Depuis
quelques jours, peut-être les effets de la lune, qui révèle l’ombre en soi et
par le fait d’accueillir tout ce matériel énergétique qui restaure l’amour à
l’intérieure, entre tous ses corps, intégrant ainsi en profondeur la notion
d’unité, je baigne dans une sensation de complétude extraordinaire, un
bien-être que rien n’affecte.
Puis
les échanges avec les humains, en toute
sincérité, qui ont aussi pour effet d’ouvrir le cœur et la conscience
simultanément, amenant une perception nouvelle de l’amour inconditionnel qui
devient plus facile à appliquer et à rayonner sur toute chose, personne,
évènement, tout s’accélère à un rythme inégalé et l’expansion est immense. C’est
peut-être cela le saut quantique, l’élévation ou plutôt l’expansion du
cœur-conscience.
Je
copie-colle ma réponse à un commentaire qui illustre l’effet de l’intégration
de l’amour en soi. Puis évidemment le dit commentaire :
"Il
n'y a pas de "croyance" qui se rapproche de la vérité, bien sûr il ne
peut y avoir entre ces deux termes aucun rapprochement possible...ce qui est
"vrai" n'a nul besoin d'être cru, ne "croyez" vous pas?
Qu'est ce que l'Amour, un "je" est-il nécessaire au verbe aimer ?
Ah, que tous mes "je" meurent...les bons, comme les mauvais...
qu'il ne reste que l'Amour et rien d'autre.
plus de masculin ni de féminin,
plus d'intérieur ni d'extérieur,
plus de savoir ni d'ignorance,
plus de mental opposé au cœur ou au corps
seulement l'amour, sans début ni fin...
l'amour vrai...
la vérité...
Un jour, elle vient et on ne peut plus que se taire...le conflit est alors résolu.
Pierre
Qu'est ce que l'Amour, un "je" est-il nécessaire au verbe aimer ?
Ah, que tous mes "je" meurent...les bons, comme les mauvais...
qu'il ne reste que l'Amour et rien d'autre.
plus de masculin ni de féminin,
plus d'intérieur ni d'extérieur,
plus de savoir ni d'ignorance,
plus de mental opposé au cœur ou au corps
seulement l'amour, sans début ni fin...
l'amour vrai...
la vérité...
Un jour, elle vient et on ne peut plus que se taire...le conflit est alors résolu.
Pierre
Bonjour
Pierre,
On
est d'accord, la croyance est subjective, aléatoire, éphémère, changeante...
Mais
à mon humble avis, il y a autant de vérité que d'être humain, dans le sens de
point de vue, perspective, et c'est tout le "charme" de cette
expérience terrestre.
C'est
aussi ce qui nous permet de trouver le point de vue globale et commun,
universel.
Le
"Je" n'est pas nécessaire au verbe aimer, il en est la raison, l'expression,
celle qui se multiplie à l'infini et mène au "Nous".
Mais pour ce faire nul
besoin de se mettre à genou.
De souffrir ou de s'effacer, l'amour est en tout
et partout et lorsqu'on le reconnait en soi-même et en chacun, il sublime
tout.
Quand
à la résolution de tout conflit, en embrassant tout ce que nous sommes, c'est
l'humanité entière que nous accueillons.
En
ce sens le "Je" deviens "nous" sans qu'il n’y ait à se diviser,
ni à se soustraire mais en se multipliant à l'infini.
Il
est alors le moyen de réaliser (de reconnaitre) l'unité avec tout ce qui est.
Et
c'est tout le sens de cette création, de ce "jeu"
Mais
ça n'est que mon point de vue.
Je
me suis levée après cinq petites heures de sommeil mais avec le cœur immense et
la joie renouvelée, d’être.
J’ai
passée la matinée à donner mon point de vue sur le réseau google+ sans jamais
être en réaction. Et même en sortant la chienne selon l’élan du moment, je suis
tombée sur une belle éclaircie dans un ciel gris, plombé et bien évidemment c’est la
suite logique des épandages massifs qui sont effectués depuis hier,
avant-hier…mais pas une critique, un jugement pas même une plainte.
Je réalise
peu à peu que tout ceci, cette situation de manipulation du climat, de
pollution de l’air et tout ce que ça suppose comme intentions, semble avoir absorbé la victime intérieure.
En voyant la pluie tomber, je me
suis dit : « chouette le jardin est arrosé ! » Et quand je
suis allée au jardin et que j’ai constaté qu’une fraise à peine mûre avait été
mangée par le merle qui s’en régale depuis les premières venues, j’ai été
contente, déjà de ne plus douter que ce soit lui qui commette ces "vols" à répétition puis de savoir, de cette façon, qu’elles sont
comestibles malgré les épandages.
Et oui, s’il est encore en vie depuis une
semaine malgré le bombardement de produits chimiques quotidiens, ça veut dire
que je n’ai pas à m’en faire.
Même si le fait que je sois partie l’année
dernière pendant quatre mois et que pour cette raison, le jardin ait été laissé
à l’abandon, a diminué considérablement la quantité de pieds de fraises, il en
reste suffisamment pour que je puisse me régaler et même partager avec ce
volatile qui m’agaçait hier de manger les plus grosses.
J’ai rigolé en pensant
à la chanson et l’expression du merle moqueur qui me renvoient au passé, à mes
anciennes croyances, d’un ton léger.
Comme une révérence gracieuse à tous ces
personnages, ces rôles, que j’aie incarnés en ces cinquante années.
Je vais
aller m’allonger pour reposer un peu mes yeux et le mental qui est toujours
aussi gourmand ! Cette petite vidéo m’a réjouie et j’ai envie de l’ajouter
ici.
La nature, les animaux sont vraiment des enseignants extras; pas de
discours, pas de mots, tout en image, juste en étant ce qu’ils sont,
entièrement et pleinement.
"Prayer
of The Eagles (Mark ThunderWolf)" au passage, merci à Marie Claire, pour ces partages qui me parlent
La
nature nous parle sans arrêt et ce post trouvées sur google+, posté par Thérèse Baillard, passionnée de culture, de connaissances, est encore remplie
d’enseignements, de paraboles, d’images et de sens qu’on peut lire par
analogie :
« La
fleur simple, la plus grande du monde végétal »
Rafflesia ne possède ni tige, ni feuille, ni racine, mais une fleur actinomorphe à cinq pétales. C'est la fleur simple la plus grande du monde végétal. Chez certaines espèces comme Rafflesia arnoldii elle peut atteindre un mètre de diamètre et peser jusqu'à 10 kg. Chez des espèces plus petites comme Rafflesia manillana, la fleur présente un diamètre de 20 cm.
Rafflesia ne possède ni tige, ni feuille, ni racine, mais une fleur actinomorphe à cinq pétales. C'est la fleur simple la plus grande du monde végétal. Chez certaines espèces comme Rafflesia arnoldii elle peut atteindre un mètre de diamètre et peser jusqu'à 10 kg. Chez des espèces plus petites comme Rafflesia manillana, la fleur présente un diamètre de 20 cm.
La pollinisation est assurée
par des mouches attirées par une odeur de viande en décomposition dégagée par
la fleur.
La Rafflesia ne possède pas de chlorophylle et est incapable de
photosynthèse.
Elle dépend donc totalement de la plante qu'elle parasite :
c'est une holoparasite.
Lors de son cycle de développement, elle vit à
l'intérieur de son hôte sous forme de filaments. Ce n'est qu'au cours de sa
floraison qu'elle est visible extérieurement.
Son mode de vie est ainsi comparable
à celui d'un champignon.
La Rafflésie a été découverte en 1818 dans une forêt
tropicale d'Indonésie par le botaniste Joseph Arnold et nommée par Sir Thomas
Stamford Raffles, le chef de l'expédition.
(Source : Wikipédia)
(Source : Wikipédia)
« Rafflesia 80 cm » par Steve Cornish. Sous licence CC BY 2.0 via Wikimedia Commons - http://commons.wikimedia.org/wiki/File:Rafflesia_80_cm.jpg#/media/File:Rafflesia_80_cm.jpg |
Je vous laisse le soin d’en décrypter le
langage puisque chacun le lira selon ses propres croyances qui définissent le mode de perception spécifique à l'individu.
Nous sommes tous des êtres dotés de raison et de
tendresse mais nous ne le reconnaissons pas parce que nous éparpillons notre
être dans des projections, des comparaisons, par l’identification à des aspects
séparés de ce que nous sommes. Puis lorsque les projections sont envoyées comme pour nous en débarrasser, nous passons à côté du message et du potentiel énergétique qu'elles contiennent.
Bon, un temps de repos s'impose...
Une séance de relaxation mémorable, un spectacle
sur l’écran mental intérieur, de couleurs variées dont une nouvelle palette
jusqu’alors inconnue, comme si elles s’interpénétraient en se mélangeant, créant ainsi de nouvelles combinaisons de couleurs puis revenaient à leur teinte spécifique dans un mouvement continu, un genre de ballet cosmique.
Au tout début, dans ces
expériences, les couleurs venaient vers moi, sous forme de rayons qui
s’élargissaient et le point d'origine était éloigné, extérieur.
Puis avec le temps, elles m’apparaissaient par vagues comme étant
présentes et toujours en mouvement.
Image Credit: NASA, G. Bacon, L. Frattare, Z. Levay, and F. Summers (STScI/AURA) |
Aujourd'hui, je baignais dedans comme si j’étais "avec", ça ressemblait à cette image en plus tendre, pastel. C'est la nébuleuse d'Orion.
C’est
indescriptible mais j’ai encore l’impression que c’est une forme d’intégration
et de projection mentale de « concept » et d’énergie parce qu’il y a
aussi des formes géométriques, des traits lumineux.
Ce qui est sûr que ça arrive
quand je suis bien détendue, calme, le mental apaisé et d’ailleurs, cette fois
ci à part: "oh ! waoua", il n’y a pas eu le bavardage habituel du mental.
Il faut dire
qu’il a pu se lâcher ce matin dans l’échange et il semble que ça ait comblé son
besoin de s’exprimer.
La communication est un besoin de la
personnalité, sa raison d'être tout comme l'âme qui veut communier mais lorsqu’on a besoin d’avoir raison, c’est très souvent la
projection d’un conflit intérieur, une disharmonie ou d’un rejet d’un aspect de soi.
La
culpabilité aussi créé se genre de besoin tout comme la justification.
J’en
parle en connaissance de cause parce que lorsque j’émets une critique, un
commentaire trop tranché ou quand je me prends au sérieux, ça trahit à coup sûr
un malaise intérieur. Je vérifie alors ce que disait le Christ, je crois, "quand
vous donnez, c’est à vous-même que vous le donnez", à peu près.
L’idée s’applique à tout mouvement de soi vers
l’extérieur, parole, pensée, objet.
D’ailleurs à propos de la culpabilité,
voici une vidéo que je n’ai pas encore vue entièrement et le début du discours puis l'énergie que je ressens m'incitent à la publier quand même.
"La
culpabilité l'émotion qui tue" par Gilles Gandy
J’ai
dû interrompre l’écriture et couper la box, la connexion à cause d’un gros
orage qui est venu assombrir le ciel et qui est passé tout prêt. Il y a peut-être un lien avec le poids de ma propre culpabilité non reconnue et acceptée, avec le fait que l'édition de ce passage de l'article cafouille...Laissons la vie, le temps apporter les réponses...Ou comme dirait Lulumineuse; "lâche-toi la grappe"!
J’ai rigolé de
voir les chats se cacher dans l’armoire et sous le lit.
L’orage me fait
toujours un effet relaxant bien qu’on pourrait penser qu’il électrise. Peut-être que je le vis comme un équilibrage des énergies électriques et magnétiques.
J’ai
tout de même eu le temps de constater que mes commentaires n’étaient pas
rejetés malgré qu’ils n’étaient* pas en accord avec la pensée dominante, soit de
l’article relayé, soit des commentaires.
Là encore, quand on est en paix en
soi-même, l’énergie qui sous-tend les mots n’agresse pas et c’est un reflet
bien agréable des fruits de l’acceptation de soi, de tous les aspects de la
personnalité, de l’être.
Si on s’exprime depuis le cœur, ou en étant
profondément sincère, l’autre sera touché ou du moins ne se sentira pas
agressé. Nous portons tous les même peurs, les mêmes croyances douloureuses,
limitantes, restrictives qui, si elles nous viennent de nos parents, de la
société ou des médias ne sont que le reflet de ce que nous pensons de nous
même, de l’intolérance vis-à-vis de ce que nous appelons nos défauts, nos
faiblesses, nos comportements qualifiés par nous-même, de mauvais, mais en fait, ces aspects que nous tentons de cacher, que nous
rejetons, sont notre richesse, notre singularité.
On peut voir que les femmes
ou les hommes les plus appréciés de la majorité des français (sondages effectués chaque année) ne sont pas des
canons de beauté, ils sont aimés pour leurs différences, leur particularités,
et avant tout leur courage à être eux-même, à oser se respecter, honorer leur
valeurs profondes, leurs convictions qui même si elles ne correspondent pas aux
nôtres forcent le respect.
Et en général se sont des valeurs humanistes,
égalitaire, respectueuse de l’autre.
Car quand on se respecte, quand on est
fidèle à soi-même, on est pareil avec l’autre, on porte le même regard tendre à
l’égard des autres humains puisqu’on n’a pas à prouver sa valeur, puisque on la
reconnait. Et on ne va pas se la péter, se sentir supérieur puisque c’est
justement en acceptant ses défauts, ses côtés râleurs, bougon, grande gueule,
que l’équilibre se créé naturellement et cette expérience nous rend apte à voir
que le comportement de l’autre cache une souffrance, un déni de soi, une
division intérieure. Comme on sait ce que ça fait, il ne nous vient pas à
l’idée de condamner l’autre puisqu’on s’est soi-même pardonné.
*Le programme, « Word », m’agace à
souligner la conjugaison alors ‘je lui dis’ : « oui je sais, j’aurais
dû écrire ‘qu’ils fussent’, mais quel intérêt de suivre les règles de
conjugaison si celles-ci mettent une distance entre ce que je suis dans la vie
de tous les jours et ce que j’exprime sur le papier ? »
L’humanité souffre des faux semblants, des
discours flatteurs et de l’hypocrisie, il y a un besoin immense d’authenticité
et c’est la conséquence directe de la lumière qui nous est envoyé en masse par
vagues successives et croissantes.
Il est clair que celle-ci aveugle et révèle
tout ce qui était dans l’ombre, tant au niveau individuel que collectif et pour
cette raison, plus on est sincère, transparent, et moins le choc sera douloureux.
Le
fait de dire ce que l’on pense, en considérant l’autre comme un frère, une
sœur, un égal, nous attendri le cœur et on est alors dans la "vraie compassion",
pas celle qui regarde l’autre de haut.
Puis comme on sait que l’erreur fait
partie de l’apprenti-sage, qu'elle est l'apprentissage, la formation par excellence, lorsqu’on n’est pas d’accord avec quelqu’un, on ne
l’agressera pas d’entrée mais on va essayer de l’écouter, de le comprendre
plutôt que de le rejeter.
Rejeter l’autre, c’est juste la peur de l’inconnu, et
en général plus on sera virulent plus ça voudra dire que ce même aspect est
profondément caché, rejeté, en nous-même.
Et comme on sait que la pensée est de
l’énergie, que l’énergie est le mouvement par nature, on peut aisément
comprendre que lorsqu’on l’enferme dans le noir pendant des années, voire des
siècles, celle-ci prend des proportions énormes.
Bon le calme est revenu, il
n’y a plus un bruit dehors ni dans le bâtiment.
L’orage a le chic pour
désamorcer les colères, pour ramener chacun à l’humilité face à la puissance de
la nature.
Et là aussi, quand on connait sa vraie nature, son côté sauvage et
qu’on l’apprivoise, qu’on en connait la tendresse tout autant que la force
puisque on est le témoin de l’alchimie émotionnelle en soi, on ne craint plus
l’inconnu, l’étranger, l’obscurité. On ne le rejette pas systématiquement, on apprend à écouter vraiment, au-delà de la forme, des mots.
A ce propos la nuit n’est pas encore
tombée, je vais aller faire un tour pour profiter du bon air, ça sent bon, ça
sent la nature dépolluée…
Vous
pouvez diffuser ce texte à condition d’en respecter l’intégralité, de ne rien
modifier (sauf correction des fautes d'orthographe), de citer l’auteur :
Lydia Féliz, ainsi que la source : http://lydiouze.blogspot.fr et ces trois lignes. Merci