Lorsqu’on
choisit de suivre son propre rythme, celui de son corps physique, de ses
besoins physiologiques, on s’affirme en tant qu’individu, on intégrer la liberté
d’être tout en se détachant de l’inconscient collectif. Il ne s’agit pas de
s’imposer mais d’apprendre à s’écouter en premier puis d’agir en conséquence.
On
s’identifie à la personnalité parce qu’on se fie aux regards extérieurs pour
savoir si on a de la valeur, on cherche des réponses au dehors, auprès de ceux
qui représentent l’autorité, le savoir, la connaissance.
Que ce soient les
parents, les enseignants, les toubibs, les politiques, les médias, les maitres
spirituels ou encore les êtres de lumière, on pense qu’ils savent ce qui est
bon pour nous. On se laisse définir par l’extérieur tout comme on s’identifie à
nos pensées émotions.
Pourtant on sait que des milliers de pensées nous
traversent chaque minute et que la plupart ne nous appartiennent pas. Même
celles qui viennent des programmes internes de survie et de prédation, sont
seulement des pensées réflexes, des pensées qui sortent de notre inconscient de
façon automatique.
Jésus
Christ l’a pourtant dit : « vous êtes le chemin, la vérité et la
vie ».
Nous sommes effectivement le chemin dans le sens où chacun est
unique, seul l’individu peut savoir ce qui est juste pour lui-même parce qu’il
est le seul à habiter le temple de chair et les corps subtils qui composent son
être.
Le positionnement individuel est une perspective unique, un point de vue
que nul autre ne peut avoir, connaitre.
Et c’est ce qui fait la beauté de
l’expérience humaine, cette diversité de point de vue.
Alors évidemment comme
la plupart s’identifie à un seul aspect de l’être et tente de coller à la
masse, d’agir de façon à ne pas faire de vagues, ceux qui sont conscient de
leur potentiel (humain ou spirituel) ont tendance à prendre le pouvoir et le monde est un vaste champ
de conflit permanent, d'inégalité, de domination et d'abus.
Plus on se projette mentalement et
plus on vit dans l’illusion, la séparation et le doute de soi. On ne peut pas
bâtir une vie en accord avec son âme en se référant à l’extérieur, en essayant
de rentrer dans le moule, de se conformer aux attentes des autres.
Le sentiment
de trahison va amplifier la blessure de rejet, de trahison, de séparation,
d’injustice.
Ainsi on est son propre bourreau, et en même temps la victime et
tout naturellement comme on pense que l’extérieur est responsable de notre
mal-être, on va chercher un sauveur.
Tant qu’on cherche un coupable, un
responsable de notre mal-être à l’extérieur, les parents, l’éducation, le
gouvernement, le conjoint, l’ami, l’ennemi…on se positionne en victime et on
attire tout naturellement des énergies, situations, personnes qui vont
confirmer notre pouvoir créateur.
La vie est juste et bien faite puisque nous
pouvons constater que notre fréquence attire ce qui est en résonance.
Alors
évidemment, quand on a une vie pourrie, on se dit que ça n’est pas possible,
qu’on ne peut pas se créer des situations si difficiles et pourtant, on peut
vérifier avec du recul que c’est la réalité.
Selon notre état d’esprit, tout se
conforme à notre vision. Et ces vibrations qui émanent de notre inconscient
sont la conséquence de notre ignorance et de l’identification aux pensées
émotions qui une fois encore ne sont que des énergies qui obéissent à un
programme interne inconscient, basé sur la survie.
Aller
à la rencontre de soi-même simplement en ayant l’intention de connaitre la vérité, va activer la lumière intérieure et
on saura que nous agissons par automatisme selon des programmes de survie, que
la plupart de nos comportements sont définis par eux.
Quand on peut voir un
schéma récurent se manifester dans notre vie, c’est un message de notre âme,
une mise en situation qui nous permet de reconnaitre les mécanismes internes.
Et si on sait que ce sont comme des logiciels qui s’activent automatiquement,
on va s’en dissocier.
Il ne s’agit pas de s’empêcher d’agir de telle ou telle
façon mais d’observer ce qui se vit en soi selon les situations vécues.
Nous
passons notre vie à tenter de contraindre l’énergie de vie en nous-même, à en
bloquer l’expression, en refoulant les pensées dites négatives, les émotions de
même type et de cette façon nous nourrisson l’inconscience, les programmes de
survie et l’ignorance de Qui nous sommes véritablement.
Lorsqu’on observe ces mouvements
internes sans juger, sans rejeter quoi que ce soit et sans s’y accrocher d’une
quelconque façon, on voit, on sent, que tout s’harmonise naturellement, que
l’énergie circule librement, que la paix s’installe.
Même
le fait de respirer en profondeur pour retrouver la paix intérieure est une
forme d’évitement, un réflexe conditionné qui fait que les pensées émotions qui
nourrissent les programmes de survie, ne peuvent pas être pleinement vécues et
donc libérés.
Ceci dit, c’est tout de même ce qui permet de constater non
seulement que nous ne sommes pas uniquement ces pensées émotions mais qu’en
plus tout en nous est en mouvement.
On peut sentir la paix et porter son
attention sur son cœur afin de se familiariser avec sa vibration et ainsi
rassurer le mental.
Peu à peu il craindra moins de laisser l’émotion
s’exprimer.
Depuis l’enfance, on nous formate, on nous fait sentir que nous
sommes redevables, que nous ne devons pas agir et même penser de telle ou telle
façon, que nous ne devons pas exprimer des émotions jugées inadaptées, que nous
devons faire en sorte de mériter l’amour et l’attention de nos parents, des
adultes, de ceux qui savent mieux que nous...
Alors on se conforme à ses règles
sociales qui prétendent définir une société civilisée.
On
peut parler de société aseptisée et on voit les dégâts que ça crée à tous les
niveaux. Plus on cherche à être en sécurité et plus on se prive de liberté, les
évènements actuels le démontrent tout comme les campagnes de vaccination qui
détruisent le système immunitaire de millions d’enfants dans le seul but de
maintenir l’hégémonie des lobbies pharmaceutiques et de la médecine.
Plus
on chercher à contenir la vie, à contrôler la nature et plus on créé le chaos.
On
peut le constater aussi en nous-même. Plus on agit selon l’instinct de survie,
par automatisme inconscient et plus on est mal dans sa peau.
La
nature est parfaitement orchestrée, harmonieuse par nature et nos corps le sont
aussi mais nous voulons tellement contrôler ce qui se manifeste en nous que
nous nous coupons de la vie même, de l’âme, de l’étincelle de vie, de la source
et de la joie véritable.
Comment
pourrions nous être heureux, nous sentir comblé si nous sommes divisés
intérieurement et en guerre conte nous-même ?
Qu’on
croit en une intelligence supérieure, en dieu ou non, on pense que la vie est
imparfaite et que nous devons changer, contrôler, dominer, ce que nous sommes,
plutôt que d’essayer de nous comprendre.
On
essaie de le faire de façon intellectuelle mais le mental a ses limites et en
plus il ne fait que projeter des images selon ces connaissances subjectives et
selon l’inconscience, selon ses références basées sur la notion arbitraire de
jugement.
L’engouement
pour les messages canalisés est aussi l’expression du rejet de la chair, de
l’incarnation, la projection mentale fantasmatique de personnes qui n’osent pas
être véritablement ce qu’elles sont et s'accrochent à ses images illusoires.
Je ne dis pas non plus que ça n'a pas de valeur mais ça reste très superficiel, ça n'est que la projection idéalisée de la vibration d'amour et de lumière, de la source et de l'énergie de vie.
C'est l'expression du rejet de soi et de l'idéalisme qui tente de pallier la méconnaissance et la mésestime de soi.
Plus
on est dans l’ignorance de qui nous sommes en vérité, plus nous cherchons à
plaire et plus nous on se trahit.
Plus les frustrations sont fortes et plus le
mental va projeter, fantasmer afin de créer un équilibre.
Plus notre vie sera
insignifiante et plus on cherchera à la remplir d’illusions, de rêves et
d’idéal.
Mais comme on a peur de vivre vraiment, on va se projeter,
s’identifier aux stars, aux vedettes, aux héros de films en tous genres. Ce qui
ne manque pas de nous ramener encore plus bas dans l’estime de soi et de
nourrir le rejet de soi.
On va se comparer et bien évidemment se sentir encore plus nul.
Pourtant
si on observe la constitution de l’embryon, son cycle de croissance, on
retrouve les étapes de la vie elle-même, c’est la reproduction du cycle du
vivant depuis la genèse. On passe par tous les stades de la création, de l'évolution.
Toutes
les projections astrales, les pensées émotions énergies forment des entités qui
sont le reflet de ce que nous sommes et portons à l’intérieur.
La somme des pesées du
genre humain qui au lieu de vivre sa vie depuis le cœur de l’être selon sa
propre vérité, la projette en des concepts, des fantasmes, de idéaux, des modèles à
poursuivre. Mais ce sont des images qui visent à nous ramener à l'intérieur.
J’ai
écouté avec grand intérêt cette interview de Montserrat Gascon parce que ma
vision est en parfaite résonance avec la sienne et au fond chacun sait que ce
qu’elle dit est la réalité.
Mais comme on vit en dehors de soi, dans notre
tête, bercés par nos rêves inassouvis on ne peut oser croire que nous sommes si
puissants.
Quand
je parle d’amour et de lumière, je me réfère à leurs qualités intrinsèques.
L’amour ne juge pas, il autorise, accepte, comprend, accueille, réconforte,
rayonne naturellement comme le soleil dispense ses rayons sur toute vie.
La
lumière montre ce qui est en vérité et ensemble, ils peuvent révéler/harmoniser/transmuter, tout ce
qui est dans l’ombre, simplement parce que c’est leur nature profonde.
Observer
ce qui se manifeste en soi, sans lutter, sans chercher à le changer, simplement
en laissant être ce qui s’exprime suffit à le libérer. Évidemment
pour l’intellect ça semble trop simple pour être efficace mais
l’expérience le démontre.
Nous sommes des êtres vivants, en mouvement et c’est en cela que
nous sommes reliés au tout, à la connaissance universelle.
Nous portons tout en
nous depuis la naissance et pour le savoir, le constater, il nous faut juste
changer notre vision, notre angle de vue.
Tout
en nous exprime l’harmonie, l’équilibre; les battements du cœur, la respiration,
le flux sanguin, les gestes coordonnés mais comme nous agissons par peur et de
façon inconsciente, comme notre tronc cérébral gère l’ensemble de nos
comportements, nous nous sentons perdus et impuissants.
Nous pensons être des
victimes manipulées simplement parce que nous agissons en mode automatique.
Venir
au centre de soi et observer simplement, ce qui émerge, sans juger, étiqueter,
juste en laissant la vie s’exprimer et l’énergie circuler librement, nous remet
les idées en place.
Mais
ça demande de la patience, la connaissance que l’amour peut tout et que cette
vibration est notre essence primordiale.
Tant qu’on s’identifie à la surface de
l’être, à ce qui éphémère et changeant, on aura la sensation d’être balloté et
manipulé.
Se
donner le temps d’accueillir ce qui a besoin de s’extérioriser, suivre son
propre rythme, écouter ses corps, les percevoir avec un regard neuf en partant
du principe que nos références et croyances sont fondées sur la peur et
qu’elles ne sont que l’expression de l’inconscient collectif, va révéler qui nous sommes
en vérité.
Notre
inconscient est constitué des croyances du monde basées sur l’idée de
séparation, d’ennemi, de prédation, de conflit et de danger.
En notre cœur, la
paix demeure, elle a toujours été là et elle le sera toujours.
C’est quelque
chose qu’on ne peut que constater par soi-même en s’intériorisant.
Quand
cela est acquis, vérifié, conscientisé, tout change, notre vision s’éclaire et
nous pouvons lâcher tout ce que nous ne sommes pas.
Mais encore une fois ça
n’est qu’en plongeant en soi-même, en s’observant de l’intérieur qu’on peut le
savoir, sans aucun doute.
On passe de la réaction automatique à la cocréation consciente.
Le mental qui a dû trier les pensées en bonnes et
mauvaises, qui a passé son temps à casser l'élan de vie, à ranger tout ce qui ne correspondait pas aux
attentes extérieures, lorsqu’il est reconnu comme un protecteur, un gardien
dans le contexte de survie, lorsqu’on porte un regard amoureux et reconnaissant
pour le rôle qu’il a joué, il se détend et lâche peu à peu le contrôle.
On
peut le savoir puisque lorsqu’on est reconnu par quelqu’un, on éprouve un
sentiment de gratitude, on est heureux d’être enfin compris et apprécié pour
qui on est.
L’enfant en quête d’amour inconditionnel qui vit en nous, va
pouvoir s’exprimer librement parce que bien qu’on reconnaisse en lui
l’expression du vivant qui s'exprime parfois violemment, on sait que nous sommes avant tout la paix, la sagesse innée,
l’âme et la conscience père mère, capables de consoler cet être intérieur.
Devenir
les parents bienveillant de nos corps subtils, de l’enfant en soi, simplement en
nous plaçant au centre, en notre cœur où la source père mère rayonne, c’est un
acte d’abandon, de confiance en la vie et de lâcher prise qui va rétablir
l’unité et l’harmonie intérieures.
C’est un processus spirituel qui dépasse
largement les références mentales, ses connaissances, mais il peut le
"comprendre", enfin le reconnaitre, en le vivant, en recevant l’énergie de l’esprit, en étant vivifié par
l’âme.
C’est
un feu qui brûle tout ce qui est de
l’ordre du conditionnement, tout ce qui est superflu et ça
peut donner l’impression qu’on va être consumé de l'intérieur mais quand on sait que ce
processus est naturel et bénéfique, on s’y abandonne en confiance.
De cette
façon on favorise l’harmonisation interne et la montée de l’énergie de vie tout
comme la descente de l’âme et de l’esprit, en notre corps de chair.
Les
stratégies de survie, le fait de réprimer, nier ou refouler la peur, sont
automatiques mais nous ne sommes pas condamnés à vivre dans l’inconscience.
Il
suffit d’utiliser sa conscience, l’intelligence du cœur pour voir en vérité et
laisser la source, l’intelligence du vivant réaliser son œuvre.
On s’imagine
que c’est très compliqué simplement selon les croyances nourries par les
sciences occultes, l’ésotérisme, les enseignements pervertis des maitres
spirituels et parce qu’une partie de nous même sait à quel point nous sommes
immenses et complexes de par notre constitution.
Nous sommes l’univers, nous portons tout en nous mais comme nous nous
identifions au mental, aux croyances, nous n’avons pas accès à l’intelligence
du cœur.
Plus on pense que c’est compliqué de guérir, d’être libre, et plus ça
le sera.
Si par contre on fait l’expérience de la paix, de l’amour et de la
joie que nous sommes éternellement, peu à peu, en laissant le cœur consumer le
superflu, tout va devenir simple, évident, naturel.
"Libérer
son cœur pour ne plus avoir de peurs" Interview de Montserrat Gascon
Déjà, très souvent nous avons un mouvement de rejet face au mot peur alors qu'il suffirait de prendre un peu de recul pour comprendre son message. Elle porte plusieurs masques et s'exprime dans chacune de nos pensées de doute, de rejet, de jugement, de culpabilité....Elle en est toujours à l'origine mais c'est une énergie viable...
Le
Christ nous a dit l’essentiel et ça commence par le fait de renaitre par le
baptême de l’eau et du feu. L’eau symbolise tout autant le mouvement que la
surface et la profondeur, cet élément purifie le mental, les croyances et
libère les émotions.
Le monde des émotions et des sentiments sont représentés
par cet élément qui est aussi l’énergie de vie.
Derrière ou en ses pensées
émotions troublées, il y a la vie, l’énergie en mouvement et ça n’est que
lorsqu’on la contraint qu’on souffre.
Le baptême de feu est aussi
symboliquement et physiquement le nettoyage, la purification du foyer des
pensées, des croyances, de l’inconscient, la lumière de la conscience qui
révèle ce qui est, ce qui est juste ; notre nature essentielle et ce qui
est faux : les conditionnements, les stratégies, les croyances
invalidantes, les rôles du triangle de Karpman.
Et c’est en vivant cette
alchimie interne qui révèle la puissance de l’amour et de la lumière, que nous
comprenons, ressentons, que nous sommes cet amour/lumière, que cette
vibration essentielle et ce que nous sommes en vérité et éternellement.
Valider
le mental/ego, reconnaitre la valeur des émotions et le potentiel énergétique,
créatif de ces corps, ramène l’harmonie, l’unité, l'amour en soi.
Nous
rassemblons nos énergies, nos corps et nous n’avons plus besoin de convaincre
les autres, de nous affirmer ; nous sommes juste ce que nous sommes en
vérité.
Savoir
que tout commence en soi, que nous sommes complets, entiers et rayonnant suffit
à agir selon l’élan de vie qui nous traverse dans l’instant.
La confiance en
soi, en tout ce que nous sommes, acquise en ce chemin, nous libère de toute
quête et du besoin de plaire. On incarne la véritable liberté, celle de l'être.
Il
n’y a plus à chercher mais à être, à laisser être ce qui se manifeste en soi,
il ne s’agit donc pas de projeter ses pensées émotions négatives ou excessives
sur les autres mais de les accueillir en son cœur sacré.
Là, elles vont
s’harmoniser à l’amour et révéler leurs messages.
Le premier, c’est que l’amour
est là en notre cœur tout comme la paix.
Le second c’est la révélation du
processus alchimique interne, la puissance de l’accueil inconditionnel.
Le
troisième, c’est le besoin non nourri qui s’exprime dans la réaction automatique et qui nous guide dans la réalisation de notre nature véritable, de nos aspirations profondes.
Lorsqu’on
vit cela, on existe sans chercher à le prouver, à se mettre en avant, on est
soi-même, ni plus ni moins.
Ça ne veut pas dire qu’on aura plus de pensées de
peur ou de doute ou encore d’émotions douloureuses, ça veut juste dire qu’on ne
les refoule plus, qu’on ne les considère plus comme un problème mais comme une
invitation à revenir au centre et une réponse à nos questions/besoins.
C’est
un processus qui s’installe progressivement et nous fortifie tant dans la foi
en la source qu’en nous-même.
Et quand on suit l’élan porté par la joie, le
désir, on sait qu’il nous conduit sur le chemin de la vérité de qui nous
sommes, sa pleine expression et la réalisation de notre vision, de nos aspirations intimes et profondes.
On
se libère du jugement et notre vision s’élargit, on apprend à penser avec le
cœur, à suivre l’intuition et à faire confiance à la vie qui est croissance,
expansion, évolution.
C’est magique de se laisser conduire par l’élan de
l’instant, les synchronicités, de ne plus s’invalider ou rejeter un aspect de
soi.
L’esprit d’unité devient la règle et la force, on devient son meilleur
âmi, chaque corps est perçu comme tel et ensemble ils forment l’être, une
équipe au service de l’amour, de la lumière et du vivant.
Le masculin, le
féminin mettent en forme les rêves et aspirations de l’enfant intérieur enfin
aimé, honoré et donc comblé, en sécurité, c’est alors l’expression unique de
l’être qui se manifeste dans la chair.
Le message de Miriadan d’hier est venu confirmer l’idée qu’une page se tourne
définitivement.
L’heure est maintenant venue de vivre pleinement, de se laisser
porter par le flux de la vie en toute confiance.
Les guérisons, miracles et
libérations se font naturellement dans ce lâcher prise, cette acceptation sans
conditions.
Lorsqu’on
s’aime en totalité, en vérité, on autorise la vie les autres à nous aimer parce
qu’on vibre et attire cela. On ne remarque même plus que nous sommes guidés en permanence, les synchronicités deviennent la norme, l'action à poser est alors évidente.
On se rend compte que tout est simple, que le bonheur
est là, qu'il l'a toujours été.
Si
vous souhaitez partager ce texte, merci d’en respecter l’intégralité, l’auteure
et la source ; Lydia, du blog : « Journal de bord d’un humain
divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr