dimanche 26 avril 2015

« Expansion dans l’amour-lumière »




Depuis hier, mon cœur déborde d’amour, de gratitude, de joie, je m’expanse à l’infini et c’est bon. J’ai passé un cap, profité du tremplin offert par les énergies solaires et lunaires pour lâcher encore plus le passé, les peurs et ainsi élargir mon cœur et ma conscience, par la reconnaissance et l’acceptation de tout ce que je suis, (enfin de ce que je peux percevoir) de mon ombre comme de ma lumière.
Tout a été divinement orchestré en coulisse et soutenu par le ciel et la terre au travers de ma connexion à ces parents divins, à mon âme terrestre et céleste. 
C’est par les échanges, la communication avec mes frères et sœurs humains que ceci s’est réalisé, concrètement dans la matière, via la porte de nos cœurs unis en une même énergie. 
Parfois par leur aspects sombres et parfois par leurs aspects lumineux, sous-tendus par la source de tout ce qui est, et par l’effet miroir, ils m’ont reflété ce que j’avais besoin de voir et d’aimer à l’intérieur. 

Lorsqu’on observe depuis le cœur, sans juger, sans retenir ce qui émerge, dans la confiance que l’amour, que l’intention d’aimer sans conditions agira en soi pour le meilleur, on peut alors se laisser être sans peur. 
La peur va émerger naturellement et c’est en la laissant s’exprimer, en ne critiquant pas ce qui se manifeste qu’on peut en voir l’éclat. J’ai donc passé la journée en suivant l’élan du moment, convaincue que tout avait été mis en place les jours précédents pour que cette expansion ait lieu.


Le fait de suivre l’élan du moment en toute confiance parce que le mental l’a validé dans l’expérimentation au quotidien, a ouvert la voie, et m’a permis d’avancer dans la direction choisie, celle du retour à la maison. 
Sur ce chemin, j’ai croisé les messages du site Miriadan et celle qui l’a co-créé, Magali. 
Je n’ai pas lu grand-chose mais en quelques lignes, je savais que ces messages m’étaient adressés, qu’ils allaient m’amener à reconnaitre ma propre guidance, tant la façon de concevoir l’humain divin, les lois divines, le channeling, la façon de transmettre, étaient, sont semblables. 

J’ai tout naturellement contactée Magali, dans un premier temps, au travers de la page "vos questions, leurs réponses" dont j’avais partagé l'expérience sur ce blog. 
Puis tout aussi naturellement, je lui ai écrit pour une consultation. Chose exceptionnelle puisque je sais depuis que j’ai la foi, que tout est en soi. 
C’est toujours ma vérité mais j’ai fini par accepter l’idée que l’échange, l’ouverture aux autres est aussi important et enrichissant dans le désir d’élargir son cœur et sa conscience, son pouvoir d’aimer, dans le désir d'aimer tout simplement. Je l’ai toujours su cependant le trauma de l'enfance m'ayant poussé à me fermer aux autres, puis ma connaissance des stratégies de survie activées par la peur, la méfiance à l’égard des humains sans conscience ou déconnectés de la source ou encore connectés à des égrégores, était encore ancrée et constituait une vérité inscrite dans mon inconscient tout comme dans ma personnalité. 

Il a fallu que je comprenne mieux les énergies, que j’abandonne la croyance en la notion de bien et de mal, que j’en fasse l’expérience directe pour lâcher peu à peu la peur jusqu’à pouvoir m’ouvrir aux autres, en confiance. 




En me reconnaissant en l'autre selon l’effet miroir, la loi de résonance me montrent quotidiennement qu'il me reflète exactement ce que je porte en moi, je reconnais aussi l'autre en tant qu'acteur divin. C'est de cette façon que j'ai pu libérer les peurs qui induisaient mes croyances, ma méfiance envers "l'autre" qui reflète mon manque d'amour et de confiance en moi-même, et inversement. 
Ce phénomène n'est pas unilatéral est il est à double tranchant puisque tant qu’on s'identifie à nos croyances, tant qu'on ne sait pas ou qu’on ne croit pas aux lois universelles, à cet effet miroir, boomerang amplifiant, on peut rester coincé dans les jeux douloureux de rôle du triangle de Karpman; victime, bourreau, sauveur, enfermé dans l'accusation qui nous condamne nous-même. Et même quand on reconnait ce processus de projection, on peut s'embrouiller encore plus, se perdre dans les "qui projette"; 
les deux projettent et se rejoignent par la loi d'attraction, se montrent les mêmes choses.
Mais si on ramène à soi l’image qu’on a projetée sur l’autre, en se préoccupant uniquement de nous même, de notre ressenti, en cessant de spéculer, si on se dit que nous avons co-créé cela,  on pourra alors bénéficier de l’effet de ce processus. 


Constater notre pouvoir de création par la pensée-émotion-énergie et commencer à faire le ménage dans notre monde intérieur, nettoyer les filtres des outils de perception et de création que sont le corps mental, le corps émotionnel et en même temps, désactiver les programmes basés sur les croyances d’impuissance, de victime, inscrits dans l’inconscient. Ils sont comme des programmes que nous avons initié ou activé par les stratégies de survie, chaque fois qu’une info, un évènement marquant a subjugué notre conscience d’enfant (ou son absence, de l’état fœtal jusqu’à peu près trois ans) ou de notre conscience d'adulte blessé. Puis sachant que l'autre co-créé les situations que nous vivons ensembles, les masques tombent on reconnaitra aussi en l'autre ce que l'on voit en soi. 
Cette familiarité amènera l'acceptation des différences, par l'accueil des pensées-émotions en soi-même et l'abandon à l'amour en soi.

Si je reviens souvent sur ces phénomènes liés à l’incarnation, au fait d’être un humain constitués d'outils de perception et de reconnaissance mutuelle, par effet miroir, c’est qu’ils ne sont pas du tout des "ennemis", des malédictions ou des entités extérieures qui nous manipulent, ils n’ont pas de mauvaises intentions parce qu’ils ne sont que des outils (nos corps), et les reflets perçu en l'autre sont des projections énergétiques destinées à nous faire prendre conscience de notre complétude, tout comme celle de l'autre. 
On pourra alors dissocier la personne de ses actes.
Savoir ceci aide à lâcher la notion de bien et de mal, d'ennemi intérieur et extérieur, qui nous colle à la peau lorsqu’on croit que c’est une fatalité, que nous n’avons pas le pouvoir de changer, que nous sommes soumis. Ce qui nous amène à accuser et à vouloir changer l'autre.

Il existe des lois inhérentes à ce plan qui peuvent être perçue de façon neutre, ce qui allège considérablement l’état d’esprit et élargit la conscience-cœur de façon spectaculaire ! 
Et quand on comprend et accepte les règles de ce jeu, ces conditions, on y voit alors tout la beauté, la pertinence, l‘intelligence et le pouvoir qu’elles détiennent.

La clef, c’est l’amour de soi, le fait de s’autoriser à être soi-même, à prendre le risque de redevenir un enfant innocent prêt à explorer le monde, son monde. Mais le "risque" est mineur puisque le divin intérieur nous guide. Nous ne sommes pas uniquement cette personnalité, nous sommes aussi la source père mère.

Tant que nous ne validons pas tout ce que nous sommes, "défauts", "ombre" compris, nous nous privons de notre pouvoir de créer notre vie telle que nous le "désirons" et nous verrons en l'autre un danger. 
J’utilise ce verbe à dessein parce que notre pouvoir est celui d’aimer ce qui veut dire que notre véritable nature, notre mission et notre chemin, correspondent à ce que nous aimons profondément : être, vivre et faire. 




Toujours par le processus de la dualité, reconnaitre un défaut, l’accueillir, c'est-à-dire l’accepter sans le juger, rétablit la juste mesure de cette énergie qui se montre alors comme un indicateur de ce que nous voulons profondément et c’est en même temps le moteur de l’action qui va générer le mouvement, l'action à mettre en place afin de manifester ce désir, ce rêve, dans la matière.

Pour revenir à la journée d’hier, j’ai dû accueillir beaucoup de stress avant de recevoir le coup de fil de Magali. Il y a eu tout un parcours qui m’a permis de laisser s’exprimer les peurs relatives à la relation à l’autre et en le faisant, j’ai libéré une partie de ce qui m’empêchait d’être ouverte aux mondes invisibles. Les résistances se sont manifestées par la recherche de compréhension de l’humain au travers de la science, la médecine, la psychologie, d’un raisonnement logique et l’abandon pour un temps les livres "spirituels"reçus récemment. 

Je ne voulais pas être influencée dans un sens ou dans l’autre, m’accrocher à ce qu’elle me dirait ou me laisser hypnotiser, manipuler par l’invisible (mes propres peurs) ou tout rejeter en bloc. 
La question que j’ai posée sur son blog était une forme de test, j’ai tâté le terrain en exprimant mon plus gros blocage qui évidemment cache des croyances. 
J’avais besoin de savoir si elle était vraiment dans l’amour, connectée aux plans de lumière
Il est clair que beaucoup de canalisations proviennent des égrégores et dans ces cas là, bien qu’ils puissent aussi contenir des vérités, ils sont surtout utiles pour aider la personne à user de discernement, à affiner sa propre guidance, à apprendre à s’écouter, à se faire confiance. 
Quand on accepte son ombre et qu’on y découvre des trésors, on comprend que celle-ci est en fait de la lumière déguisée, cachée, dont le rôle est de nous ramener à la raison du cœur, en l’accueillant dans l’amour inconditionnel. Le phénomène de l'effet miroir et la loi d'attraction régissent aussi les plans subtils, invisibles.

Accueillir ses ombres nous ramène au cœur et fortifie notre foi en l’amour, en nous-même et aussi envers les autres puisqu’on comprend qu’il n y’ a pas d’ennemis mais simplement différents acteurs qui jouent le même film écrit par le même auteur, scénariste, producteur, réalisateur, la conscience Une. Elle se projette en des milliards d'âmes, de personnalités et la source de toute vie, se projette en d'innombrables formes, fréquences, rayons, êtres...

Il m’a aussi fallu accepter mon besoin de reconnaissance extérieure même si je sais que c’est l’amour véritable de soi, le fait de se reconnaitre soi-même, de se valider, qui rend libre, affectivement autonome.  Là encore, c’est une question de centrage, et de dosage. D’équilibre dans le don-réception, le retour à soi et l’ouverture aux autres. 

En agissant depuis le cœur, en allant vers l’autre en étant entier, intègre c'est-à-dire dans notre pureté d’être, en toute transparence et sincérité de cœur, on est dans l’échange et plus dans la projection ou la vampirisation. On reçoit et on donne de toute façon mais quand on le fait depuis l’ego, selon une stratégie issue du manque (manque d’amour de soi), on va vers l’autre en portant un masque dans l’espoir dissimulé de prendre en faisant mine de donner, on agit par besoin et non par amour. 
Cette attitude ne peut pas nous combler et en plus de nous rendre dépendant elle ne fera qu’amplifier le manque, l’attachement à la personnalité, aux rôles et nous rendra exigeant envers l'autre tout comme envers nous même.

Dans l’apprentissage, on fait des erreurs qui nous aident à nous ajuster, à prendre conscience justement quand nous sommes dans la peur ou l’amour, dans un rôle ou authentique. C’est de cette façon qu’on apprend à se reconnaitre, à repérer les stratégies,à pouvoir les lâcher en les embrassant et à trouver le juste milieu. Selon le retour, on saura si nous sommes dans la transparence ou dans un rôle. 
J’ai ainsi appris que l’authenticité est d’abord à vivre en soi. 
L’enfant intérieur qui exprime le vivant en nous, tant nos ombres que notre lumière, doit pouvoir être libre et ses messages s’adressent d'abord à nous-même. Le nettoyage se fait tout comme la toilette, dans l’intimité de l’être et à ce niveau là, j’ai encore beaucoup à apprendre. 
Et ce que j’imagine devoir apprendre de cela n’est pas forcément la réalité parce que le mental anticipe selon ses propres références, connaissances et croyances. 

J’allais tirer des conclusions de cette expérience où je juge de m’être trop lâchée, d'avoir dit ce qui me passait par la tête mais quelques signes et surtout l’utilisation du verbe "juger" m’indiquent clairement que je ne suis pas dans l’amour inconditionnel de soi; Un blocage au niveau intestinal, une envie soudaine de dormir, le mental qui pense de façon excessive, qui tourne et retourne la question…Je crois que je vais faire une pause relaxation ! Mais avant, une petite clef de sagesse. C'est devenu une addiction aussi ça!...





Clef 637
« Lâchez prise complètement ! Maintenant il faut aller à l’essentiel, et l’essentiel pour  vous est ce que vous désirez devenir, c’est votre comportement par rapport à votre vie au quotidien, par rapport à votre relation avec les autres et avec tout ce qui vous entoure. »

On peut dire que je suis servie dans ce domaine, vivement que les vacances scolaires se terminent et que le calme revienne parce que malgré que je sache que le comportement des enfants dehors et ma façon de réagir, me renseignent sur l’état de mon monde intérieur exprimé par l’enfant que je suis aussi, c’est éprouvant.

Une séance de relaxation qui a tourné à la méditation guidée enfin à l’appel à communiquer avec un des personnages qui m’a rendu visite le 21 décembre 2012;
Un beau brun ténébreux qui semblait être un "initié", quelqu’un avec un grand pouvoir de séduction-manipulation qui n’a pas dit grand-chose parce que bien que je n’avais pas peur de lui puisque il me semblait très familier, je ne l’ai pas interrogé à l’époque. 
Il m’a suffit de le voir et de sentir ses énergies pour 'savoir' cela. 
Enfin, je ne sais toujours pas si ces personnages sont des projections d’énergies intérieures rejetés ou si ce sont des incarnations passées mais en fait la ‘logique’ semble que ce soit les deux. 
C’est là où la guidance de Magali m’a aidée parce que j’avais besoin qu’elle me confirme des ressentis, des idées, des 'visions', ma guidance personnelle et l’interprétation que j’en ai. 
Je lui ai demandé si ça valait la peine que je tente d'établir le contact avec ces êtres apparus lors du 21 décembre 2012 et elle m'a rappelée que les projections sont des outils de connaissance, de reconnaissance de soi afin de réaliser (prendre conscience) de l'unité en soi, de la complétude que nous sommes, de l'UN.

Je n’ai pas pu entrer en contact avec cet homme lors de ma méditation et quand je bloque mentalement, parce que beaucoup de pensées de peurs se manifestent, tandis que je les accueille mais n’arrive pas à cesser le bavardage mental, je m’endors carrément. 

Déjà, un travail de libération est effectué et la prochaine fois, il y aura moins de ‘barrières’ entre nous. Je sens intuitivement qu’il a beaucoup de choses à me révéler, à m’apprendre, mais je ne cherche pas à y réfléchir intellectuellement. Je sais que les réponses viendront en leur temps, avant que je puise établir un contact direct et c’est certainement cela qui ouvrira la voie, la confiance en soi et en lui (et donc au mondes invisibles et les entités qui les peuplent). 
Le "travail" de libération, d'ajustement, a donc continué par un rêve projection des croyances actuelles qui se calquent sur celles du passé et se synchronisent, s’ajustent. 
Tout ceci m’a ragaillardie mais je suis larguée dans mon planning, un ancrage est nécessaire.  

Je dois aller faire des courses et rien que l’écrivant, j’ai l’impression de ne faire que ça ! Bien que je sois plus à l’aise dans le monde extérieur et intérieur, il y a encore des résistances, des doutes, des critiques, mais je sors de mon train-train quotidien, des repères cloisonnant. 

Avant, ça me sécurisait de gérer mes sorties le matin quand les médicaments-protection faisaient un maximum d'effet, mais maintenant, j’ose peu à peu franchir les frontières, les limites préalablement fixées. Elles m’ont été bien utiles et continuent de l’être puisque aujourd'hui, elles sont des tremplins, des moteurs, des occasions de revenir au cœur, au centre et de libérer les croyances qui les ont construites… 
Pour guérir ma relation aux autres, mises à mal par le trauma de l’enfance, au lieu de mettre mon énergie dans le sevrage médicamenteux j’utilise ces médicaments pour libérer les croyances qui m’ont amenées à choisir ce geste et reconnaitre son aspect positif, qui était, qui est de faciliter le chemin, de le rendre confortable.




Ce geste est la matérialisation de toutes les peurs et croyances réunies et en acceptant ce choix, en lâchant prise à ce sujet, je commence à percevoir la situation d’une façon toute nouvelle. Ce n’est plus un problème mais un moyen judicieux choisi par ma personnalité-âme pour pouvoir lâcher la croyance qu’il faut souffrir pour guérir, souffrir pour être et en plus la culpabilité que ça entrainait. 
Puis pour compenser mes carences dues au rejet du masculin, j'accepte la colère que je porte, je l'extériorise en l'offrant à la source. 
Il est clair que les deux énergies masculine et féminin, enfin les trois, puisque celles de l’enfant sont aussi nécessaire à la réalisation de sa complétude, la manifestation de son quotidien selon ses aspirations profondes, ces énergies ont été incomprises et faussées par l'ignorance de ma vraie nature, de la trinité que je porte. 
Là aussi, ce que j'ai compris au fil du temps, je le retrouve dans les messages du groupe Miriadan, au travers de Magali.

Un orage gronde au loin et je me demande si ma confiance irrationnelle, mon admiration et la sensation d’être en 'terrain connu' vis-à-vis de ce phénomène n’est pas liée avec le personnage dont je parle plus haut. Si je regarde les choses objectivement, c’est clair que les éclairs me fascinent tout comme le bruit du tonnerre et ça ne suscite aucune peur mais plutôt une sensation très familière. 
La connaissance des forces naturelles, de ces énergies, est peut-être un des cadeaux qu’il me réserve…
Bon, je vais en courses avant qu’il ne pleuve. C’est une bonne chose parce qu’il y a forte chance pour que les magasins soient désertés.

J’ai reçu les livres que j’ai commandé à Françoise qui gère plusieurs sites dont une bibliothèque où elle cède tout un tas de livres. J’ai déjà acheté celui de Steve Rother ; « R-appellez-vous » qui agit en profondeur, tout autant au niveau énergétique que mental et je n’en suis qu’à la page 44 ! 
Je stocke des livres et des liens de messages qui résonnent fortement mais je ne les lis pas ou à la vitesse d’un escargot. 
Quand je suis tombée sur le site de Jeshua, canalisé par Pamela Kribbe, j’ai passé des heures à tout lire avec une avidité remarquable, je me nourrissais littéralement des mots-énergies tellement je m’y retrouvais. Idem pour les rayons de Joéliah, les messages d’Ashtar reçus par Simon Leclerc et ceux des êtres de lumière canalisés par Monique Mathieu. Puis j’ai tout relu avec un nouveau regard afin d’intégrer ces vérités par l’application des principes et petit à petit, j’en ai moins eu besoin, je ai moins besoin de m’y référer.
Maintenant que je gagne en confiance, que je reconnais les synchronicités et l’effet miroir qui constituent ma guidance personnelle tout comme les sensations corporelles, l’écoute des personnages intérieurs et l’acceptation, les choses se passent différemment. 
Je commande des livres pour constituer un support structurel, un appui tout comme le contact avec Magali, ça vient me confirmer ce que je reçois, la véracité de ma propre guidance, des images concepts que je reçois de l’intérieur. Et je peux voir que ce que je considérais comme des défauts, constituent en fait des qualités, ou du moins ont leur utilité; Je compte sur ma "flemme intellectuelle" et mon goût pour l'apprentissage sur le tas, pour aller encore plus loin dans l'écoute de soi et la connexion au divin intérieur. 

J'ai remarqué qu'il suffit que j'aborde un thème pour que je sois placée devant l'expérience et comme très souvent je bloque, les questions, des pistes de réflexion et des images-concepts arrivent en guise de réponse et me sont confirmées noir sur blanc, par un article sur lequel je tombe 'par hasard' ou la page du livre que je suis en train de lire. Un bel équilibre entre don réception, cœur et conscience, qui fortifie la foi, l'amour en soi et confirme la réalité de la guidance perso.

Bon, je vais en courses. Un samedi après midi, je n’en reviens pas ! J’ai toujours fuit les magasins à cause de mon hypersensibilité aux énergies des autres qui me revoyaient les miennes en les amplifiant ce qui était insupportable, ingérable. 
Je peux mesurer mon degré de libération des pensées-émotions-énergies, par ce genre de détails qui me montrent que je peux sortir de ma zone de confort, de la protection des stratégies de la peur, de cette façon, dans les choses du quotidien qui se font par automatisme et sont le signe clair qu’une stratégie de défense est en place. 

Et quand le comportement change à ce niveau là, ça veut dire que la peur est absorbée et que le programme logé dans l’inconscient n’est plus activé, que je deviens plus consciente et donc plus apte à assumer ce que je suis en vérité. 
Et c’est vraiment le fait de ne pas m’être critiquée pour ça, d'utiliser encore des stratégies de défense, que l’amour fait son œuvre de libération. 

Au lieu de forcer les choses, de m’obliger à suivre une discipline, fixer des objectifs de réussite et m’y tenir en étant dans le contrôle, le lâcher prise s’avère beaucoup plus efficace, libérateur, et en plus je trouve les outils, les énergies et les talents qui construisent pas à pas mon avenir, sans avoir à lutter mais juste à accepter. 




Encore un autre signe de confiance en soi, aux autres et en la vie, c’est le fait que je sois passée entre les gouttes, entre deux orages, puis aussi le fait que je n’ai rien oublié. 
Il arrivait souvent que je sois perturbée si je rencontrais quelqu’un que je connaissais au point de ne plus être dans le présent et d’oublier des choses alors que j’avais une liste de courses en main ! 
La capacité d’être centrée s’intègre petit à petit et c’est facilité par un petit rituel d’ancrage, de connexion à la terre, au ciel, un appel à mes corps à rester unis, en respirant calmement, avant de sortir.

J’ai des pointes au cœur depuis hier matin qui me traversent et comme je sais que c’est le cœur qui’ "s’élargit" puis comme ça passe et revient sans raison apparente, je me réjouis presque de cette douleur. 
La consultation avec Magali a été plutôt mentale enfin j’ai posé des questions relatives à l’âme, des questions plutôt générales dont je peux trouver les réponses sur son blog mais j’avais besoin de cette connexion pour reconnaitre ma propre lumière, et parler aussi de mon frère et de sa mort prématurée qui a révélé beaucoup de culpabilité bien que je n'ai rien à eu à me reprocher dans l’histoire. 
C’est d’ailleurs ce qui m’avait amenée sur des pistes plus profondes, métaphysiques, afin de trouver un sens à cette horrible tragédie. 
Elle m’a donné un message de sa part à la toute fin de notre entretien et c’est seulement là que je me suis détendue, que des larmes ont coulé et j’ai senti la chaleur en mon plexus solaire et en mon cœur confirmer ce qu’elle me disait. 
Du coup, les réflexions du mental du style, « c’est facile de dire à l’autre ce qu’il veut entendre, pas besoin d’être médium… » n'ont fait que passer et n'ont pas interrompu le flux d'amour. 
C’est vrai, sachant que tout le monde cherche l’amour, la reconnaissance, la tendresse, il est naturel de se tourner vers l’extérieur pour trouver cela et même quand on sait que l’amour est en soi. Les psychologues, prêtres, médiums...sont des miroirs de l'amour en nous-même qui viennent à notre secours afin qu'on puisse accepter cet amour, ce pardon, cette bienveillance, cette reconnaissance qu'on se juge indigne de recevoir. 
Ils nous rassurent nous parlent avec bienveillance et certains en abusent, sont dans la flatterie, demandent des sommes exorbitantes, en créant une interdépendance qui leur permet d'avoir un revenu assuré, régulier. 
Tout est dans la conscience de celui qui exerce mais aussi de celui qui demande et si une interdépendance est créé, elle permettra aux deux de comprendre les jeux de rôles, de voir que ça n'est pas de l'amour véritable...même si c'est aussi une forme d'amour...

Comme je l’ai dit plusieurs fois déjà, l’énergie étant vivante et en mouvement, l’amour étant une énergie de reliance, d’ouverture, de communion, elle veut circuler, embrasser, absorber ce qui est autour d’elle et ça se réalise par l’échange tant avec le divin en soi, les sphères de lumière, les astres, l’univers…qu’avec les humains, la planète, ses règnes et ses plans. 
Le besoin d’être validé par un être, une personne qu’on estime être une référence, une autorité est aussi légitime et accepter cela resitue notre propre pouvoir parce que finalement c’est à soi-même qu’on s’adresse dans l’échange avec l’autre. 
C’est la source qui se parle, se reconnait dans le regard, dans l’interaction avec toute vie et qui se plait à ce jeu du Je, du Nous.

Clef de sagesse trouvée sur le site de Monique Mathieu : http://ducielalaterre.org


Vous pouvez diffuser ce texte à condition d’en respecter l’intégralité, de ne rien modifier (sauf correction des fautes d'orthographe), de citer l’auteur : Lydia Féliz, ainsi que la source : http://lydiouze.blogspot.fr  et ces trois lignes. Merci