Ce
matin, j’ai l’impression d’habiter en Angleterre avec ce smog qui rempli le
ciel et s'étend jusqu'au sol. Un brouillard qui vient d’en haut s’est déversé depuis le milieu
de la nuit. Je ne spécule pas plus là dessus et m’organise en m’adaptant à la
situation et en y voyant tous les « avantages ».
La journée d’hier a
été celle de la libération de pensées-émotions véhiculées par l’enfant
intérieur alors je me suis prêtée au double jeu de l’acteur et de l'observateur, exerçant, affinant ainsi ma capacité d'écoute, de lâcher prise, d’acceptation.
Finalement, j’ai passé une journée plutôt agréable, bien remplie de choses que
j’aime faire. Plus de cinq heures à trier des photos, deux heures au moins à
refaire les pages des chakras, l’ancienne et la nouvelle, le coup de fil
hebdomadaire avec ma mère relativement calme et enfin la cueillette des fraises, le désherbage qui a constitué ma « méditation » du jour en plus de
celle que j’effectue sur le trône, le matin.
J’ai aussi continué ma mise à jour des anciens
articles de ce blog afin de signer mes photos et de retirer celles des autres.
J’y vais à mon rythme, sans me coller de pression, en agissant comme je le fais
depuis pas mal de temps maintenant, en suivant l’envie, le désir de l’instant.
Il y a quelques ajustements à faire comme pour la quantité de médicaments que
je prends puisqu’il apparait que selon la dose ingurgitée, mon sommeil est plus
ou moins équilibré. Je ne le fais plus en me disant qu’il faut que je me libère
de ce geste parce que c’est une chose qui modifie qui je suis ou encore pour
être crédible si je veux proposer un accompagnement. Ce ne sont pas de bonnes
raisons puisqu’en fait, elles viennent de la peur, du manque d’amour et de confiance
en soi.
C’est du contrôle or cette attitude est typiquement egotique et n’amène
que frustration tout en voilant les vraies causes du ‘problème’ ; les
blessures liées au passé, les fausses croyances et les énergies bloquées. Et ça ne guérit rien du tout, au contraire ça maintient dans le jugement, les masques, les rôles, le superficiel.
Je
dis ‘problème’ mais en fait, ça n’est plus non plus de cette façon que j’envisage
cette situation puisque je la vois comme une occasion de mieux me connaitre. Et
donc de pouvoir lâcher le passé, guérir la vision, comme tout dépend de la façon
dont on observe ce qui est, et le jugement qu’on porte dessus.
Quand
on change son mode de perception, son point d’observation, on change
naturellement les comportements.
Si je considère que tout est parfait dans l’instant,
que tout est donné pour me permettre de grandir en sagesse, d’amplifier l’amour
en moi, l’interprétation des faits sera tout autre. Déjà, elle sera dépourvue
de jugement et ça, c’est de l’amour pur, inconditionnel.
Depuis le cœur, on
peut voir ce qui est faussé, tant dans notre vision que dans notre compréhension et notre façon d’agir.
Mais la plupart du temps, on prend les choses à l’envers ; on tente d’agir
sur la matière alors que tout commence dans la psyché* qui détermine la
fréquence vibratoire sur laquelle on se situe et par laquelle on observe les
faits.
Une croyance se construit faute de connaissance, par ignorance de qui on
est vraiment, comment on fonctionne et comment le monde tourne, quelles sont
les lois qui régissent la Vie.
J’ai
donc accueillies pleinement les expressions de l’enfant intérieur et ainsi j’ai
pu laisser le cœur harmoniser les énergies en moi. J’intellectualise de moins
en moins le processus, je me contente d’offrir à l’amour divin, tout ce qui me
perturbe, bloque ou créé des sensations désagréables.
Se libérer de la notion
de jugement n’est pas réalisable par le mental puisque c’est sa façon
d’appréhender le monde et si on essaie de rectifier le tir par la raison, même
si elle se base sur des croyances justes, plus proche de la vérité de l’humain
divin et des lois universelles, ça reste un dialogue, un mouvement interne à la
sphère mentale. Si on veut réellement changer, il n’y a qu’en amenant tout au cœur,
afin qu’il gère ce qui est à tous les niveaux de l’être, que la métamorphose aura lieu.
Le
cœur, comme on le sait maintenant sans aucun doute puisque la science se tourne
enfin vers cet organe majeur, essentiel, possède des facultés nettement supérieures
à celles du cerveau, de la psyché. Déjà par son positionnement au centre de l’être
et sa reliance aux mondes subtils et divin, à tous les corps, il a un point de
vue global, neutre et éclairé de toutes choses. Et comme il est en interaction
avec le divin, il voit et agit en parfaite harmonie, en symbiose avec l’être
tout entier, baignant dans les hautes fréquences de l’amour divin.
Je
viens d’aller donner une friandise au chat des voisins partis en vacances pour
trois semaines. J’ai dit oui spontanément à leur demande sans prendre en
considération le fait qu’ils m’avaient demandé aussi de m’occuper d’arroser leur
jardin. Je suis sensée le laisser sortir le matin pendant que je sors la
chienne mais comme le crachin pénètre subtilement mais sûrement, j’ai juste
laissée la fenêtre ouverte puisqu’une autre personne doit venir dans la journée
pour le nourrir et s’occuper de sa litière. J’ai laissé un mot à son attention
et quelques fraises cueillies hier soir.
Cette situation m’a permise d’accueillir
les pensées émotions relatives au comportement de sauveur qui est mis en évidence
en ce moment de plusieurs façons.
Puis j’ai rigolé en constatant qu’ils avaient demandé à une autre voisine de surveiller mes actes.
Puis j’ai rigolé en constatant qu’ils avaient demandé à une autre voisine de surveiller mes actes.
Elle était assise sur sa
terrasse, et m’a demandé si j’avais sorti le chat ! Ce rôle d’inspecteur
des travaux en cours lui va à merveille et en cela, ils ont été bien inspirés.
Je n’ai pas été surprise ni vexée et je peux comprendre qu’ils se rassurent de cette
façon; faire confiance aux autres n’est pas si facile.
Comme j’ai repéré
que le fait d’accepter cette mission était une stratégie de l’ego et
accueillies les pensées qui venaient, j’ai pu voir les choses avec du recul.
Pour le coup, cette préparation, cette forme d’anticipation est bienvenue.
J’ai
offert à la source, ce qui venait, dans un dialogue entre les personnages
intérieurs : « on n’aurait pas dû accepter, on s’est fait avoir, on
ne pourra pas tout gérer », « t’es soulant à vouloir jouer les
justiciers, les héros, les sauveurs » puis « de toute façon on fera
comme on voudra, on ne doit rien à personne, on est libre d’agir et surtout de
se faire passer en premier, c’est légitime ; d’abord penser à soi… »
Tout ce bavardage est l’expression de la peur, du jugement et lorsque l’amour agit, les personnages se taisent puisqu’on sait que tout est juste, que ceci permet la libération des masques et la guérison des blessures. Et ça n’est pas une voix qui les rassure, c’est l’énergie qui restaure l’équilibre et l’harmonie.
Déjà,
ce qui m’a mis la puce à l’oreille, c’est le désir de proposer une aide qui me
travaille depuis quelques jours et fait naturellement, à dessein, ressortir les
peurs et fausses croyances à ce sujet.
La cause première, c’est toujours la
perception faussée de soi-même et le manque d’amour. Ou plutôt l’amour limité
qui s’exprime selon le jugement à propos de nos comportements ; on s’aime
si et seulement si, on agit de la « bonne » façon, si on est
lumineux, aimant, altruiste, juste, en bref, si on joue le personnage de
sauveur de façon héroïque.
On aura compris que de cette façon, on s’identifie à
un rôle, on se prive de l’amour divin qui circule sans entraves lorsque la
personnalité lâche totalement prise, abandonne tout jugement. Évidemment avant
tout vis-à-vis de soi-même puisque lorsqu’on le fait, le regard sur l’extérieur
change aussi. Et on n’exprime pas l’être unifié que nous sommes mais seulement
une de ses facettes, un de ses masques, en l’occurrence celui du sauveur, du
justicier.
Les jeux de rôles s’ils peuvent nous enseigner par comparaison ce
que nous sommes véritablement ; amour lumière, sont utiles si on peut
dire.
Mais si on s’identifie au masque, on va souffrir de manque, de conflit interne, de
déséquilibre et se priver de notre essence, du moins on ne pourra pas la reconnaitre.
On supposera qu'elle est l'aspect lumineux de ce que nous sommes.
On s'enfermera dans le triangle victime, bourreau, sauveur parce que lorsqu'on endosse un de ces rôles, on finit toujours par jouer les deux autres.
C'est imparable, on va passer de l'un à l'autre et en général, c'est en soi que les deux autres sont activés. On devra lutter contre des aspects de soi pour jouer toujours le rôle qu'on juge être le meilleur, créant un conflit intérieur, un combat de pensées contradictoires incessant. Ils peuvent imploser à force de contrôle, exploser et finir par s'exprimer à l’extérieur, dans une intensité effrayante.
On va se créer des maladies, vivre
dans la peur, par procuration et dans le déni tant de son ombre que de sa
lumière.
J’ai failli dire à la voisine
qu’elle jouait bien les chiens de garde mais j’ai accueillies ses
pensées-énergies en mon cœur et me suis contentée de lui dire : « tu
fais bronzette ! »
A 7 heures du matin sous un brouillard dense…J’ai
rigolé intérieurement puis je suis rentrée à la maison m’occuper de mes
affaires.
Maintenant
que je reconnais l’effet miroir, que je peux comprendre ce que l’autre, l’environnement,
les situations du quotidien me révèlent, il est plus facile de revenir à la raison du cœur et de lâcher prise. Quand
la chienne montre des symptômes physiques, je sais que je suis en réaction, en
guerre contre mon mental, mon ego.
Chaque fois que j’ai des pensées qui ont
tendance à l’accuser, que ce soit de manquer de mémoire, d’être trop avide,
égoïste, je sais que je ne suis plus dans l’amour, que j’agis injustement et
que je m’identifie à mes pensées émotions et la chienne montre des signes
inhabituels; Elle se gratte avec acharnement, ne reste pas sur son lit, fait
une allergie, elle est sur le qui vive, aboie pour un rien…
En
revenant à la raison du cœur par la reconnaissance et l‘acceptation de cette
injustice, de ce rejet interne d'un des aspects de l'être, en accueillant toutes ces pensées de jugement,
l’équilibre revient et ma vision change totalement. La chienne retrouve son
calme et ses ronflements.
L’énergie qui me traverse alors est douce,
pleine de compassion et de gratitude pour ces révélations quotidiennes, cette
guidance intérieure qui me montre ce qu’il me faut embrasser pour grandir et
être comblée. La sensation d’unité, de plénitude et de paix intérieures
ressenties, me porte sur une fréquence que je ne veux plus quitter.
C’est
au-delà des mots, impossible à décrire fidèlement, justement.
Seule l’expérimentation
peut en révéler l’ampleur, la teneur, la richesse.
Je
continue de m’adresse à mes corps, à mon enfant intérieur, sachant qu’ils sont
des aspects de mon être mais pas seulement. Ils sont reliés à l’inconscient collectif, aux égrégores de même fréquence puis également aux êtres de lumière, aux égrégores correspondants. Et par mon corps physique, sa constitution, je suis reliée aux éléments, aux différents règnes, aux forces cosmo-telluriques, aux énergies électro-magnétiques, englobée dans l'âme de la Terre Mère et la conscience du soleil, de l'univers...
Je
ne sais pas ce que je vais faire de cette journée mais ce que je sais c’est la
vibration par laquelle je veux agir, l’énergie dans laquelle je veux
baigner; l’amour inconditionnel.
Je ne précise même plus pour moi-même et pour
tout ce qui est puisque l’un découle de l’autre.
Quand j’agis selon l’élan de l’instant,
quel qu’il soit, en me rappelant que tout me renvoie en mon centre, au cœur de l’être,
le reste importe peu, il me renvoie toujours la fréquence que j’émane. Ce n'est pas du je m'en foutisme mais du réalisme.
Ceci me permet d’ajuster le tir, toujours de la même façon, en offrant au divin la
situation qui aura éveillé les blessures et enclenché le comportement de
survie.
L'altruisme selon les croyances du mental est perçu et vécu dans l'abnégation de soi.
Ce sont alors des énergies déséquilibrées et injustes qu'on émanera; le sacrifice, le devoir, la souffrance, la frustration, le manque, l'attente, le besoin de contrôle, de changer l'autre, la violence qui résulte du mauvais traitement vis à vis de soi, le sentiment d'injustice qui en découle...
Déjà,
je peux regarder les avantages de ce temps pourri et accueillir tout jugement,
toute pensée de rejet, de révolte, de résistance à ce qui est. De cette façon,
je peux voir que ça m’évite d’arroser, que je ne suis pas limitée dans le temps
pour aller au jardin puisque je ne crains pas l’insolation. Puis me dire que c’est
l’occasion rêvée de solliciter l’illumination du soleil intérieur, de susciter
la joie ou simplement de la trouver dans l’acceptation de tout ce que mon
mental-émotionnel exprime. Je ne manque pas d’idées, de moyens, d’occupations
et je ne risque pas de m’ennuyer.
Je peux revenir sur une réflexion d’hier à propos de la guérison et des guérisseurs.
Je copie-colle ce que j’ai écrit sur
l’ancienne page des chakras. Toujours selon mon désir de proposer un
accompagnement, les corps mental-émotionnel et l’inconscient ont besoin d’être
nettoyés de toutes pensées, croyances basées sur des blessures.
Il se peut même
que tout ceci ne soit qu’un prétexte à libérer, tomber les masques et à m’amener
à faire le stage de restauration de
meuble dans les meilleures conditions, en conscience et dans l’amour total de
soi. Dans la joie d'être financièrement indépendante.
Chaque
fois que nous allons vers quelqu’un dans le but de guérir, on se tourne
naturellement vers une personne qui est en résonance avec nous, par sa foi, sa
vibration, sa façon de concevoir la maladie, le mal-être et les méthodes de
soin employées.
On s’ouvre alors à l’autre en confiance et de cette façon,
l’amour en soi grandit, amplifie. Il faut pouvoir se confier, se défaire des
masques, être capable de transparence ce qui demande une confiance suffisante
en l’autre. Selon notre capacité à nous dévoiler, l’autre pourra voir en nous
et ainsi trouver la faille, le blocage. Et si on ne peut pas être authentique, on se tournera vers un
médium, un voyant ou une personne capable de percevoir au-delà des apparences,
de ressentir les énergies et de nous révéler notre lumière. Auquel cas, la confiance en l’autre, en ses
capacités, ses dons, sera suffisante et pourra amplifier, la confiance en soi et en l’autre. C’est une façon
d’élargir son cœur et sa conscience qui favorise la guérison que notre être
divin intérieur réalise si c'est notre désir.
Parce
que là encore, si la personne trouve un certain confort dans la maladie, si
celle-ci lui apporte la bienveillance de la part de son entourage,
inconsciemment, elle refusera de guérir.
Le soignant agit
comme révélateur-catalyseur-amplificateur de l’énergie divine en nous. Celui
qui soigne a réalisé la connexion au divin intérieur et rétablit la libre
circulation de l'amour divin en lui, permettant ainsi sa diffusion par
rayonnance et par le désir de servir. Qu'il en soit conscient ou pas, qu'il ait réalisé en conscience le nettoyage nécessaire afin d'être un pur canal ou qu'il l'ait fait sans le savoir, simplement en lâchant prise naturellement, sans être conscient du processus, il sera efficace, il obtiendra des résultats. Peu importe son étiquette qui n’a de sens
ou d’intérêt que pour susciter la confiance ou la reconnaissance de sa « valeur »
selon nos croyances, nos préférences.
La résonance vibratoire entre les deux s’exprimera
dans le choix du soignant si la personne en demande se fie à ses croyances et
elle sera au-delà des étiquettes si le patient suit son cœur.
Personnellement, j’agis
toujours selon l’élan, le ressenti et tombe sur des personnes en résonance
selon le moment, selon ma perception des choses, par synchronicité.
La plupart
du temps, enfin les trois ou quatre fois où j’ai sollicité une aide extérieure,
mon cœur me poussait vers une personne spécifique, par "hasard" et je supposais connaitre la raison de mon
acte, l'intention qui m'animait mais ça n’est qu’avec un certain recul que j’ai pu ‘mesurer’ l’impact de
leur intervention et comprendre ce qui m'avait motivée.
Très souvent, pour ne pas dire toujours, il y avait le
besoin de reconnaissance extérieure, l’envie de faire confiance, d’ouvrir son cœur,
d’élargir sa conscience. Et le résultat était là.
La transmission
énergétique réalisée de cœur à cœur élève le taux vibratoire de l’un comme de
l’autre puisque le service d’une part et la confiance d’autre part, permettent
la libre circulation de l’énergie d’amour, de guérison et son amplification par
le mouvement. Le patient sera guéri par l'amour qui circulera à nouveau en lui selon l'effet miroir puis le fait d'avoir été pris en considération, écouté, reconnu dans ses blessures, accepté à travers elles.
Et le guérisseur aura aussi gagné en sagesse, en amour, toujours par le mouvement qui amplifie dans l'interaction, puis la reconnaissance que lui porte le patient. Mais aussi parce que son rôle lui aura permis de connaitre intimement une personne et de libérer le jugement à son égard. S'il veut être efficace, il devra être centré afin que l'amour divin circule et se positionnement lui permettra de percevoir l'autre dans sa lumière.
Selon la loi de résonance il semble logique de penser que chacun porte les mêmes thèmes à explorer, à libérer, à embrasser ou tout au moins que les deux aient à amplifier leur capacité d'aimer sans conditions et c'est l'échange vécu depuis le cœur qui donnera l'occasion à chacun de grandir dans l'amour divin. Puisque les deux auront à embrasser une part d'eux-même afin que le processus de guérison se réalise. Le soignant devra accepter son ombre que le patient lui révèle par effet miroir, en activant la compassion pour le malade et le soigné embrassera la lumière que le guérisseur lui offre. les deux étant impliqués dans le processus de guérison en bénéficieront. La rétribution est tout de même légitime puisque le soignant accepte de jouer ce rôle, d'y consacrer son temps.
La monnaie sert de reconnaissance réciproque et marque l'accord pour la distribution des rôles définis par les deux âmes impliquées.
Je résume un phénomène que je commence à peine à explorer sous l'angle de la loi de résonance et l'effet miroir et j'y reviendrais certainement plus tard.
Avec du recul je peux
constater que mon désir profond, en me tournant vers quelqu'un pour avoir de l'aide, c’était de guérir ma relation à l’autre, d’utiliser
ce contexte, cette mise en scène où l’autre incarne un
aspect intérieur que j’ai du mal à accepter comme le masculin ou l’autorité.
Les énergies, la vibration de Laurent, sa voix, son calme et sa patience à mon égard on permis que je reçoive ce soin. La confiance et la foi en l'autre, en ses capacités sont indispensables et sa simplicité, son honnêteté et son ouverture, ont fini de me convaincre. Peu après, je vivais une histoire d'amour qui m'a révélé des blessures enfouies mais dont je garde tout de même un bon souvenir.
Les énergies, la vibration de Laurent, sa voix, son calme et sa patience à mon égard on permis que je reçoive ce soin. La confiance et la foi en l'autre, en ses capacités sont indispensables et sa simplicité, son honnêteté et son ouverture, ont fini de me convaincre. Peu après, je vivais une histoire d'amour qui m'a révélé des blessures enfouies mais dont je garde tout de même un bon souvenir.
Ici,
c’est une réconciliation avec le masculin intérieur, une restauration de l’image
du père, de l’autorité et par conséquent, une ouverture de cœur enfin une
amplification.
L'effet miroir a agit comme un révélateur de
mes ombres et de ma lumière.
Les échanges que nous avons eu par mail ont été
des occasions de mettre à jour les fausses croyances et le rôle de rebelle à l’autorité
et comme il n’est pas entré en réaction, ça m’a permis de pacifier ses aspects
intérieurs, de laisser l’enfant ou plutôt l’ado, exprimer ses revendications puis d'être en confiance.
Le
seul fait qu’il ait été entendu sans jugement à permis la libération est l’harmonisation
de ces énergies en moi. Puis l’ouverture de cœur, enfin l’ouverture à l’amour
en moi a attiré une personne apte à jouer le jeu de la relation amoureuse et à révéler
les croyances distortionnées que je portais à ce sujet.
Tout ce cheminement
prend du temps et le moment où le soin est reçu ne fait qu’ouvrir un potentiel
de guérison que l’expérimentation permettra de réaliser. Enfin en l’occurrence de
mieux se connaitre et par l’acceptation, de lâcher les comportements basés sur
de fausses croyances.
Puis le contact, les soins de Lulumineuse m'ont rapproché de l'enfant intérieur et par la libération des pensées négatives au sujet de l'innocence, la naïveté, le regard critique sur les croyances illusoires ou perçues comme telles, ont révélé d'autres aspect intérieurs qui demandaient à être embrassés de façon à harmoniser l'ensemble.
Le masculin, le féminin et l'enfantin, ce trio énergétique où chacun apporte sa part au bien-être, à la réalisation, la prise de conscience de la complétude, de l'unité intérieure, ont été mis à jour. J'ai pu réintégrer les énergies de l'enfant, de la magie de la vie, la capacité de rêver, d'imaginer, de visualiser...
Et dernièrement, l'entretien avec Magali m'a permis de reconnaitre, d'accepter, le féminin intérieur, l'intuition, la reconnaissance de ma propre guidance, en lâchant, en embrassant les croyances négatives au sujet du féminin manipulateur, des mondes invisibles...
Chacun d'eux a révélé et m'a permis d'intégrer, d'harmoniser les énergies en moi, par l'ouverture à l'autre et à soi-même. Toutes les qualités qu'ils portent et qui sont aussi en moi avaient besoin d'être mises en lumière, reconnues, afin de révéler l'unité intérieure, de me rassurer quand à mes capacités, ma guidance et ma foi.
J'ai pu aussi accepter que l'autre, l'échange est important, nécessaire à l'accomplissement personnel.
Toutes ces démarches sont une forme d'amour de soi, d'autorisation qu'on se donne en acceptant de voir sa propre lumière au travers des autres. Par la reconnaissance de leurs propres talents, c'est soi-même qu'on reconnait et honore. Pour me tourner vers les autres, il m'a fallu faire face à mes peurs, mes blocages, mes croyances et en les embrassant, la confiance en soi et en l'autre a été restaurée.
Une forme de validation de soi par personne interposée. Un processus qui se vit "normalement" dans l'enfance mais lorsqu'on en a été privé, on aura du mal à s'auto valider. Heureusement, d'autres peuvent jouer ce rôle et finalement le 'préjudice' est réparé puisqu'on finit par se reconnaitre en totalité.
Bon
il est l’heure d’être dans l’action, la matière, d’honorer les besoins du corps
physique.
Voyons si l’élan me porte à prendre soin de mon intérieur, de mon
espace vital très souvent laissé à l’abandon. Je ne lutte plus contre ce besoin
d’écrire, de poser les choses sur le papier, enfin sur l’écran même si c'est aussi une addiction...
*J’appelle
psyché le duo conscient- inconscient. Vision depuis la perception du mental
puisque selon le cœur, tout est relié ce qui veut dire que le divin, les
énergies et les émotions sont aussi associées à ce couple.
Vous
pouvez diffuser ce texte à condition d’en respecter l’intégralité (photo et liens compris), de ne rien
modifier (sauf correction des fautes d'orthographe), de citer l’auteur :
Lydia Féliz, ainsi que la source : http://lydiouze.blogspot.fr et ces trois lignes. Merci