La
sagesse de vos cellules est une nouvelle biologie qui va changer profondément
la civilisation et le monde dans lequel nous vivons.
Cette nouvelle biologie
nous amène de la croyance que nous sommes victimes de nos gènes, que nous
sommes des machines biochimiques, que notre vie est hors de notre contrôle, à
une toute autre nouvelle réalité, une
réalité où nos pensées, nos croyances et notre esprit contrôlent nos gènes, nos
comportements et la vie que nous expérimentons.
Cette
biologie est basée sur une science récente et moderne à laquelle de nouvelles
perceptions ont été ajoutées.
La
nouvelle science nous amène de l'état de victime à celui de créateur, nous
sommes très puissant pour créer et développer notre vie. C'est actuellement la
connaissance de soi et, si nous comprenons cet ancien axiome"La
connaissance c'est le pouvoir," alors nous commençons à comprendre ce
qu'est la connaissance en tant que pouvoir personnel. C'est, je pense, ce que
nous obtiendrons par la compréhension de la nouvelle biologie.
Voyager dans l'espace
intérieur
Je
fus introduit à la biologie lors de mon passage en second cycle. Le professeur
apporta un microscope pour nous montrer des cellules et je me rappelle combien
ce fut excitant.
À
l'université, je suis passé du microscope conventionnel au microscope
électronique et j'ai eu l'opportunité d'aller plus loin dans l'observation de
la vie des cellules.
Les
leçons que j'ai appris ont profondément changé ma vie et m'ont donné un point
de vue sur le monde dans lequel nous vivons que je voudrais échanger avec vous.
L'utilisation
du microscope électronique ne m'a pas seulement permis d'observer les cellules
de l'extérieur cela m'a aussi permis d'aller à l'intérieur de l'anatomie de la
cellule et ainsi comprendre la nature de son organisation, de ses structures et
de ses fonctions.
Autant
les gens peuvent parler d'un voyage dans le cosmos, moi je volais littéralement
dans l'espace intérieur avec des paysages nouveaux, appréciant encore plus la
nature de la vie, la nature des cellules et notre participation dans nos
propres cellules.
À
cette époque, j'ai aussi commencé une formation dans la culture cellulaire. En
1968, j'ai commencé le clonage des cellules, j'ai commencé à multiplier les
cellules souches, faisant mes premières expériences avec, comme guide, le Dr.
Irv Konigsberg un scientifique brillant qui a crée les premières cultures de
cellules souches.
Les cellules souches sur lesquelles je travaillais
s'appelaient des myoblastes.
Myo veut dire muscle; et blaste veut dire
progéniture.
Lorsque
je mettais les cellules dans les boites de culture avec les conditions qui
favorisaient leur croissance, les cellules se développaient et je finissais
avec des muscles contractiles géants. Cependant, si je changeais la situation environnementale,
cela changeait le destin des cellules.
Je
prenais les mêmes précurseurs de muscle mais, en changeant l'environnement, ils
commençaient à former des cellules osseuses. Si j'altérais encore plus les
conditions, ces cellules devenaient des cellules adipeuses ou cellules grasses.
Le
résultat de ces expérimentations était vraiment incroyable parce que toutes ces cellules étaient génétiquement
identiques ; le destin des cellules était contrôlé par l'environnement dans
lequel je les avais placées.
Tandis
que je faisais ces expériences, j'ai aussi commencé à enseigner aux étudiants
de l'École de Médecine de l'Université du Wisconsin la compréhension
conventionnelle qui veut que les gènes contrôlent le destin des cellules.
Encore
que mes expériences aient clairement révélé que le destin des cellules était
plus ou moins contrôlé par l'environnement. Bien sûr, mes collègues étaient
vexés par mon travail. Chacun était embarqué dans le projet sur le génome
humain et supportait l'idée que « la vie est contrôlée par les gènes ». Alors
que mon travail révélait que l'environnement pouvait altérer les cellules, ils
ont avancé que c'était une exception à la règle.
Vous êtes une
communauté de 50 trillion de cellules vivantes
J'ai
maintenant une nouvelle compréhension de la vie et une nouvelle façon d'enseigner
aux gens la vie des cellules.
Lorsque
vous vous regardez, vous voyez un seul et même individu. Mais lorsque vous comprenez
la nature de qui vous êtes, vous réalisez qu'en fait vous êtes une communauté
d'environ 50 trillions de cellules vivantes.
Chaque cellule est un
individu vivant, un être sensible qui a sa propre vie et ses propres fonctions,
mais qui interagit avec les autres cellules comme le ferait une communauté.
Si
je pouvais vous réduire à la taille d'une cellule et si je vous plaçais dans
votre propre corps, vous verriez une métropole affairée de trillions
d'individus vivant dans une seule et même peau.
Cela devient pertinent
lorsqu'on comprend que, la santé c'est
lorsqu'il y a de l'harmonie dans la communauté, et que les maladies
s'installent lorsque la disharmonie brise les relations communautaires.
Donc,
en premier, nous sommes une communauté.
Fait
numéro deux : il n'y a pas une fonction dans le corps humain qui ne soit déjà
présente dans chacune des cellules.
Par
exemple, vous avez toute une variété de systèmes : digestif, respiratoire, excréteur,
musculo-squelettique, endocrinien, reproducteur, un système nerveux et un
système immunitaire mais, chacune de ces
fonctions existe dans chacune de vos cellules.
En
fait nous sommes construits à l'image d'une cellule. C'est très utile pour les
biologistes parce nous pouvons faire des recherches sur les cellules, et
appliquer l'information obtenue pour comprendre la nature du corps humain.
J'enseignais
ce qui est appelé le ''modèle médical'', la perception que la biologie humaine représente
une machine biologique qui a une biochimie et qui est contrôlée par les gènes.
Par conséquent, lorsqu'un patient va voir le docteur, le système de croyances
fait que si le patient a quelque chose qui ne tourne pas rond avec sa biochimie
ou ses gènes, cela peut être réajustée et ainsi guérit.
À
partir de là, j'ai réalisé que je devais quitter l'université parce que j'avais
développé un conflit en enseignant aux étudiants ce qui contrôlait la cellule
et j'obtenais une compréhension totalement différente à partir de ma culture de
cellules.
Une nouvelle
compréhension de la science
En
dehors de l'université j'ai eu la chance de lire un ouvrage sur la physique.
J'y ai à nouveau trouvé des informations qui ne se conformaient pas à la
science que j'enseignais.
Dans le monde de la nouvelle physique, la physique
quantique, les mécanismes qui sont décrits entrent en collision avec les mécanismes
qu'on nous enseignait, qui étaient basés sur la vieille physique Newtonienne.
La
nouvelle physique n'est pas encore introduite dans les ouvrages médicaux
scolaires.
Avant
la science conventionnelle, la science était la province de l'église. On
appelait ça la ''théologie naturelle'' et elle était nimbée de spirituel qui
disait que les mains de Dieu étaient parties prenantes dans le déploiement de l'univers
et dans la stabilité du monde, que l'image de Dieu s'exprimait à travers la
nature qui nous entourait.
La théologie naturelle avait comme mission : de
comprendre la nature de l'environnement afin que nous puissions apprendre à
vivre en harmonie avec elle. Plus prosaïquement cela veut dire apprendre comment
vivre en harmonie avec Dieu, en considérant que la nature et Dieu sont
connectés.
Cependant,
à cause des abus de l'Église, leur insistance sur la connaissance absolue, et
leurs efforts à supprimer de nouvelles connaissances, il y eut ce qu'on appelle
la Réforme.
La
Reforme, menée par Martin Luther, était un challenge face à l'autorité de
l'église.
Après la Reforme, il y eut l'opportunité de questionner les croyances
à propos de l'univers, et la science devint ce qu'il convient d'appeler la
science moderne.
Isaac
Newton, un physicien dont les premières études ont portées sur la gravité et le
mouvement des planètes, a posé les bases de la science moderne. Il a inventé
une nouvelle mathématique appelée le calcul différentiel pour créer une
équation pouvant prédire les mouvements du système solaire.
La
Science a identifiée les vérités comme étant des choses que l'on pouvait
prévoir.
Les
physiciens Newtoniens perçoivent l'univers comme une machine faite de matière ;
ils disent que si on peut comprendre la nature de la matière qui constitue la
machine, alors on va comprendre la nature elle-même.
Donc,
la mission de la science était de contrôler et de dominer la nature, ce qui
était complètement différent de la mission de la science de la théologie
naturelle, qui était de vivre en harmonie avec la nature.
Le
problème du contrôle, au regard de la biologie, devient un point très
important. Qu'est-ce qui contrôle les traits que nous exprimons ?
Pour
les physiciens Newtoniens, les formes de vie représentent des machines faites
de matière et, pour comprendre ces machines, vous devez les décortiquer, c'est
un processus qu'on appelle le Réductionnisme.
Si vous étudiez les pièces
individuellement et que vous comprenez comment elles fonctionnent, vous n'avez
plus qu'à re-assembler le tout, ce qui vous donne une compréhension du tout.
Charles Darwin a dit que les traits qu'exprimait un individu étaient connectés
à ces parents. Le sperme et l'œuf, lorsqu'ils fusionnent et forment un nouvel
individu, doivent transporter quelque chose qui contrôle les traits de la progéniture.
L'étude
sur la division cellulaire date du début des années 1900 et il a été découvert
des structures semblables à des cordes, présentes dans les cellules qui
commençaient à se diviser. Ces structures en forme de cordes ont été appelés
chromosomes.
Il
est également intéressant de souligner que, lorsque les chromosomes ont été
identifié aux environs des années 1900, c'est seulement en 1944 que nous avons
vraiment identifié lesquels de ces composants portaient les traits génétiques.
La
nouvelle a excitée le monde entier. Ils ont dit, oh, mon Dieu, après toutes ces
années on a finalement réussit à identifier le matériel de contrôle génétique,
il semblerait que ce soit l'ADN. En 1953, le travail de James Watson et Francis
Crick a révélé que chaque brin d'ADN contient une séquence de gènes.
Les
gènes sont les blueprints, les plans pour chacun des quelques 100,000
différentes sortes de protéines qui sont les blocs de construction pour
fabriquer un corps humain.
Un titre annonçant la découverte de Watson et Cricks
est apparu dans un journal de New York : "Découverte du Secret de la
Vie" et, à partir de là, la biologie a été emballé par les gènes.
Les
scientifiques ont vu qu'en comprenant le code génétique il était possible de
changer les caractères d'un organisme et donc, qu'il y avait quelque chose de
grand pour se précipiter tête la première dans le projet du génome humain et
tenter de comprendre la nature des gènes.
Au
départ, ils pensaient que ces gènes contrôlaient seulement la forme physique, mais
en manipulant plus avant ces gènes, ils se rendaient compte qu'ils
influençaient le comportement et les émotions. Soudainement, les gènes ont prit
une signification plus profonde parce que les caractères et les traits humains
étaient apparemment contrôlés par ces gènes.
Sommes-nous
victime de notre hérédité ?
Il
reste encore une dernière question : qu'est-ce qui contrôle l'ADN ?
Ce
serait monter plus haut que le dernier échelon de l'échelle que de découvrir ce
qui, en fin de compte, est au contrôle. Ils ont fait une expérience qui a
révélé que l'ADN était capable de faire une copie de lui-même ! l'ADN contrôle
les protéines et les protéines représentent nos corps. Pour l'essentiel, il est
dit que la vie est contrôlée par l'ADN. C'est le Dogme Central.
Ça
soutient un concept appelée "la primauté de l'ADN" qui dit qui et ce que
nous sommes, et que la destiné des nos vies est déjà préprogrammée dans l'ADN
que nous avons reçu à notre conception.
Quelle
est la conséquence de tout ça ? Que le caractère et le destin de nos vies reflètent
l'hérédité dans laquelle nous sommes nés ; actuellement vous êtes une victime
de l'hérédité.
Par
exemple, les scientifiques ont observé un groupe de personnes en les
sélectionnant sur la base du bonheur et ont essayé de découvrir s'il y avait un
gène associé aux gens heureux qui n'était pas actif chez les gens malheureux.
Bien sûr, ils ont trouvé un gène particulier qui semblait être plus actif chez
les gens heureux. Alors, ils ont immédiatement lancé une campagne médiatique sur
"Découverte du Gène du Bonheur." Vous pourriez dire, "Mais,
attend une minute. Si j'ai ce foutu gène du bonheur qui déconne, ça veut dire
que ma vie entière est prédéterminée.
Je
suis victime de mon hérédité." C'est exactement ce qu'on apprend à l'école
et c'est aussi ce que j'ai enseigné – que les gens n'avaient aucun pouvoir sur
leur vie parce qu'ils ne pouvaient pas changer leurs gènes.
Mais lorsque les gens
reconnaissent le fait d'être impuissants, ils commencent aussi à devenir
irresponsables.
"Bien, en fait, Patron, vous dites que je suis feignant mais je dois vous
faire savoir que mon père était feignant. Qu'est-ce que vous attendez de moi ?
J'entends par là que mes gènes font que je suis feignant. Et je ne peux rien faire
contre ça."
Récemment,
est paru dans Newsweek un article expliquant comment les adipocytes font la
guerre à notre santé. C'est intéressant parce que dans une épidémie d'obésité
la science recule et indique : c'est vos adipocytes qui font la guerre à votre
vie.
Le projet du génome
humain
Pour
venir nous sauver, le projet du génome humain a fait son entrée dans le monde.
L'idée du projet était d'identifier tous les gènes qui font un être humain.
Il
offrait une future opportunité à l'ingénierie génétique de corriger les maladies
et les problèmes rencontrés par les hommes du monde entier.
Je
pense que le projet avait un but humanitaire mais, il fut intéressant de
connaitre plus tard par Paul Silverman, un des principaux architectes du projet
du génome humain, de quoi il en retournait exactement.
Ce fut simplement ça :
il a été estimé qu'il y avait plus de 100,000 gènes dans le génome humain parce
qu'il y avait plus de 100,000 différentes protéines dans le corps ; en plus, il
y avait aussi des gènes qui ne produisaient pas de protéines mais qui
contrôlaient les autres gènes.
Le
projet fut réellement conçu par des spécialistes du capital-risque ; ils sont
partis du principe que, puisqu'il y avait plus de 100.000 gènes, en identifiant
ces gènes et qu'en brevetant les séquences de gènes, ils pourraient vendre ces
brevets auprès de l'industrie du médicament et que celle-ci les emploierait
afin de créer des produits de santé.
(Une
vidéo très explicite au sujet du business de la santé et de la loi du marketing…que le programme ne trouve pas ...comme par hasard...Cliquez sur le lien ci-dessous pour la voir)
En
fait, le programme n'était pas conçu pour faire avancer l'état de santé humain
mais plutôt pour faire beaucoup d'argent.
Voici
la partie la plus amusante. Les scientifiques savaient que comme vous montez
l'échelle de l'évolution, les organismes simples avaient moins d'ADN et
qu'arrivée au niveau humain, avec la complexité de notre physiologie et de nos comportements,
nous avions plus d'ADN. Ils pensaient que les organismes primitifs auraient
moins d'ADN, peut être quelques milliers de gènes et que les humains devaient
en avoir approximativement 150, 000, ce qui voulait dire 150,000 nouveaux
médicaments.
Le
projet a commencée en 1987 et montrait que lorsque plusieurs cerveaux mettaient
ensemble leurs compétences, ils pouvaient créer des miracles.
En
seulement quatorze ans environ, nous avons eu le résultat du génome humain.
Cela a donnée ce que j'appelle ''une blague cosmique''.
Pour
débuter le projet du génome humain, ils ont commencée par étudier un organisme
primitif, un ver miniature tout juste visible à l'œil nu. Ces vers ont été des
animaux expérimentaux pour les généticiens parce qu'ils se reproduisent très
vite et en nombre important, exprimant ainsi rapidement les traits qu'on veut
étudier.
Ils
ont trouvé que ce petit animal avait un génome d'environ 24,000 gènes.
Puis
ils ont décidé de prendre un modèle génétique supplémentaire avant de faire
celui de l'humain et ils ont choisis la mouche du vinaigre à cause de la grande
quantité d'informations déjà disponibles sur la génétique et le comportement de
mouches du vinaigre. Le génome de la mouche du vinaigre ne présentait que
18,000 gènes. Le ver primitif avait 24,000 gènes et cette machine à voler
n'avait que 18,000
gènes !
Ils n'ont pas compris ce que cela signifiait mais l'ont mis de côté,
et ils ont commencé le travail sur le projet de génome humain.
Le
résultat est arrivé en 2001 et ce fut un choc majeur : dans le génome humain il
y avait seulement environ 25,000 gènes; ils en attendaient environ 150,000 et
il n'y avait que 25,000 gènes ! Ce fut un tel choc que les scientifiques n'en
ont pas parlé.
Tandis
qu'il y avait ces couacs à l'achèvement du projet de génome humain, personne
n'a parlé des 100,000 gènes manquant. Les journaux scientifiques n'ont pas
abordé ce sujet de discussion. Lorsqu'ils se sont rendu compte qu'il n'y avait
pas assez de gènes pour expliquer la complexité humaine, cela a secoué les
fondations de la biologie.
En
quoi tout ceci est si important ? Si une science est basée sur comment
fonctionne réellement la vie, cette science doit pouvoir s'utiliser dans la
pratique médicale. Mais si vous basez votre science sur de fausses informations,
alors cette science se fait au détriment de la pratique médicale.
C'est maintenant un
fait reconnu que la médecine allopathique conventionnelle, la première médecine
utilisée dans les pays de l'Ouest, est la première cause de mort aux États Unis.
Elle est aussi responsable d'une mort sur cinq en Australie*.
Dans
le journal de l'Association Médicale Américaine, le Dr. Barbara Starfield a
écrit un article révélant que la pratique de la médecine est la troisième cause
de décès aux États Unis.
Cependant,
une étude récente menée par Gary Null (voir Death by Medicine at:
www.garynull.com), indique que plutôt
que d'être la troisième cause de décès, elle est devenue la première des causes
avec plus de trois quarts de million de personnes qui meurent chaque année des
suites de traitements médicaux.
Actuellement,
si la médecine savait ce qu'elle était en train de faire, elle ne serait pas
aussi mortelle que ça.
J'ai
quitte l'université en 1980, sept ans avant le début du projet du génome humain
parce que j'avais déjà conscience que les gènes ne contrôlaient pas la vie.
J'avais conscience de l'influence de l'environnement, mais mes collègues me
regardaient non pas comme quelqu'un de radical mais plutôt comme un hérétique,
car j'étais en conflit avec le dogme, par conséquent c'est devenu un argument religieux.
Jusqu'à
un certain point je peux dire que ma religiosité m'a conduit à démissionner de
mon poste.
C'est
à ce moment que j'ai commencé à avancer dans la compréhension des fonctions du
cerveau et dans les neurosciences. Ce que je tentais vraiment de comprendre
c'est que si ce n'est pas l'ADN qui contrôle les cellules, alors où se trouvait
le « cerveau » de la cellule ?
L'ordinateur interne
La
nouvelle biologie a révélé que le
cerveau de la cellule c'est sa peau, la membrane, l'interface entre l'extérieur et l'intérieur de la cellule et le monde
toujours changeant dans lequel nous vivons. C'est l'élément fonctionnel qui
contrôle la vie.
C'est
important parce que comprendre ces fonctions révèle que nous ne sommes pas victimes de nos gènes.
À
travers l'action de la membrane cellulaire nous pouvons contrôler nos gènes,
notre biologie et notre vie et que nous avons fait ça depuis que nous peinons
sous la croyance que nous sommes des victimes.
J'ai
commencée à réaliser que la cellule était comme une puce électronique et que le
nucléus était le disque dur qui contenait les programmes.
Les
gènes sont des programmes. Alors que je tapais ceci sur mon ordinateur un jour,
j'ai réalisé que mon ordinateur était comme une cellule.
Dedans,
j'ai des programmes et que, ce qui est exprimé par l'ordinateur, n'est pas
déterminé par les programmes. C'est déterminé par les informations que moi, en tant
qu'environnement, je suis en train de rentrer par l'intermédiaire du clavier.
Soudain,
toutes les pièces se sont mises en place : la membrane cellulaire est en
réalité une puce d'ordinateur. Les gènes de la cellule sont le disque dur avec
tous les potentiels.
C'est
pourquoi chaque cellule de votre corps peut former toutes sortes de cellules,
parce que chaque nucléus possède tous les gènes qui font un être humain.
Mais
pourquoi une cellule donne la peau et une autre donne les os ou les yeux ?
La
réponse n'est pas le programme des gènes mais ce qui est donné par le retour de
l'information de la part de l'environnement. Tout d'un coup quelque chose m'a
frappé : ce qui nous rend différent les
uns des autres c'est la présence d'un jeu de clés unique de protéine
d'identification (des récepteurs) qui composent le clavier à la surface de nos
cellules.
Les
clés d'identification, sur la membrane cellulaire, répondent aux informations
de l'environnement. Le grand "Aha!" fut que : notre identité est un
signal de l'environnement qui se joue sur le clavier à la surface de nos
cellules et qui actionne nos programmes génétiques ; vous n'êtes pas à
l'intérieur de vos cellules, vous agissez sur vos cellules en vous servant du clavier
comme d'une interface. Vous êtes une identité provenant de l'environnement.
Lorsque
j'étais plus jeune, je n'ai pas vu que la religion m'offrait la vérité. Je suis
parti de l'esprit pour finir dans la science. De réaliser que mon identité
était quelque chose de l'environnement qui passait par mes cellules, fut pour
moi un grand choc parce que j'étais dans une réalité qui n'avait rien de spirituelle
et que ça m'a propulsée dans l'exigence d'une existence spirituelle.
Mes
cellules étaient comme des éléments d'un téléviseur avec des antennes et
j'étais l'émission qui contrôlait la lecture des gènes. En fait, je programmais
mes cellules.
J'ai
réalisé que, si mes cellules mourraient, cela ne voulait pas nécessairement
dire que je perdais l'émission – l'émission était au dehors, que la cellule
soit présente ou pas.
Tout
d'un coup, j'ai été pris d'une crainte profonde. Ce que je réalisais c'était
que la survie n'était pas aussi
importante parce que mes caractéristiques essentielles dérivaient d'une
émission venant d'une autre partie du champ. La peur de la mort a disparu.
C'était il y a environ vingt-cinq ans et ce fut une expérience la plus
merveilleuse et la plus libératrice que j’aie jamais eue...
Cet article est une présentation dérivée de «La
sagesse de vos cellules », « Comment vos croyances contrôlent votre biologie»,
2006 par Sounds True pour des Cours Audio sur 8 CDs, www.soundstrue.com. Parties
1, 2 et 3 de la présentation du Dr. Lipton apparue au printemps et à l'été 2007
pour « Lumière de la conscience »
Article trouvé sur : http://sculptenergy.e-monsite.com
Le site de Bruce Lipton, malheureusement seulement en anglais:
Acheter le livre aux éditions Ariane sur le site de l'éditeur (plutôt que sur Amazon dont les conditions de travail sont scandaleuses pour les employés) Perso, je vais le commander chez le buraliste, comme d'hab' :
http://www.editions-ariane.com/boutique/collection-medecine-du-futur/6-biologie-des-croyances-9782896260188.html
*Je n’illustre
pas ce thème par une vidéo (bien qu'il y en ait pas mal sur le net) parce que mon objectif en publiant cet article n’est
pas de démontrer l’arnaque de la médecine (je n'ai plus aucun doute là-dessus) mais d’amener des infos scientifiques
qui viennent confirmer la foi en l’autoguérison, le pouvoir de chacun de
prendre sa vie en main…
C’est à mon sens l’intérêt de ces connaissances et la
meilleure façon de créer sa réalité tout en participant au mieux-être général,
sans passer par les vieux schémas destructeurs de l’accusation, la vengeance et
la condamnation...
Puisque
tout est énergie et même si la prise de conscience est nécessaire, ce
n'est pas mon "rôle" ou tout au moins, ça n'est pas ce qui nourrit mon
âme, ma joie ni ma paix, que de diffuser des énergies de l'ancien monde. Il m'a semblé tout de même important de publier la partie où il explique le dogme de la science "business" l'évolution de celle-ci et sa prise de position en tant que chercheur de vérité.
Merci de laisser les références, les liens, ainsi que celui
qui mène au site de l’éditeur, si vous souhaiter diffuser cet article et de
mentionner aussi ce blog (http://lydiouze.blogspot.fr
) puisque le travail de recherche, d'édition et de retranscription a demandé du temps (près de 10 heures au total) et
de l’énergie.