne le divin, plus on tente de conceptualiser
l’infini, la source et plus on s’en éloigne.
En
ce sens les sites qui parlent de l’astral, de l’éveil, des anges, des
archanges, peuvent nous éloigner de la vérité de l’être dans la mesure où ils
expriment un point de vue subjectif, une expérience particulière. Cela ne veut
pas dire non plus que leur vision est fausse ou à rejeter mais plutôt que rien
ne remplace le face à face honnête avec soi-même.
Une
autre chose à savoir, c’est qu’au niveau de l’énergie, de la source et de l’âme,
il n’y a pas de séparation, ce qui veut dire que le fait de contenir ou de
refouler une pensée ou une émotion difficile nous connecte aux êtres, aux entités, aux
personnes qui entrent en résonance ou qui sont sur la même longueur d’ondes. La
fréquence de conflit, de rejet, de jugement, d’accusation qui se propage de par
notre résistance vers l’extérieur, nous connecte aux mondes divisés, aux
entités qui se nourrissent des énergies de souffrance, d’ignorance, de peur.
On le voit au niveau des jeux de rôles des humains, dans la recherche de sauveur, le besoin de reconnaissance extérieure, les nombreuses manipulations qui s’exercent de façon inconsciente mais aussi consciemment. Certaines personnes sont tellement dans la souffrance, le refoulement, le déni de leurs blessures et la peur de les affronter, qu’elles vont trouver une forme de réconfort, de plaisir même, dans le fait de dominer, de manipuler, parce que ça leur donne un sentiment de puissance.
Les
dirigeants, les gens de pouvoirs, les bourreaux, les manipulateurs pervers, ont
développé une intelligence mentale par désir de vengeance. Ce qui au départ est
une blessure profonde qui demande réparation, nourrit la haine et l’esprit de
vengeance.
Ils ont été tellement blessé dans leur amour propre que la seule
façon d’obtenir un soulagement, une forme de réparation, c’est de faire
souffrir à leur tour, de prendre plaisir à persécuter les autres.
C’est clair que c’est un cercle infernal puisqu’il n’y a pas de guérison possible et au contraire, ils sont obligés de s’insensibiliser toujours plus pour ne pas ressentir la souffrance qui grandit à l’intérieur, pour ne pas culpabiliser puisqu'une part d'eux-même sait que ce comportement est injuste et destructeur. Ils sont à la fois bourreau et victime en niant leurs blessures.
Le sentiment de puissance vient aussi du fait que des énergies extérieures, des entités qui vibrent sur ces fréquences de haine, de vengeance, vont amplifier l’intensité des sensations.
Les pensées émotions déjà extrêmes vont amener l’individu à être
manipulé par ces propres blessures et par les énergies des égrégores
correspondants.
La notion de culpabilité va s’ajouter parfois mais dans le
cycle infernal de la vengeance, elle amènera encore plus de conflit interne, de
besoin de s’insensibiliser.
On
ne peut pas trouver le bonheur en se coupant de son cœur, de son ressenti ou en
manipulant les autres parce que tout ce qu’on projette vers l’extérieur nous
revient multiplié.
Les
rôles qu’on joue et qui nourrissent les blessures internes nous éloignent de
notre cœur mais d’un autre côté, ce sont des outils de connaissances.
Quand
on apprend la valeur du pardon, en choisissant l’amour plutôt que la haine ou
la vengeance, la victime qu’on a été aura tendance à chercher un sauveur à l’extérieur
mais elle attirera tour à tour le sauveur et le persécuteur jusqu’à ce qu’elle
comprenne le pouvoir de l’amour véritable. Jusqu’à ce qu’elle comprenne que l’amour/puissance
est à l’intérieur et qu'il se cultive dans la relation à soi avant tout. Jusqu'à ce qu'elle décide de laisser la source rétablir l’équilibre et l’harmonie
en lui offrant toutes les pensées difficiles de la victime.
Les
blessures d’enfance amènent à élaborer différentes stratégies qui visent à se
couper de la souffrance mais elles ne mènent jamais à la guérison, à la
délivrance ni au bonheur. Même le rôle de sauveur n'est pas ce qui peut conduire au bonheur puisque le sauveur a des attentes et projette ses manques sur l'autre espérant recevoir la gloire pour son comportement exemplaire. Tant qu'on agit pour recevoir une récompense, on ne peut pas parler d'amour ou de don.
Chaque calcul mental, stratégique est une version faussée de l'amour, ce n'est pas son expression mais celle du manque dissimulée derrière le don.
Le véritable don vient du cœur de l'être, il est spontané et vient de la paix, de la joie d'être, il découle de la sensation interne de paix et de complétude. Il est cette offrande continuelle à la Source par le retour au cœur, par le fait de porter l'attention sur l'essence de l'être. Il s'exprime en étant juste soi-même, entier, en paix, et très souvent on ne se rend même pas compte qu'on a fait du bien à l'autre et on ne le cherche pas non plus. Comme le dit Deepak Chopra dans la première méditation de la série relative au bonheur, l'expression de l'être véritable, c'est la joie qui émane du cœur de l'être, c'est un don naturel tout comme le parfum qui émane de la fleur. Vous pouvez suivre ce programme qui commence aujourd'hui, à cette adresse: www.deepakchoprameditation.fr
Chaque calcul mental, stratégique est une version faussée de l'amour, ce n'est pas son expression mais celle du manque dissimulée derrière le don.
Le véritable don vient du cœur de l'être, il est spontané et vient de la paix, de la joie d'être, il découle de la sensation interne de paix et de complétude. Il est cette offrande continuelle à la Source par le retour au cœur, par le fait de porter l'attention sur l'essence de l'être. Il s'exprime en étant juste soi-même, entier, en paix, et très souvent on ne se rend même pas compte qu'on a fait du bien à l'autre et on ne le cherche pas non plus. Comme le dit Deepak Chopra dans la première méditation de la série relative au bonheur, l'expression de l'être véritable, c'est la joie qui émane du cœur de l'être, c'est un don naturel tout comme le parfum qui émane de la fleur. Vous pouvez suivre ce programme qui commence aujourd'hui, à cette adresse: www.deepakchoprameditation.fr
Plus
on est hypersensible, hyperémotif et plus on érigera de murs autour se son cœur,
de son ressenti. En voulant se protéger de cette façon, par des stratégies de
lutte, de manipulation, en portant des masques de victime de bourreau et de
sauveur, on attire des situations, des expériences douloureuses, afin qu’on
devienne conscient de qui nous sommes véritablement, au-delà de ces jeux de
rôles.
Et
quand on est conscient de cela, des stratégies et de la source en soi, dans
cette relation intime à la source, la confidence et l’offrande des pensées
émotions douloureuses à l’amour lumière intérieurs, les masques tombent peu à
peu.
A mesure qu’on nourrit la confiance en la source, qu’on reconnait la
guidance de l’âme et qu’on se tourne vers l’intérieur pour guérir les blessures
du passé, on apprend à rassembler ses énergies. On apprend à être dans le présent en ramenant son attention à l'intérieur.
Je
demande à mes corps de s’unir dans la paix, la fraternité, au mental d’offrir à
la source tout ce qui émerge en moi afin de ramener l’énergie au centre. C’est
une façon d’apprendre à préserver son intégrité tout comme le fait de se connecter
à l’âme et de capter les images qu’elle envoie, fortifie la confiance et le sentiment d'être accompagné, soutenu, guidé.
Même si c’est la vibration du cœur
et l’offrande ou le lâcher prise qui harmonise et unifie ce que je suis, le
fait d’orienter le mental et de choisir la paix y participe grandement.
C’est
là où se situe le pouvoir de la personnalité, dans le choix de revenir au
centre, d’abandonner le contrôle et de laisser faire l’amour lumière en soi.
On
ne peut pas savoir ce qui est juste d’un point de vue intellectuel et en ce
sens apprendre à faire confiance à la vibration de la source est nécessaire.
Reconnaitre et offrir à la source intérieure tout ce que nous ne voulons plus porter
et projeter vers l’extérieur est un choix qui permet d’élargir sa vision, de
voir avec les yeux du cœur. De se voir avant tout avec compassion, de ne pas
activer l’énergie du jugement, du rejet de soi qui maintiennent le conflit interne et la division. C'est ce don là, cet abandon à la source en soi qui est un présent pour soi et pour le monde.
Visualiser
une sphère dorée qui descend sur soi et qui vient rejoindre dans le cœur une
autre sphère argentée venant du cœur de la terre, peut aider à maintenir le
mental dans ce désir de paix et d’unité. Ceci dit, c’est une image qui m’est
venue spontanément et c’est peut-être pour cette raison que ça me calme ou que
ça m’aide à revenir mentalement à ce choix décisif.
L’âme
nous guide par toutes sortes de moyens, qu’ils soient visuels, par résonance,
par des symptômes physiques, par une phrase, une image qui a un impact fort sur
soi, une rencontre qui suscite des réactions positives ou négatives, elle nous invite à revenir au cœur pour y goûter la paix, à revenir au
présent et à constater qu’en cet instant, dans la paix du cœur, tout est bien dans cette vibration.
Depuis la sensation de paix intérieure, le comportement des autres n'a plus d'impact sur soi parce qu'on ne s'identifie plus aux rôles. La vision est neutre, on n 'est plus dans l'affect et le fait de revenir à la paix, à l'unité intérieure, suffit puisqu'il n'y a plus de résonance, d'attraction et donc de "ping pong".
Pour que les jeux de rôles cessent, il faut qu'un des protagonistes revienne à la paix du cœur non pas en soumission à l'autre mais dans la conscience que ce que nous vivons à l'extérieur est le reflet de ce que nous portons en nous. Et quand on revient à la paix, au centre, le jeu d'attraction des contraires est neutralisé.
La paix rétablie, l'ordre aussi, on laisse l'âme agir dans sa propre sphère et on se contente de s'occuper de soi, de son corps, de maintenir l'unité intérieure. Les manipulations des autres, qu'elles soient individuelles ou généralisées, invitent à accueillir les critiques internes, les jugements et l'incompréhension.
Les contrats d'âme concernent les âmes et il est inutile d'essayer de comprendre comment ça fonctionne puisque ce qui importe, c'est de capter le message essentiel, celui de revenir à la paix du cœur et ainsi de nourrir la confiance, la foi par la communion, la sensation d'unité ressentie.
L'énergie qui circule librement sera orientée dans l'élan spontané et joyeux à prendre soin de soi en premier, à être plus présent et responsable de son bien-être à chaque instant.
Lorsque le mental est confiant en la puissance de l'amour, il se met au service de la personne en se laissant guider par la source, il comprend ses limites mais aussi le potentiel de l'amour intérieur, de l'unité et de la confidence, la confiance envers la source.
La capacité de capter les visions et de se projeter dans l'avenir est utilisée pour nourrir les besoins essentiels de la personne afin de développer l'autonomie par l'union des corps et l'association de leurs compétences.
C'est une renaissance qui se réalise par des contractions, comme lors d'un accouchement et ces contractions, c'est le rassemblement des énergies troublées, orientées vers le cœur qui font émerger l'être véritable dans l'action juste et spontanée.
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l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog :
« Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr