Les émotions nous rendent vivants mais sont parfois
difficiles à vivre ! Le fait d’en comprendre le processus et leur place dans
notre survie sur l’échelle de l’évolution, nous permettra de
mieux en contrôler les effets.
Cet épisode de l’émission « C’est pas
sorcier » est parfait : concis, clair, humoristique.
J’éprouve maintenant deux émotions : la gratitude
(pour l’avoir découvert et avoir appris tant de choses) et la joie (de partager
tout cela avec vous).
Les
6 émotions primaires
Selon
les travaux de Paul Ekman, il existe 6 émotions primaires : la joie, la colère,
le dégout, la peur, la tristesse et la surprise.
Elles
sont innées, automatiques et inconscientes.
On
les exprime face à une situation d’urgence.
Elles contribuent à notre protection. (Ce sont des entités, sous personnalités, qui nous guident sur notre chemin, nous révèlent nos vrais besoins, ceux de l'âme et de l'être, nos dons et talents...Lydia)
La
peur
nous a sauvé
la vie lorsque nous étions en danger face à un environnement hostile.
Le
dégout
nous a permis d’éviter de mettre notre santé en danger en avalant n’importe
quel aliment.
La
colère
peut être aussi vitale en fournissant l’énergie nécessaire pour franchir un
obstacle.
La
surprise,
elle, éveille tous nos sens pour faire face à un évènement inconnu.
La
joie
permet de mieux s’intégrer à un groupe (pour être plus en sécurité).
La
tristesse
et les larmes sont là pour attirer l’attention du groupe afin d’y être
réintégré.
« Vice
versa » les pensées-émotions-énergies...sous personnalités guides
Notez
que nous partageons ces 6 émotions avec les animaux.
J’ajoute
(Lydia) mon point de vue à ce sujet parce que je ne partage pas ce qui est dit
ici. Les animaux n’ont pas d’émotions mais des sentiments, ils vivent dans l’instant,
incarnent leur vraie nature et de ce fait connaissent différents états d’être.
La nuance peut sembler sans importance mais elle est essentielle. En ce sens ils sont des maitres, des guides, des enseignants, par effet miroir, il révèlent notre vraie nature et sont connectés à nos énergies.
Je connais
bien l’animal pour avoir vécu toute ma vie en sa compagnie et je sais
maintenant ce qui me rapproche d’eux, c’est tout simplement l’être.
Cette
authenticité, cette spontanéité, cette liberté d’être, cet exemple quotidien de ce que veut dire
être divin, connecté à la source, naturellement, au-delà de tout concept.
L’animal
ne pense pas mais il possède une conscience comme tout ce qui vit sur cette
planète. Il a sa personnalité particulière, une âme unifiée à celle de la
terre, en lien direct avec la nôtre, mais aussi individualisée selon son espèce et sa « mission »
auprès de l’humain.
Les animaux de compagnie développent en notre présence, une
âme individuelle, une âme partenaire à la nôtre, une extension miroir, qui est connectée en permanence
à notre présence, notre âme, au divin que nous sommes.
Ils ont donc la faculté d'être des guides, (des âmes substituts parentaux pour les enfants, et les adultes, au niveau de l'âme en incarnation) de nous
aider à faire émerger le moi véritable, spontané, naturel, celui qui est l’âme,
au-delà des masques, des personnages, de la couche protectrice constituée par
la personnalité…
Au
fil de l’évolution, l’homme a développé des émotions plus complexes comme la honte,
la fierté, la gratitude, la timidité.
Les
émotions primaires sont reconnaissables tout autour de la planète mais
s’expriment différemment en fonction des cultures
Si
on mesure l’activité électrique du cerveau grâce à un électro-encéphalogramme
en présentant une série de visages exprimant différentes émotions, on se rend
compte que :
–
on détecte d’abord l’émotion sur un visage avant les autres informations (comme
le sexe de la personne en face par exemple).
–
l’émotion est détectée bien avant que nous en ayons conscience (environ
une demi-seconde plus tôt). Ce sont des réactions automatiques.
Où
naissent les émotions ?
Les
émotions prennent naissance au sein de notre cortex, dans notre système
limbique.
L’information
issue de nos sens arrive tout d’abord au niveau du thalamus, sorte de gare de
triage. Puis elle bascule parallèlement sur les différentes zones du cortex
liées à nos sens (une par sens) et sur les amygdales (il y en a une par
hémisphère).
L’amygdale
(qui détecte les évènements nouveaux) se situe au niveau de l’hippocampe qui
joue un rôle dans la mémoire (d’ailleurs, on mémorise beaucoup plus facilement
un évènement associé à une émotion).
C’est
à ce niveau qu’apparaissent les émotions.
Les
données parviennent ensuite à l’hypothalamus qui contrôle le système nerveux
autonome (les réflexes vitaux, les battements du cœur, la respiration…).
L’hypothalamus
retranscrit les effets des émotions sur l’organisme.
Pour
preuve, lorsque nous regardons un film d’Alfred Hitchcock, il y a des pics
de transpiration liés à l’émotion. On a littéralement des sueurs froides.
La
régulation des émotions
Les
effets se régulent lorsque les images atteignent le cortex visuel. Le cerveau
comprend, pour le cas de scènes d’un film, que la situation n’est pas
réellement vécue, que l’observateur est loin de la scène. C’est alors le
cortex préfrontal, siège de la réflexion, qui prend le relai et calme le
jeu.
La
pensée seule peut jouer le rôle de stimuli. C’est le cas lorsque nous imaginons un
échec ou un évènement difficile. Nous stressons par anticipation. Notre cerveau
ne fait aucune différence entre ce que nous voyons et ce que nous imaginons.
Le
stress chronique est très néfaste pour notre santé. Le corps reçoit trop
d’adrénaline, ce qui peut causer des troubles du sommeil, des problèmes
cardiaques et digestifs.
Les
phobies
Deux
sources de la phobie :
Les
amygdales des personnes phobiques sont trop sensibles (le thalamus et les
amygdales sont reliés par une autoroute !).
Les
personnes phobiques sont incapables de se raisonner (le cortex préfrontal n’est
pas sollicité).
Pourquoi
pleure-t-on ?
Les
larmes sont fabriquées par des glandes situées au dessus des yeux : les glandes
lacrymales. Leurs cellules filtrent le sang.
A
chaque fois que la paupière passe sur l’œil, elle le nettoie, l’irrigue, le
protège des bactéries et nourrit les cellules de la cornée.
En
cas de gros chagrin, les glandes lacrymales sont stimulées, les larmes sont
produites en trop grosse quantité pour être évacuées vers les fosses nasales :
elles débordent.
Pleurer
soulage : le fait de pleurer permet d’évacuer les hormones du stress qui
circulent dans les vaisseaux sanguins.
Les
bébés pleurent pour attirer l’attention sur leurs besoins.
Le
rire est excellent pour la santé
Avez-vous
remarqué que nous utilisons toujours la même voyelle lorsque nous rions :
ahahahahah, hohohoohohoh, hihihihihihi…
Le
rire provoque une décharge de dopamine (plaisir) et d’endorphine (relaxant).
Le
rire permet d’éliminer les toxines, de mieux digérer, de guérir, etc.
Au
sujet de la guérison, je vous invite à soutenir « le rire médecin » dont les clowns
sont de véritables rayons de soleil pour les enfants hospitalisés.
Il
est recommandé de rire 10 minutes par jour.
L’amour
rend littéralement aveugle
Le
cœur s’emballe, le souffle est plus court, on a les mains moites, les pupilles
dilatées.
La dopamine
est produite en grande quantité.
L’amygdale
du côté émotionnel se désactive quand on est amoureux. Ceci nous rend moins
conscient du danger, plus insouciant. Ne dit-on pas : l’amour rend aveugle ?
C'est
pas sorcier -Joie, peur, tristesse, colère... QUE D'EMOTIONS !
J’ai
remanié l'article original, en l'associant à d'autres rédigés par le même auteur, Jeff et laissé les liens actifs tant pour les annexes, relaxation, PNL (malgré que je n’en
connaisse pas le principe) que pour le site où j’ai trouvé cet article, afin de
vous permettre d’aller plus loin dans la compréhension de ce que vous pouvez
connaitre au travers de votre âme. Mais il est toujours bon de se tourner vers
les autres, surtout quand les choses sont expliquées de façon claire et qu'on n'a pas suffisamment confiance en sa propre guidance.
Puis pour
respecter le travail, le don de chacun qui est souvent bafoué par ce mode de
communication où on partage sous couvert d’anonymat, sans se donner la peine de
citer ces sources, références…
Je ne vous fait pas la leçon puisque le jugement est un frein, une limitation de l'amour en soi et envers l'autre, mais tiens juste à vous indiquer des clefs de connaissance de soi.
L’intégrité,
la droiture sont des chemins d’accès directs à l’être, au soi, à l’âme et
permettent de se connaitre en toute transparence, de se regarder objectivement
avec tendresse. Et ainsi de pouvoir porter le même regard sur les autres.
Cette
façon de partager à tout va, dissimule un personnage intérieur non accueilli, un rôle, celui du sauveur qu’il est bon de mettre à son service, d’interroger, de regarder en face
parce qu’il a beaucoup à nous apprendre concernant nos valeurs, notre ‘mission’ ;
notre raison d’être ici et maintenant.
Merci
de laisser les références, les liens, ainsi que celui qui mène au site du rédacteur de l'article, si vous souhaitez le diffuser et de mentionner
aussi ce blog (http://lydiouze.blogspot.fr )
afin de respecter le travail, l'investissement de chacun.