Réveillée à quatre heures par des
douleurs abdominales et la chaleur, je me suis levée parce que je ne retrouvais
pas le sommeil. Je ressens une grande lassitude par rapport à ce qui se passe
en ce moment sur terre. Enfin surtout pour la façon dont chacun y va de son
interprétation.
La recherche de sens est légitime mais quand on ne dispose pas
de tous les éléments pour comprendre, on va s’empêtrer dans les explications
qui seront portées par nos croyances les plus ancrées et on sera plus roche de
la spéculation que de la vérité.
Puis la vérité, de quelle vérité
parle-t-on ?
Il y a la vérité individuelle, collective, celle de
l’humanité Une, celle de l’univers…
Mais quelle est celle dont je
sois personnellement responsable et vis-à-vis de qui ?
Depuis avant-hier,
j’ai un schéma en tête qui vient calmer mes raisonnements. Ce sont des cercles
ou des sphères qui sont placées comme des poupées russes et semblent
représenter les différents corps. Comme si l’individu élargissait son espace
de sphère en sphère, de corps en corps.
Il semble que le plus gros du "travail" à
l’heure actuelle, se situe dans les chakras du bas, les corps physique,
émotionnel, mental et la sphère qui entoure le cœur s’élargit englobant chacun
d’eux. Comme s’ils étaient passés par le tamis du cœur afin d’être allégés
et alignés définitivement aux fréquences de l’âme.
Je ne sais pas si ces formes
géométriques viennent pour rassurer la personnalité mais la façon dont elles
émergent me calme, arrête le blabla du mental.
Puis comme j’ai bien aller au
fond des choses, j’ai repassé la conversation téléphonique d’hier avec ma mère
et le moment où il y a eu un silence. On a commencé à parler des évènements de
la semaine passée et nous n’étions pas d’accord. Enfin nous avons changé de
sujet parce qu’il était clair que ni l’une ni l’autre n’avions envie
d’argumenter. Je me suis dis qu’elle restait accrochée à ses croyances autant
que je pouvais l’être à ma foi et qu’il était inutile d’essayer d’unifier nos
visions.
Puis, ce matin, comme mon estomac
criait famine, j’ai supposé que mon enfant intérieur était un peu paniqué. J’ai
commencé à mettre ça sur le compte du sevrage puis l’image de l’enfant
intérieur en attente de reconnaissance, de validation est venue.
J’ai beaucoup
souffert, enfant, de l’incompréhension de ma mère, de sa façon de réagir à mes
plaintes légitimes qui me faisaient passer pour Caliméro. Cette négation de
mes propos, de ma personnalité, a laissé des cicatrices que j’ai encore besoin
de soigner.
Ma mère a longtemps représenté le
bon sens à mes yeux, dans sa façon d’être dans le monde, de comprendre, de
cultiver son jardin. Malgré sa surdité et son manque de clairvoyance concernant
l’inceste, l’adulte que je suis voit en elle l’équité, le sens de l’honneur, de
la justice, mais l’enfant intérieur ne voit pas du tout les choses de la même
manière. Pour lui, il s’agit là d’une injustice, d’un rejet, d’une trahison,
bref, il me pousse à regarder ces blessures de près et à les entourer de
l’amour et de la lumière de ma conscience.
Parce que finalement, tout ce qui
se passe à l’extérieur, révèle ce qui se cache en chacun au niveau de l’inconscient.
Chacun réagit selon ce qu’il est, ce qu’il croit être, ce qu’il ressent. Même
quand il s’agit de se positionner personnellement, la majorité des gens se fie
à l’opinion générale et va se ranger du côté des plus forts, des plus nombreux,
de ceux qui semblent plus éveillés, qui présentent bien, qu’on envie, qu’on
jalouse mais qu’on admire par identification, parce qu’on voudrait être comme
eux.
On a si peu d’amour pour soi et
de confiance en notre propre sagesse, qu’on projette nos manques dans la forme
de celui qui semble pouvoir les combler parce qu’il semble disposer de tout ce
qui nous fait défaut. On irait même jusqu’à donner sa vie pour être accepté
dans les cercles de ceux qu’on vénère ouvertement ou en secret.
Et c’est ce que
l’on fait graduellement en commençant par accorder plus de crédit aux autres
qu’à soi-même. On se renie pas à pas, à la mesure des peurs ingérées, dans
l’urgence, la réaction. On se livre pieds et mains liées préférant endosser le
rôle de la victime plutôt que de devenir responsable de soi.
La victime peut se
plaindre, critiquer, et surtout elle n’a aucune responsabilité à assumer. De ce
fait, elle se croit libre parce que libérée du poids de la responsabilité alors
elle va défendre ses droits en oubliant complètement que l’un ne va pas sans
l’autre.
Elle va réclamer à l’extérieur ce qu’elle ne veut pas se donner à
elle-même.
On a si peu confiance en soi
qu’on n’ose pas penser par soi-même, agir selon ses propres aspirations, être
différent. Pourtant, il nous suffit d’ouvrir notre cœur et d’apprendre à
connaitre son langage pour être guidé en toutes circonstances.
Comment
reconnait-on le langage du cœur ?
En venant s’y lover régulièrement, en
percevant l’énergie qui s’en dégage ; la paix, la joie subtile et la force
sereine qui découlent de l’acceptation de ce qui est.
C’est un langage
personnalisé qui ne peut être compris que par celui qui l’entend et c’est justement
là qu’est la force de cette guidance.
Elle rend libre, honore l’individualité
sans pour autant isoler du reste du monde puisque dans le cœur, nous sommes UN.
Vouloir s’unir à partir du
mental, amène à se sectariser, à se regrouper autour de croyances et à se
séparer du reste du monde. Les égrégores correspondant, ceux des différents
camps grandissent et s’opposent jusque dans l’astral. On nourrit la division,
la lutte et on creuse l’écart entre les peuples, les cultures, les religions, les genres…
On
ne peut pas être pour une cause sans être contre une autre.
C’est la projection
de notre façon de gérer notre monde intérieur où on continue d’opposer ce qui
est.
On parle d’ascension mais on
devrait plutôt parler d’unité, d’intégration, d’alignement et d’expansion. La
notion d’élévation implique un décollage vers le haut et qui dit décollage, dit
absence d’ancrage, de fondement, c’est une fuite ni plus ni moins de son propre
corps. Et la conséquence de notre interprétation duelle des choses.
Le rassemblement où chacun portait
fièrement l’affichette est très représentatif de l’état d’esprit
des gens. Même par solidarité, aller jusqu'à faire suivre le "Je suis" d'un prénom qui n'est pas le sien est une forme de déni de soi. Comme une affirmation commune de perte de l’individualité, un message
pour dire : "Vous les chefs, faites votre devoir, arrêtez les coupables,
protégez nous".
C’est très contradictoire d’afficher son consentement au
renforcement de la sécurité tout en proclamant son droit à la liberté
d’expression. Ce n'est pas très logique.
C’est quoi la liberté
d’expression ? Pour moi, ça n’est pas de pouvoir dire tout et n’importe
quoi, c’est avant tout être soi-même, honnête vis-à-vis de soi et des autres.
Honnête vis-à-vis de soi en ne cherchant pas à se cacher ou à se mentir. Je
note aussi qu’en général plus on doute et plus on proclame. Plus on argumente
et plus on a besoin d’être rassuré dans ses croyances. Les paroles et les actes
sont souvent contradictoires quand le jeu des questions/réponses est au
maximum.
La liberté ne nait pas en
combattant contre quoique ce soit au contraire, elle s’acquiert en s’autorisant
à être vrai, authentique, à oser reconnaitre ce qui vibre en soi, dans l’instant
et à l’intégrer. Puis à le dire si une autre personne est concernée.
Si c’est de la colère, en l’amenant au cœur, elle va
s’équilibrer naturellement. Idem pour la tristesse et toutes les émotions qui
dérangent. Elles nous dérangent parce qu’elles sont déstabilisantes mais si on
ne lutte pas contre elles, on verra qu’elles se dégonflent d’elles-mêmes.
Quand on se fait confiance et qu’on ne remet pas en
question ce qui se manifeste en soi, c’est à dire qu’au lieu de rejeter ou
d’essayer de comprendre, on laisse le cœur harmoniser tout ce qui se présente à
soi, on se libère des conflits internes.
La paix qui en résulte rend libre,
on n’est plus happé, manipulé par nos
émotions, par la peur et toutes ses déclinaisons.
De la même façon on émane une
énergie d’unité qui nous relie à l’humanité au plus haut niveau, celui du divin, de l'amour divin.
J’avais demandé à couper les liens qui me rattachaient à
l’inconscience collective et voilà qui est fait. Il a eu un travail énergétique en amont, une
période qui m’a amenée à revenir au cœur régulièrement et ainsi m’a préparée à lâcher
l’identification au mental, au monde de la pensée, sans heurt puisque l’énergie
du cœur ne détruit rien d’autre que les illusions. La confiance au cœur
amplifiée et la paix intérieure maintenue m’ont aidé à ne pas entrer en
réaction.
Bon, mon enfant intérieur réclame de l’attention, le coup
de fil d’hier l’a bien remué alors je vais m’allonger. Tant que l’énergie de la
victime n’est pas libérée, ça créé un filtre déformant. Au stade où j’en suis,
il s’agit de cesser de nourrir tout ce qui n’est pas la paix, l’amour vrai et
la joie. Je simplifie au maximum juste en venant dans le cœur et l’énergie qui
s’y trouve suffit à restaurer l’harmonie, libérer l’excès et maintenir la paix.
Concrètement, je vais m’allonger dans la position de fœtus et respirer
calmement pour détendre mon corps physique.
Un des signes qui me montrent que mon enfant intérieur a
besoin d’être réconforté, c’est le fait d’avoir cliqué sur une seule vidéo ce
matin, celle d’un sauvetage. Un caniche tout crotté, recueilli et soigné par des
humains. Dans ce genre de situation, tout se passe au niveau du cœur et on peut
le lire dans les yeux de l’animal et de l’humain.
L’aspect intérieur qui est
relié profondément au règne animal, c’est l’enfant intérieur.
Cette capacité à
être vrai, spontané et à aimer sans conditions que possèdent les chiens est
aussi ce qui caractérise l’enfant en soi. C’est une de ses créatures qui m’a
sauvé de la mort affective, et de la folie. Sans cet échange affectueux,
j’aurais pu fermer mon cœur et entrer
dans le cycle infernal de la vengeance.
Dans les moments où la société sombre dans le chaos, la
peur et la violence, je viens en mon cœur et me tourne vers la nature afin de
maintenir l’équilibre et la confiance en la vie. Le chêne que j’enlace me
fortifie, me rassure et me rappelle l’importance de l’ancrage, par sa seule
présence, par ce qu’il est.
Il est un exemple de service, de générosité, dans
sa façon de purifier l’air incognito.
Même la science finit par admettre les
bienfaits que procure un tel contact.
Et pourtant avant cette découverte, des
milliers de personnes, de par le monde, ont eu ce réflexe spontané, instinctif.
On valorise tellement l’intellect qu’on ne sait plus user de bon sens puis
comme pour le mental, tout doit être analysé, expliqué, afin d’être validé, ça
ne laisse aucune place au hasard, au vivant finalement. Or ce qui rend un humain vivant,
ce sont ses émotions, ses sentiments. Si on s’en coupe ou si on demeure confiné
dans le mental, on perd la sensibilité, celle qui nous permet d’être ouvert aux
autres, en toute confiance.
Aucune qualité, vertu, capacité sensorielle ne s’achète, ne se gagne dans la lutte, ce
sont des choses qui se cultivent et dont chacun possède la semence.
L’amour, la
liberté et la paix ne peuvent pas non plus être gagnés par le
contrôle ou la pression. Chacun peut développer ces énergies à l’intérieur de
lui-même, en apprenant à devenir responsable et autonome affectivement.
Sans ce désir de responsabilisation, on ne peut que donner
son pouvoir aux autres.
Il est vrai que plus d’une fois, l’idée de partir de ce
monde fou m’est venue en tête et en ce moment aussi. D’ailleurs c’est ce que je
fais d’une certaine façon en me coupant de mes émotions, du vivant en moi, mais
j’en suis consciente et maintenant que je porte un regard bienveillant sur ce
geste, il perd son caractère vital et emprisonnant.
Peu à peu, la confiance acquise par
le retour au cœur, la communion au divin, me permet de m’en détacher. Parce que
ce qui est préjudiciable, c’est surtout le fait de croire que ce produit est
nécessaire à mon bien-être. En libérant cette croyance le besoin n’est plus
aussi vif.
Chaque fois que j’arrive à retrouver la paix intérieure après une
vague émotionnelle ravageuse, je teste mon pouvoir, ma capacité à gérer mon
monde intérieur et comme le résultat est satisfaisant, la fois prochaine, c’est
plus facile à réaliser.
C’est une façon d’intégrer la liberté, la paix et la joie
qui ne fait appel à rien d’autre que ma bonne volonté à me laisser traverser
par ces vents internes.
Quand l’ego sera totalement convaincu qu’il n’y a non
seulement aucun danger à lâcher prise mais qu’en plus c’est ce qui permet de
trouver tout ce que je cherchais à l’extérieur, le geste sera oublié. C’est d'ailleurs ce
qui s’est passé jeudi dernier. J’ai pu ainsi mesurer mon degré de dépendance et
l’efficacité du processus d’acceptation.
Bien-sûr, l’état actuel du monde me rend triste mais là
encore, le simple bon sens me ramène à la réalité ; je n’ai pas le pouvoir
ni la vocation de changer le monde, je ne suis pas obligée de croire ce que je
vois ou ce qu’on me dit.
La façon dont le monde est géré n’affecte pas celle
dont je gère le mien.
Par contre ma façon de gérer mon monde intérieur a une
influence sur l’extérieur.
Ma liberté ne dépend pas des circonstances
extérieures.
Elle dépend de ma foi en l’humain divin et de ma détermination à
manifester qui je suis en vérité.
Et ça n’est pas en proclamant des beaux
discours (si sincères soient-ils), en défilant dans les rues (même si c'est en signe de solidarité) en révélant les secrets de l’humanité, les complots ou les injustices
puis en voulant condamner les coupables, que je manifeste qui je suis en
vérité. Tout ceci n’est que l’expression de mon besoin de reconnaissance, d'appartenance, de contrôle et de séduction. Ce n'est pas mauvais en soi mais ça ne me rend pas libre intérieurement, ça me rend dépendant des autres. Ce besoin de se sentir vivant,
exister, important, vient du désamour de soi ou de l’amour conditionné
vis-à-vis de soi-même.
On s’aime "si et seulement si" et la liste et longue :
si je me sens belle et que je le vois dans le regard de l’autre, si je suis
appréciée de mon entourage, si on reconnait les qualités que je vais surligner
afin qu’on ne voit pas mes défauts...
En fait, on s’aime si on n’est pas
soi-même.
On se construit un modèle idéal, on définit ce que l’on voudrait être et
on essaye de coller au personnage. On va me dire puisque tout est illusion autant y aller à
fond et jouer. Oui mais sans tricher, sans avoir à se renier.
Peut-on être heureux si on se trahit, si on renie certains
aspects de soi ?
Non, on aura besoin de compenser tout ce qu’on occulte,
rejette ou refoule.
Je suis de plus en plus convaincue que la plénitude,
c'est-à-dire l’inverse du vide, du manque, se trouve par la réintégration de
tous les éléments éparpillés et déséquilibrés de la personnalité, de l’être.
Dans la nature, il n’y a pas de vide, la terre ne reste jamais nue, un être
meurt et un autre nait en même temps. Il en va de même à l’intérieur, tout ce
qu’on met dans l’inconscient continue de croitre et envahira l’espace
(reviendra à la conscience tôt ou tard) puis l’endroit où aurait dû être ce que
nous occultons, laissera un vide qu’il nous faudra combler. La croyance que nous
sommes incomplets en résultera de même que la notion de séparation, de lutte et
de division. Oui je sais, je le répète souvent mais c’est tellement important,
simple et logique qu’on peine à le croire.
D’un autre côté, croire n’est pas suffisant du moins, c’est
léger, ça ne constitue pas une base solide puisque les croyances vont et
viennent, ce sont des hypothèses mentales qu’il faut nourrir d’arguments afin
de ne pas douter.
La foi ne s’explique pas, c’est une certitude vécue, sentie
en son corps, en son cœur avant d’être saisie par le mental. Comme ça ne vient
pas de lui, il ne sait pas comment l’interpréter cependant il peut apprendre,
comprendre dans le sens d’accepter, en se laissant guider par le cœur.
"Merci présence divine, mon âme d’avoir tracé ce chemin de
retour à soi et merci à ma personnalité humaine de l’avoir trouvé et de vouloir
le suivre avec enthousiasme. Merci à mon corps physique de m’offrir le moyen d’exprimer
l’amour lumière de la source, de pouvoir émaner l’essence de mon être depuis le
cœur et au travers de ces corps réunis en cette enveloppe, cadeau de la terre
mère. Merci pour cette expérience d’amour, d’unité et de paix que je peux vivre
en mon cœur et déployer au-delà de ce que je suis. Si cette aventure devait s’arrêter
demain, j’aurais la satisfaction d’avoir vécu selon mon cœur et en vérité,
malgré tout".
« La vérité c’est qu’il n’y a pas de manque si tu ne
retiens rien ». Voilà la phrase que j’ai entendue après avoir invité la
sensation de manque à s’exprimer en moi.
Je l’ai fuit depuis tant d’années que
je n’avais pas pensé à l’interroger jusqu’ici.
Comme je sentais des symptômes
de manque apparaitre, j’ai respiré et calmé le flot de pensées puis demandé à
cet aspect de se manifester. J’ai été très surprise de voir une jeune femme nue
et timide. Enfin ça n’a pas duré longtemps parce que mon étonnement a fermé l’écran
puis le mental a cherché à revoir, comprendre…
Je n’insiste pas et me contente de cette connexion, ce contact, qui suffit à m’encourager à connaitre cet
aspect que j’ai fuit toute ma vie. Déjà le seul fait que ce soit l'image d'un être sensible, fragile, délicat, me rassure énormément. Moi qui m'imaginais que la part intérieure qui me poussait à ingérer les médocs était plutôt agressive et même menaçante, la réalité est toute autre! J’essaierai de penser à la recontacter la
prochaine fois que ça se bousculera à l’intérieur.
Il semble qu’elle ait été
créée pendant l’enfance pour répondre aux carences affectives maternelles mais
ça, c’est l’interprétation mentale de la situation. Je préfère rester ouverte
et approfondir le contact plutôt que de supputer. Puis ça veut dire que la
confiance s’installe en profondeur, donc la paix et la possibilité de vivre en
harmonie aussi.
Je constate que ces évènements passés ont accéléré le processus de libération parce que j'ai pu calmer le mental et une crampe au plexus par une phrase simple mais sincère:
"Ne t'inquiète pas, je ne te quitte pas, je veux juste t'amener au cœur, qu'on y aille ensemble."
Vous
pouvez diffuser ce texte à condition d’en respecter l’intégralité, de ne rien
modifier (sauf correction des fautes d'orthographe), de citer l’auteur :
Lydia Féliz, ainsi que la source : http://lydiouze.blogspot.fr et ces trois lignes. Merci