Depuis
hier, mon cœur déborde d’amour, de gratitude, de joie, je m’expanse à l’infini
et c’est bon. J’ai passé un cap, profité du tremplin offert par les énergies
solaires et lunaires pour lâcher encore plus le passé, les peurs et ainsi
élargir mon cœur et ma conscience, par la reconnaissance et l’acceptation de
tout ce que je suis, (enfin de ce que je peux percevoir) de mon ombre comme de ma lumière.
Tout
a été divinement orchestré en coulisse et soutenu par le ciel et la terre au
travers de ma connexion à ces parents divins, à mon âme terrestre et céleste.
C’est par les échanges, la communication avec mes frères et sœurs humains
que ceci s’est réalisé, concrètement dans la matière, via la porte de nos cœurs
unis en une même énergie.
Parfois par leur aspects sombres et parfois par leurs
aspects lumineux, sous-tendus par la source de tout ce qui est, et par l’effet
miroir, ils m’ont reflété ce que j’avais besoin de voir et d’aimer à
l’intérieur.
Lorsqu’on
observe depuis le cœur, sans juger, sans retenir ce qui émerge, dans la
confiance que l’amour, que l’intention d’aimer sans conditions agira en soi
pour le meilleur, on peut alors se laisser être sans peur.
La peur va émerger
naturellement et c’est en la laissant s’exprimer, en ne critiquant pas ce qui
se manifeste qu’on peut en voir l’éclat. J’ai donc passé la journée en suivant
l’élan du moment, convaincue que tout avait été mis en place les jours
précédents pour que cette expansion ait lieu.
Le
fait de suivre l’élan du moment en toute confiance parce que le mental l’a
validé dans l’expérimentation au quotidien, a ouvert la voie, et m’a permis
d’avancer dans la direction choisie, celle du retour à la maison.
Sur ce
chemin, j’ai croisé les messages du site Miriadan et celle qui l’a co-créé, Magali.
Je
n’ai pas lu grand-chose mais en quelques lignes, je savais que ces messages
m’étaient adressés, qu’ils allaient m’amener à reconnaitre ma propre guidance,
tant la façon de concevoir
l’humain divin, les lois divines, le channeling, la façon de transmettre,
étaient, sont semblables.
J’ai tout naturellement contactée Magali, dans un
premier temps, au travers de la page "vos questions, leurs réponses" dont j’avais partagé l'expérience sur ce blog.
Puis tout aussi naturellement, je lui ai écrit pour
une consultation. Chose exceptionnelle puisque je sais depuis que j’ai la foi,
que tout est en soi.
C’est toujours ma vérité mais j’ai fini par accepter
l’idée que l’échange, l’ouverture aux autres est aussi important et
enrichissant dans le désir d’élargir son cœur et sa conscience, son pouvoir
d’aimer, dans le désir d'aimer tout simplement. Je l’ai toujours su cependant le trauma de l'enfance m'ayant poussé à me fermer aux autres, puis ma connaissance des stratégies de survie
activées par la peur, la méfiance à l’égard des humains sans conscience ou
déconnectés de la source ou encore connectés à des égrégores, était encore ancrée
et constituait une vérité inscrite dans mon inconscient tout comme dans ma
personnalité.
Il a fallu que je comprenne mieux les énergies, que j’abandonne la croyance en la notion de bien et de mal, que j’en fasse l’expérience directe pour lâcher peu à peu la peur jusqu’à pouvoir m’ouvrir aux autres, en confiance.
En me reconnaissant en l'autre selon l’effet miroir, la loi de résonance me montrent quotidiennement qu'il me reflète exactement ce que je porte en moi, je reconnais aussi l'autre en tant qu'acteur divin. C'est de cette façon que j'ai pu libérer les peurs qui induisaient mes croyances, ma méfiance envers "l'autre" qui reflète mon manque d'amour et de confiance en moi-même, et inversement.
Ce
phénomène n'est pas unilatéral est il est à double tranchant puisque tant qu’on s'identifie à nos croyances, tant qu'on ne sait pas ou qu’on ne
croit pas aux lois universelles, à cet effet miroir, boomerang amplifiant, on peut
rester coincé dans les jeux douloureux de rôle du triangle de Karpman; victime, bourreau, sauveur, enfermé dans l'accusation qui nous condamne nous-même. Et même quand on reconnait ce processus de projection, on peut s'embrouiller encore plus, se perdre dans les "qui projette";
les deux projettent et se rejoignent par la loi d'attraction, se montrent les mêmes choses.
les deux projettent et se rejoignent par la loi d'attraction, se montrent les mêmes choses.
Mais
si on ramène à soi l’image qu’on a projetée sur l’autre, en se préoccupant uniquement de nous même, de notre ressenti, en cessant de spéculer, si on se dit que nous
avons co-créé cela, on pourra alors bénéficier de l’effet de ce
processus.
Constater notre pouvoir de création par la pensée-émotion-énergie et commencer à faire le ménage dans notre monde intérieur, nettoyer les filtres des outils de perception et de création que sont le corps mental, le corps émotionnel et en même temps, désactiver les programmes basés sur les croyances d’impuissance, de victime, inscrits dans l’inconscient. Ils sont comme des programmes que nous avons initié ou activé par les stratégies de survie, chaque fois qu’une info, un évènement marquant a subjugué notre conscience d’enfant (ou son absence, de l’état fœtal jusqu’à peu près trois ans) ou de notre conscience d'adulte blessé. Puis sachant que l'autre co-créé les situations que nous vivons ensembles, les masques tombent on reconnaitra aussi en l'autre ce que l'on voit en soi.
Cette familiarité amènera l'acceptation des différences, par l'accueil des pensées-émotions en soi-même et l'abandon à l'amour en soi.
Si
je reviens souvent sur ces phénomènes liés à l’incarnation, au fait d’être un
humain constitués d'outils de perception et de reconnaissance mutuelle, par effet miroir, c’est qu’ils ne sont pas du tout des "ennemis", des malédictions ou des
entités extérieures qui nous manipulent, ils n’ont pas de mauvaises intentions parce qu’ils
ne sont que des outils (nos corps), et les reflets perçu en l'autre sont des projections énergétiques destinées à nous faire prendre conscience
de notre complétude, tout comme celle de l'autre.
On pourra alors dissocier la personne de ses actes.
On pourra alors dissocier la personne de ses actes.
Savoir ceci aide à lâcher la notion de bien et de mal, d'ennemi intérieur et extérieur, qui
nous colle à la peau lorsqu’on croit que c’est une fatalité, que nous n’avons
pas le pouvoir de changer, que nous sommes soumis. Ce qui nous amène à accuser et à vouloir changer l'autre.
Il existe des lois
inhérentes à ce plan qui peuvent être perçue de façon neutre, ce qui
allège considérablement l’état d’esprit et élargit la conscience-cœur de façon
spectaculaire !
Et quand on comprend et accepte les règles de ce jeu, ces conditions, on y voit alors tout la beauté, la pertinence, l‘intelligence et le pouvoir qu’elles détiennent.
Et quand on comprend et accepte les règles de ce jeu, ces conditions, on y voit alors tout la beauté, la pertinence, l‘intelligence et le pouvoir qu’elles détiennent.
La
clef, c’est l’amour de soi, le fait de s’autoriser à être soi-même, à prendre
le risque de redevenir un enfant innocent prêt à explorer le monde, son monde. Mais le "risque" est mineur puisque le divin intérieur nous guide. Nous ne sommes pas uniquement cette personnalité, nous sommes aussi la source père mère.
Tant que nous ne validons pas tout ce que
nous sommes, "défauts", "ombre" compris, nous nous privons de notre pouvoir de créer notre vie telle que
nous le "désirons" et nous verrons en l'autre un danger.
J’utilise ce verbe à dessein parce que notre pouvoir est celui d’aimer ce qui veut dire que notre véritable nature, notre mission et notre chemin, correspondent à ce que nous aimons profondément : être, vivre et faire.
J’utilise ce verbe à dessein parce que notre pouvoir est celui d’aimer ce qui veut dire que notre véritable nature, notre mission et notre chemin, correspondent à ce que nous aimons profondément : être, vivre et faire.
Toujours par le processus de la dualité, reconnaitre un défaut, l’accueillir, c'est-à-dire l’accepter sans le juger, rétablit la juste mesure de cette énergie qui se montre alors comme un indicateur de ce que nous voulons profondément et c’est en même temps le moteur de l’action qui va générer le mouvement, l'action à mettre en place afin de manifester ce désir, ce rêve, dans la matière.
Pour
revenir à la journée d’hier, j’ai dû accueillir beaucoup de stress avant de
recevoir le coup de fil de Magali. Il y a eu tout un parcours qui m’a permis de
laisser s’exprimer les peurs relatives à la relation à l’autre et en le
faisant, j’ai libéré une partie de ce qui m’empêchait d’être ouverte aux mondes
invisibles. Les résistances se sont manifestées par la recherche de
compréhension de l’humain au travers de la science, la médecine, la psychologie, d’un
raisonnement logique et l’abandon pour un temps les livres "spirituels"reçus récemment.
Je ne voulais pas être influencée dans un sens ou dans l’autre,
m’accrocher à ce qu’elle me dirait ou me laisser hypnotiser, manipuler par
l’invisible (mes propres peurs) ou tout rejeter en bloc.
La question que j’ai posée sur son blog était une forme de test, j’ai tâté le terrain en exprimant mon plus gros blocage qui évidemment cache des croyances.
La question que j’ai posée sur son blog était une forme de test, j’ai tâté le terrain en exprimant mon plus gros blocage qui évidemment cache des croyances.
J’avais besoin de savoir si elle était vraiment dans l’amour,
connectée aux plans de lumière.
Il est clair que beaucoup de canalisations proviennent des égrégores et dans ces cas là, bien qu’ils puissent aussi contenir des vérités, ils sont surtout utiles pour aider la personne à user de discernement, à affiner sa propre guidance, à apprendre à s’écouter, à se faire confiance.
Il est clair que beaucoup de canalisations proviennent des égrégores et dans ces cas là, bien qu’ils puissent aussi contenir des vérités, ils sont surtout utiles pour aider la personne à user de discernement, à affiner sa propre guidance, à apprendre à s’écouter, à se faire confiance.
Quand on accepte son ombre et qu’on y découvre
des trésors, on comprend que celle-ci est en fait de la lumière déguisée,
cachée, dont le rôle est de nous ramener à la raison du cœur, en l’accueillant
dans l’amour inconditionnel. Le phénomène de l'effet miroir et la loi d'attraction régissent aussi les plans subtils, invisibles.
Accueillir ses ombres nous ramène au cœur et fortifie notre foi en l’amour, en nous-même et aussi envers les autres puisqu’on comprend qu’il n y’ a pas d’ennemis mais simplement différents acteurs qui jouent le même film écrit par le même auteur, scénariste, producteur, réalisateur, la conscience Une. Elle se projette en des milliards d'âmes, de personnalités et la source de toute vie, se projette en d'innombrables formes, fréquences, rayons, êtres...
Accueillir ses ombres nous ramène au cœur et fortifie notre foi en l’amour, en nous-même et aussi envers les autres puisqu’on comprend qu’il n y’ a pas d’ennemis mais simplement différents acteurs qui jouent le même film écrit par le même auteur, scénariste, producteur, réalisateur, la conscience Une. Elle se projette en des milliards d'âmes, de personnalités et la source de toute vie, se projette en d'innombrables formes, fréquences, rayons, êtres...
Il m’a aussi fallu
accepter mon besoin de reconnaissance extérieure même si je sais que c’est
l’amour véritable de soi, le fait de se reconnaitre soi-même, de se valider, qui rend
libre, affectivement autonome. Là
encore, c’est une question de centrage, et de dosage. D’équilibre dans le
don-réception, le retour à soi et l’ouverture aux autres.
En agissant depuis le
cœur, en allant vers l’autre en étant entier, intègre c'est-à-dire dans notre
pureté d’être, en toute transparence et sincérité de cœur, on est dans
l’échange et plus dans la projection ou la vampirisation. On reçoit et on donne
de toute façon mais quand on le fait depuis l’ego, selon une stratégie issue du
manque (manque d’amour de soi), on va vers l’autre en portant un masque dans
l’espoir dissimulé de prendre en faisant mine de donner, on agit par besoin et non
par amour.
Cette attitude ne peut pas nous combler et en plus de nous rendre
dépendant elle ne fera qu’amplifier le manque, l’attachement à la personnalité,
aux rôles et nous rendra exigeant envers l'autre tout comme envers nous même.
Dans
l’apprentissage, on fait des erreurs qui nous aident à nous ajuster, à prendre
conscience justement quand nous sommes dans la peur ou l’amour, dans un rôle ou
authentique. C’est de cette façon qu’on apprend à se reconnaitre, à repérer les stratégies,à pouvoir les lâcher en les embrassant et à trouver
le juste milieu. Selon le retour, on saura si nous sommes dans la transparence
ou dans un rôle.
J’ai ainsi appris que l’authenticité est d’abord à vivre en
soi.
L’enfant intérieur qui exprime le vivant en nous, tant nos ombres que
notre lumière, doit pouvoir être libre et ses messages s’adressent d'abord à nous-même.
Le nettoyage se fait tout comme la toilette, dans l’intimité de l’être et à ce
niveau là, j’ai encore beaucoup à apprendre.
Et ce que j’imagine devoir
apprendre de cela n’est pas forcément la réalité parce que le mental anticipe
selon ses propres références, connaissances et croyances.
J’allais tirer des conclusions de cette expérience où je juge de m’être trop lâchée, d'avoir dit ce qui me passait par la tête mais quelques signes et surtout l’utilisation du verbe "juger" m’indiquent clairement que je ne suis pas dans l’amour inconditionnel de soi; Un blocage au niveau intestinal, une envie soudaine de dormir, le mental qui pense de façon excessive, qui tourne et retourne la question…Je crois que je vais faire une pause relaxation ! Mais avant, une petite clef de sagesse. C'est devenu une addiction aussi ça!...
« Lâchez
prise complètement ! Maintenant il faut aller à l’essentiel, et
l’essentiel pour vous est ce que vous désirez devenir, c’est votre
comportement par rapport à votre vie au quotidien, par rapport à votre relation
avec les autres et avec tout ce qui vous entoure. »
On peut dire que je suis servie dans ce domaine,
vivement que les vacances scolaires se terminent et que le calme revienne parce
que malgré que je sache que le comportement des enfants dehors et ma façon de
réagir, me renseignent sur l’état de mon monde intérieur exprimé par l’enfant
que je suis aussi, c’est éprouvant.
Une séance de relaxation qui a tourné à la
méditation guidée enfin à l’appel à communiquer avec un des personnages qui m’a
rendu visite le 21 décembre 2012;
Un beau brun ténébreux qui semblait être un
"initié", quelqu’un avec un grand pouvoir de séduction-manipulation qui n’a pas
dit grand-chose parce que bien que je n’avais pas peur de lui puisque il me semblait
très familier, je ne l’ai pas interrogé à l’époque.
Il m’a suffit de le voir et
de sentir ses énergies pour 'savoir' cela.
Enfin, je ne sais toujours pas si ces
personnages sont des projections d’énergies intérieures rejetés ou si ce sont
des incarnations passées mais en fait la ‘logique’ semble que ce soit les deux.
C’est là où la guidance de Magali m’a aidée parce que j’avais besoin qu’elle me
confirme des ressentis, des idées, des 'visions', ma guidance personnelle et l’interprétation
que j’en ai.
Je lui ai demandé si ça valait la peine que je tente d'établir le contact avec ces êtres apparus lors du 21 décembre 2012 et elle m'a rappelée que les projections sont des outils de connaissance, de reconnaissance de soi afin de réaliser (prendre conscience) de l'unité en soi, de la complétude que nous sommes, de l'UN.
Je n’ai pas pu entrer en contact avec cet homme lors de ma méditation et quand je bloque
mentalement, parce que beaucoup de pensées de peurs se manifestent, tandis que
je les accueille mais n’arrive pas à cesser le bavardage mental, je m’endors
carrément.
Déjà, un travail de libération est effectué et la prochaine fois, il
y aura moins de ‘barrières’ entre nous. Je sens intuitivement qu’il a beaucoup
de choses à me révéler, à m’apprendre, mais je ne cherche pas à y réfléchir
intellectuellement. Je sais que les réponses viendront en leur temps, avant que
je puise établir un contact direct et c’est certainement cela qui ouvrira la
voie, la confiance en soi et en lui (et donc au mondes invisibles et les entités qui les peuplent).
Le "travail" de libération, d'ajustement, a donc continué par un rêve projection des croyances actuelles qui se calquent sur celles du passé et
se synchronisent, s’ajustent.
Tout ceci m’a ragaillardie mais je suis larguée
dans mon planning, un ancrage est nécessaire.
Je dois aller faire des courses et rien que
l’écrivant, j’ai l’impression de ne faire que ça ! Bien que je sois plus à
l’aise dans le monde extérieur et intérieur, il y a encore des résistances, des
doutes, des critiques, mais je sors de mon train-train quotidien, des repères cloisonnant.
Avant, ça me sécurisait de gérer mes sorties le matin quand les médicaments-protection faisaient un maximum d'effet, mais maintenant, j’ose peu à peu franchir les
frontières, les limites préalablement fixées. Elles m’ont été bien utiles et
continuent de l’être puisque aujourd'hui, elles sont des tremplins, des moteurs,
des occasions de revenir au cœur, au centre et de libérer les croyances qui les
ont construites…
Pour guérir ma relation aux autres, mises à mal par le trauma
de l’enfance, au lieu de mettre mon énergie dans le sevrage médicamenteux j’utilise ces médicaments pour
libérer les croyances qui m’ont amenées à choisir ce geste et reconnaitre son aspect positif, qui était, qui est de faciliter le
chemin, de le rendre confortable.
Ce geste est la matérialisation de toutes les peurs et croyances réunies et en acceptant ce choix, en lâchant prise à ce sujet, je commence à percevoir la situation d’une façon toute nouvelle. Ce n’est plus un problème mais un moyen judicieux choisi par ma personnalité-âme pour pouvoir lâcher la croyance qu’il faut souffrir pour guérir, souffrir pour être et en plus la culpabilité que ça entrainait.
Puis pour compenser mes carences dues au rejet du masculin, j'accepte la colère que je porte, je l'extériorise en l'offrant à la source.
Il est clair que les deux énergies masculine et féminin, enfin les trois, puisque celles de l’enfant sont aussi nécessaire à la réalisation de sa complétude, la manifestation de son quotidien selon ses aspirations profondes, ces énergies ont été incomprises et faussées par l'ignorance de ma vraie nature, de la trinité que je porte.
Là aussi, ce que j'ai compris au fil du temps, je le retrouve dans les messages du groupe Miriadan, au travers de Magali.
Il est clair que les deux énergies masculine et féminin, enfin les trois, puisque celles de l’enfant sont aussi nécessaire à la réalisation de sa complétude, la manifestation de son quotidien selon ses aspirations profondes, ces énergies ont été incomprises et faussées par l'ignorance de ma vraie nature, de la trinité que je porte.
Là aussi, ce que j'ai compris au fil du temps, je le retrouve dans les messages du groupe Miriadan, au travers de Magali.
Un orage gronde au loin et je me demande si ma
confiance irrationnelle, mon admiration et la sensation d’être en 'terrain
connu' vis-à-vis de ce phénomène n’est pas liée avec le personnage dont je parle
plus haut. Si je regarde les choses objectivement, c’est clair que les éclairs
me fascinent tout comme le bruit du tonnerre et ça ne suscite aucune peur mais
plutôt une sensation très familière.
La connaissance des forces naturelles, de ces énergies, est peut-être un des cadeaux qu’il me réserve…
La connaissance des forces naturelles, de ces énergies, est peut-être un des cadeaux qu’il me réserve…
Bon, je vais en
courses avant qu’il ne pleuve. C’est une bonne chose parce qu’il y a forte
chance pour que les magasins soient désertés.
J’ai reçu les livres que j’ai commandé à Françoise
qui gère plusieurs sites dont une bibliothèque où elle cède tout un tas de livres. J’ai déjà acheté celui
de Steve Rother ; « R-appellez-vous » qui agit en profondeur, tout autant au
niveau énergétique que mental et je n’en suis qu’à la page 44 !
Je stocke des livres et des liens de messages qui résonnent fortement mais je ne les lis pas ou à la vitesse d’un escargot.
Je stocke des livres et des liens de messages qui résonnent fortement mais je ne les lis pas ou à la vitesse d’un escargot.
Quand je suis tombée sur le site de Jeshua, canalisé par
Pamela Kribbe, j’ai passé des heures à tout lire avec une avidité remarquable,
je me nourrissais littéralement des mots-énergies tellement je m’y retrouvais. Idem
pour les rayons de Joéliah, les messages d’Ashtar reçus par Simon Leclerc et
ceux des êtres de lumière canalisés par Monique Mathieu. Puis j’ai tout relu
avec un nouveau regard afin d’intégrer ces vérités par l’application des
principes et petit à petit, j’en ai moins eu besoin, je ai moins besoin de m’y
référer.
Maintenant que je gagne en confiance, que je reconnais
les synchronicités et l’effet miroir qui constituent ma guidance personnelle tout
comme les sensations corporelles, l’écoute des personnages intérieurs et l’acceptation,
les choses se passent différemment.
Je commande des livres pour constituer un
support structurel, un appui tout comme le contact avec Magali, ça vient me
confirmer ce que je reçois, la véracité de ma propre guidance, des images
concepts que je reçois de l’intérieur. Et je peux voir que ce que je
considérais comme des défauts, constituent en fait des qualités, ou du moins
ont leur utilité; Je compte sur ma "flemme intellectuelle" et mon goût
pour l'apprentissage sur le tas, pour aller encore plus loin dans l'écoute de
soi et la connexion au divin intérieur.
J'ai remarqué qu'il suffit que j'aborde
un thème pour que je sois placée devant l'expérience et comme très souvent je
bloque, les questions, des pistes de réflexion et des images-concepts arrivent
en guise de réponse et me sont confirmées noir sur blanc, par un article sur
lequel je tombe 'par hasard' ou la page du livre que je suis en train de lire. Un bel équilibre entre don réception, cœur et
conscience, qui fortifie la foi, l'amour en soi et confirme la réalité de la
guidance perso.
Bon,
je vais en courses. Un samedi après midi, je n’en reviens pas ! J’ai
toujours fuit les magasins à cause de mon hypersensibilité aux énergies des
autres qui me revoyaient les miennes en les amplifiant ce qui était insupportable,
ingérable.
Je peux mesurer mon degré de libération des pensées-émotions-énergies,
par ce genre de détails qui me montrent que je peux sortir de ma zone de
confort, de la protection des stratégies de la peur, de cette façon, dans les
choses du quotidien qui se font par automatisme et sont le signe clair qu’une
stratégie de défense est en place.
Et quand le comportement change à ce niveau
là, ça veut dire que la peur est absorbée et que le programme logé dans l’inconscient
n’est plus activé, que je deviens plus consciente et donc plus apte à assumer
ce que je suis en vérité.
Et c’est vraiment le fait de ne pas m’être critiquée
pour ça, d'utiliser encore des stratégies de défense, que l’amour fait son
œuvre de libération.
Au lieu de forcer les choses, de m’obliger à suivre une
discipline, fixer des objectifs de réussite et m’y tenir en étant dans le
contrôle, le lâcher prise s’avère beaucoup plus efficace, libérateur, et en
plus je trouve les outils, les énergies et les talents qui construisent pas à
pas mon avenir, sans avoir à lutter mais juste à accepter.
Encore un autre signe de confiance en soi, aux autres et en la vie, c’est le fait que je sois passée entre les gouttes, entre deux orages, puis aussi le fait que je n’ai rien oublié.
Il arrivait souvent que je sois perturbée si je rencontrais quelqu’un
que je connaissais au point de ne plus être dans le présent et d’oublier des
choses alors que j’avais une liste de courses en main !
La capacité d’être
centrée s’intègre petit à petit et c’est facilité par un petit rituel d’ancrage,
de connexion à la terre, au ciel, un appel à mes corps à rester unis, en respirant calmement, avant de
sortir.
J’ai
des pointes au cœur depuis hier matin qui me traversent et comme je sais que c’est
le cœur qui’ "s’élargit" puis comme ça passe et revient sans raison apparente, je
me réjouis presque de cette douleur.
La consultation avec Magali a été plutôt
mentale enfin j’ai posé des questions relatives à l’âme, des questions plutôt générales
dont je peux trouver les réponses sur son blog mais j’avais besoin de cette
connexion pour reconnaitre ma propre lumière, et parler aussi de mon frère et de
sa mort prématurée qui a révélé beaucoup de culpabilité bien que je n'ai rien à
eu à me reprocher dans l’histoire.
C’est d’ailleurs ce qui m’avait amenée sur
des pistes plus profondes, métaphysiques, afin de trouver un sens à cette
horrible tragédie.
Elle m’a donné un message de sa part à la toute fin de notre
entretien et c’est seulement là que je me suis détendue, que des larmes ont
coulé et j’ai senti la chaleur en mon plexus solaire et en mon cœur confirmer
ce qu’elle me disait.
Du coup, les réflexions du mental du style, « c’est
facile de dire à l’autre ce qu’il veut entendre, pas besoin d’être médium… »
n'ont fait que passer et n'ont pas interrompu le flux d'amour.
C’est vrai, sachant que tout le monde cherche l’amour, la reconnaissance,
la tendresse, il est naturel de se tourner vers l’extérieur pour trouver cela et
même quand on sait que l’amour est en soi. Les psychologues, prêtres, médiums...sont des miroirs de l'amour en nous-même qui viennent à notre secours afin qu'on puisse accepter cet amour, ce pardon, cette bienveillance, cette reconnaissance qu'on se juge indigne de recevoir.
Ils nous rassurent nous parlent avec bienveillance et certains en abusent, sont dans la flatterie, demandent des sommes exorbitantes, en créant une interdépendance qui leur permet d'avoir un revenu assuré, régulier.
Tout est dans la conscience de celui qui exerce mais aussi de celui qui demande et si une interdépendance est créé, elle permettra aux deux de comprendre les jeux de rôles, de voir que ça n'est pas de l'amour véritable...même si c'est aussi une forme d'amour...
Ils nous rassurent nous parlent avec bienveillance et certains en abusent, sont dans la flatterie, demandent des sommes exorbitantes, en créant une interdépendance qui leur permet d'avoir un revenu assuré, régulier.
Tout est dans la conscience de celui qui exerce mais aussi de celui qui demande et si une interdépendance est créé, elle permettra aux deux de comprendre les jeux de rôles, de voir que ça n'est pas de l'amour véritable...même si c'est aussi une forme d'amour...
Comme je l’ai dit plusieurs fois
déjà, l’énergie étant vivante et en mouvement, l’amour étant une énergie de
reliance, d’ouverture, de communion, elle veut circuler, embrasser, absorber ce
qui est autour d’elle et ça se réalise par l’échange tant avec le divin en soi, les sphères de lumière, les astres, l’univers…qu’avec
les humains, la planète, ses règnes et ses plans.
Le besoin d’être validé par un être, une personne qu’on estime être une référence, une autorité est aussi légitime et accepter cela resitue notre propre pouvoir parce que finalement c’est à soi-même qu’on s’adresse dans l’échange avec l’autre.
Le besoin d’être validé par un être, une personne qu’on estime être une référence, une autorité est aussi légitime et accepter cela resitue notre propre pouvoir parce que finalement c’est à soi-même qu’on s’adresse dans l’échange avec l’autre.
C’est la source qui se
parle, se reconnait dans le regard, dans l’interaction avec toute vie et qui se
plait à ce jeu du Je, du Nous.
Vous pouvez diffuser ce texte à condition d’en respecter l’intégralité, de ne rien modifier (sauf correction des fautes d'orthographe), de citer l’auteur : Lydia Féliz, ainsi que la source : http://lydiouze.blogspot.fr et ces trois lignes. Merci