samedi 16 août 2014

"Mon retour à la maison est en fait un retour à Soi, une réunification…"


L'amour est toujours présent même dans les ténèbres*


Comme ça fait du bien de retrouver ses repères, son propre rythme de sommeil, son hygiène de vie et toute sa tête ! J’avais adopté l’idée que les repères étaient une façon de s’accrocher, de vouloir contrôler la vie et que l’adaptation était un signe d’intelligence. Il y a un gros tri à faire dans toutes ces croyances !  Oui, s’accrocher par besoin, telle une moule à son rocher peut sembler ridicule cependant quand nos choix découlent de la connaissance de soi et permettent de nous donner une forme de stabilité mentale, émotionnelle et physique, il s’agit plutôt de sagesse intérieure. 
La condition humaine est « difficile » (encore une fausse croyance à libérer) enfin ça, c’est l’idée qu’on a lorsqu’on tente de tout contrôler, comprendre et qu’on n’a pas conscience de la puissance qui nous habite. 
Mais quand on est « connecté » et qu’on s’écoute, nous sommes inspirés à agir de façon à nous protéger tant que la confiance en notre propre puissance n’est pas totalement acquise. Il s’agit alors de gérer son temps selon ses vrais besoins, ceux du corps physique, mental,  émotionnel. Ils sont nos aspects fragiles, soumis aux conditions de l’incarnation, la maladie, la vieillesse et la mort. Tant qu’on ne sait pas se nourrir d’amour et de lumière, il nous faut sélectionner la nourriture qui nous allège, donner autant de repos que nécessaire à notre corps physique et surtout à nos corps mental et émotionnel qui se rechargent durant la nuit.


Ces quelques mois m’ont permis de libérer des peurs, des fausses croyances et de vérifier l’importance de se « blinder » par la connexion à la conscience, de se protéger de l’influence extérieure. Il ne s’agit pas d’accuser les autres de nous manipuler puisque la plupart du temps, ils n’en sont pas conscients mais de faire en sorte de ne plus les attirer par les basses fréquences qui sont en nous. 

L’effet miroir n’a pas pour but de nous maintenir dans la culpabilisation ou l’impuissance mais bien de nous montrer nos faiblesses afin que nous les entourions de conscience/ lumière, que nous les voyions et ne les rejetions pas, soit par l’accusation ou par le déni mais que nous laissions l’amour divin les dissoudre par notre acceptation de nos émotions (et non celles des autres) que nous reconnaissons comme nos créations, nos enfants. Il ne s’agit pas de les nourrir mais de les libérer, de choisir consciemment de s’en séparer en cessant tout simplement de les entretenir par des pensées dévalorisantes.

Puis pour le chapitre de l’acceptation comme j’ai déjà dû le dire mais un rappel n’est jamais superflu, le truc, c’est de se l’appliquer à soi-même. Accepter ce qui se vit en soi et non le comportement de l’autre même si celui-ci fait écho à quelque chose en nous. J’ai cru qu’en ayant un amour inconditionnel pour les défauts de l’autre, ça nous aiderait tous les deux mais c’est aussi un leurre ! A moins que l’autre agisse de la même façon, en conscience et en vérité, il ne peut y avoir guérison mutuelle. Puis là, c’est encore le rôle du sauveur qui a été mis en évidence.

Ce que l’autre fait, dit ou croit ne me concerne pas, ne me regarde pas, je n’ai aucun pouvoir de l’influencer s’il ne veut pas changer. S’il se complait dans un rôle parce que son estime de soi en dépend, je ne peux rien n’y faire. Encore moins au nom de l'amour! Le seul amour qui ait le pouvoir de guérir et celui qu'on cultive en soi et qui par son rayonnement naturel aura éventuellement une influence sur l'extérieur, si nous ne posons aucune intention. Dès que le mental s'en mêle, tente de s'approprier le pouvoir de guérison, c'est l'ego qui se manifeste.

Même si chacun est lumineux intérieurement et peut être éclairé par sa propre sagesse, il doit en faire le choix conscient. Puis l’amour inconditionnel pour l’autre, s’il ne sait pas s’aimer sans condition, n’aura aucun effet sinon que de le renforcer dans l’estime de soi basée sur la personnalité, le rôle choisit, incarné. 
Croire qu’en jouant les sauveurs, on augmentera l’amour de soi est totalement faux, on nourrit l’illusion, la lumière falsifiée, celle de l’ego qui se gonflera alors et se nourrira de l’énergie de l’orgueil, du pouvoir de la domination. 
De plus, on sera dans la manipulation, dépendant des autres, de leur reconnaissance pour se sentir valable. Ce qui induit des relations vampiriques d’interdépendance. 
A moins de lâcher les rôles, on sera vidé de l’intérieur. Il faudra ensuite une grande dose de courage pour sortir du triangle. Même si ça demande de se défendre, de rester ferme dans ces choix, ce sera un premier pas vers la délivrance.

Sachant cela, j’ai donc cessé d’espérer qu’il change et j’ai accepté ces travers, ces faiblesses. Mais cette acceptation m’ayant amené à devoir suivre son rythme, son style de vie, bref, à délaisser mes propres choix, ma façon de gérer ma vie, il a été urgent de réviser mes attentes à propos de celle-ci et aussi de ma façon d’envisager le couple. 
C’est là que j’ai vu que je m’accrochais à mes rêves d’adolescente, à mes croyances en un sauveur extérieur, à l’illusion que l’amour de l’autre pouvait me guérir, m’élever et vice et versa. 

Même l’attente de la rencontre avec ma flamme jumelle a été révélée. J’avais beau me dire, dans des moments de lucidité, que je n’avais pas besoin de voir le divin intérieur matérialisé en une personne puisque je suis complète, je persistais à espérer cette fusion.
Tant que je ne limitais pas l’amour à une seule personne, ma conscience était éclairée et mes idées claires à propos de la notion de sauveur. Même l’idée du sauveur intérieur est erronée. 
Il n’y a pas de relation de pouvoir ou de dominance avec notre présence divine !
Il s’agit plutôt de multidimensionnalité où chaque aspect apporte sa contribution, participe à l’élévation de tous les corps, pour peu que ceux-ci soient autorisés à vivre cette coopération. 
La présence divine ne peut agir autrement qu’au niveau énergétique, de l’inspiration qui est livrée par de la lumière qui elle-même est information et son soutien amoureux, inconditionnel mais là encore au niveau énergétique. Elle peut inspirer une autre âme à se faire messagère, mais en général, la personnalité de cet ange humain n'en est pas consciente. En aucun cas elle ne viendra nous enlever de ce monde ou nous élever par la force ou la contrainte. 
C’est à la personnalité de reconnaitre cette part divine intérieure et d’apprendre à l’écouter et surtout sentir sa présence en étant attentif aux mouvements internes, en se plaçant en mode réceptif, c'est-à-dire en ne faisant pas obstacle par le doute, les pensées du mental tout en étant focalisé sur le corps physique. 
C’est d’ailleurs cette connaissance qui m’avait motivée à arrêter les pétards et à diminuer les doses de cachets. Le résultat a toujours été bénéfique puisque j’ai pu goûter à l’espace intérieur infini, par l’attention à ma respiration et la détente qu’elle procure lorsqu’elle devient profonde et calme. 

Il est clair que lorsqu’on connait des états de bien-être provoqué par les drogues, on en peut pas lâcher si facilement l’affaire mais en apprenant à reconnaitre la puissance intérieure, le divin en soi, l’amour que l’on ressent en dedans, on nourrit la motivation à continuer sur cette voie et il ne s’agit plus de lâcher quelque chose par l’effort mais juste en étant conscient de notre pouvoir intérieur. 
Celui de créer des états de bien-être naturellement.

Ce n’est pas aussi puissant, comme les produits dont l'effet est carrément violent mais je suis certaine que ça monte en puissance dès lors qu’on est en mode réceptif, en confiance. D’ailleurs cette idée qu’il faille se faire violence pour être bien est totalement fausse tout comme le fameux « il faut souffrir pour être belle ! » Ou encore « il faut gagner sa vie », « mériter son salaire »…la liste des devoirs et obligations est infinie et nous vient de notre culture judéo-chrétienne basée sur la notion de sacrifice ! Quelle arnaque ! Quel moyen génial de maintenir la population dans la culpabilité, la concurrence, la lutte, la comparaison, l’enfermement et la priver de liberté ! 
Heureusement, peu à peu ces fausses valeurs se désagrègent ! 
Merci aux êtres de lumière, ma présence divine comprise, d’insuffler leur énergie amour/ lumière pour nous libérer de tous ces conditionnements.

Pour distinguer les voix intérieures, il existe une méthode simple qui consiste à se poser la question suivante: qu’est-ce que cette idée nourrit en moi ? Il est clair que ça demande d’être honnête avec soi, de se connaitre un minimum, de savoir quelles sont les valeurs, les énergies qu’on veut porter, amplifier, exprimer, manifester, vivre. 
Il ne s’agit pas non plus de nourrir des rêves illusoires mais de se contenter de savoir ce qui nous fait vraiment du bien. Pas un bien éphémère provoqué par des choses extérieures à soi qui ont nécessairement un prix (genre gueule de bois le lendemain) mais par notre cœur, qui amplifiera l’amour vrai de soi. En ressentant comment ça vibre en soi, quelles sont les émotions qui émergent, on peut reconnaitre ce qui est de l’ordre de la personnalité ou ce qui vient du divin.

En cherchant avec l’intention de se voir réellement, on a toujours une réponse. Par exemple concernant ma décision de rentrer à la maison, outre mon raisonnement logique effectué dans la paix, la neutralité, le seul fait de me sentir bien, sans peur, sans doute puis la façon dont le voyage s’est déroulé, m’indiquent que j’ai fait le bon choix. Si je pleurais sans arrêt, était dans le regret, la rancœur, je pourrais voir plus en profondeur ce qui créerait cet état. Ce pourrait être l’expression de mes doutes, de ma peur de perdre quelque chose, de l’idée que je ne suis pas complète seule…
Au lieu de ça, je me sens libre, libérée d’un gros poids, plus claire quant à mes croyances erronées et parce que j’ai tout de même accueillies les émotions qui venaient lorsque j'étais là-bas, sans accuser l’autre, la légèreté est au rendez-vous.

Comme l’estime de soi est d'abord essentiellement basée sur ma lumière intérieure, ma foi en l’humain divin et mon expérience de connexion à l’invisible, et comme l’ego n’est pas rejeté mais remis à sa juste place, il n’y a pas de sentiment de perte, d’échec, de trahison…
Il reste quelques peurs mais en les accueillant quand elles se manifestent, l’équilibre n’est pas bousculé et la libération s’effectue naturellement, sans autre effort que l’acceptation de porter en moi les reliquats des blessures de l’âme. 
Cette expérience me montre la valeur de tout le travail effectué en amont et même si je n’avais pas tout libéré, c’est maintenant chose faite. Il est clair qu’on n’est jamais au bout du voyage puisque c’est chaque jour qu’il nous faut faire les choix qui nous maintiennent sur la fréquence de l’amour divin.

Ce qui me conforte dans le fait d’avoir vraiment libéré des vielles croyances et des émotions, c’est de ne pas m’être jetée sur les cachets comme la misère sur le pain. Au début de la relation, j’ai eu ce réflexe mais j’ai vite senti que ça m’embrouillait encore plus, que je ne pourrais pas y voir clair. La peur de l’échec, la croyance en cet amour, le désir de réussir à vivre ensemble et la croyance que si je pouvais l’aimer sans condition, les choses allaient s’améliorer, m’ont maintenu sur place. Il a fallu que j’accepte de voir la réalité en face en cessant de fuir dans la drogue et l’alcool, qui était à portée de main, pour que mes yeux s’ouvrent.
J’ai commencé par me pardonner d’avoir encore ce réflex digne d’une autruche en me disant que je fais toujours de mon mieux, dans le moment présent. Il ne s’agissait pas de me convaincre de ma valeur mais d’amplifier l’amour vrai de soi par l’acceptation de cette peur qui me poussait à me cacher à moi-même. J’ai réalisé qu’un amour qui coûte, qui oblige à changer, n’est pas réellement ce qu’il devrait être.
Seul mon désir de rester intègre vis-à-vis de mon objectif principal à savoir de libérer tous les masques peut m’amener à évoluer, à changer de comportement mais en aucun cas ne peut être dicté par la volonté de l’autre et inversement.

Au début j’ai fait des concessions puis finalement, je me suis dit que je n’avais pas à me caler sur l’autre, à agir selon ses attentes et c’est là que les choses ont commencé à devenir compliquées. Je suis « du matin », il est « du soir », je ne mangeais pas de viande avant notre rencontre et j’ai recommencé tant mon corps physique était affaibli par le manque de stabilité, de sommeil. Là aussi, je me disais que ça n’était pas si grave mais le problème c’est quand on commence à se laisser influencer par la volonté de l’autre. Non seulement on perd ses repères, on abandonne des choix conscients mais en plus, l’estime de soi se dégrade peu à peu et au final, on fini par risquer de se trahir totalement, par perdre ses propres valeurs. Puis quand j’ai constaté que plus je lâchais du leste et plus il gagnait en confiance, en assurance et en pouvoir, je me suis dit que ça ne pouvait pas coller, que nous n’étions pas sur la même longueur d’onde.

J’ai essayé de dialoguer, de pardonner, d’accepter bien des choses mais ça m’a vidé de mon propre pouvoir d’agir, de choisir. Puis par rapport à l’effet miroir, une âmie m’a confirmé ce que j’avais enfin vu par moi-même, ce n’est pas parce que l’autre fait écho qu’il faille se sentir coupable, porter le poids de la responsabilité de l’échec et rester en sa présence. D’ailleurs cette tendance à m’accuser systématiquement m’a montrée qu’il utilisait mes faiblesses pour me rabaisser, me manipuler. Cet effet miroir marche dans les deux sens et si l’autre ne porte pas sa part de responsabilité dans la cocréation c’est inévitablement voué à l’échec.
Je me suis heurté à son ego humain mais aussi spirituel. Le premier réflexe évidemment c’était de me dire que je portais aussi ça et donc de me flageller dans un premier temps. Puis ce qui fait la différence, c’est le choix face au constat. 
Soit j’accepte d’en être encore là, me pardonne et console mon enfant intérieur, accueille mes émotions, soit je reste coincée dans l’auto jugement, l’auto-accusation ce qui aura pour effet d’amplifier le pouvoir égotique de l’autre et diminuer mon estime personnelle. 

Je me félicite d’avoir pu rompre sans avoir besoin d’accuser mon partenaire même si j’ai fini par voir plus clair dans son jeu. Sans avoir eu à tomber dans la haine, les regrets pour ce faire, mais en ayant malgré tout une forme de gratitude pour cette occasion de mieux me connaitre et de libérer les schémas, mes rôles avec intensité mais efficacité, de mieux comprendre ce que c’est qu’aimer et ce qui m’a fait tomber dans l’illusion de l’amour, de reconnaitre mes faiblesses mais aussi ma force. D’affirmer mes choix, d’amplifier ma foi, de découvrir le potentiel guérisseur de mes mains, de me rapprocher de ma présence divine et de demander à mon âme de se laisser embrasser par elle.
La foi, l’amour vrai de soi, les rayons, l’attention au corps physique et la connexion au divin, à l’invisible, à la Terre Mère, m’ont renforcé dans l’amour de soi, la connaissance de soi, tant de mes faiblesses que de ma capacité à retrouver la lumière intérieure et à l’utiliser pour guérir les blessures de l’âme.
Même si au départ j’ai été accablée par la découverte de mes ombres, celles-là même que je pensais avoir libéré, finalement, tout ceci m’a renforcée et donné plus de confiance en mes capacités, a révélé mon puissant désir de liberté, d’autonomie…Je peux donc remercier cette âme même si au niveau de la personnalité, il reste encore un peu de colère. Mais celle-ci étant avant tout intérieure, je m’en vais l’accueillir…

J’ai aussi appris à clarifier la notion de transparence qui s’applique au moment présent et non au passé. Raconter son vécu comporte le risque de nourrir la victime intérieure et de donner à l’autre le bâton pour se faire battre. Il est question de savoir dire son ressenti dans l’instant, comment nous vivons les situations au niveau émotionnel et mental. Ainsi on gagne en clarté vis à vis de soi et de l’autre ce qui a pour effet d’amener un dialogue sincère de cœur à cœur et d'amplifier l'intimité. 
Il faut que l’autre soit aussi disposé à être vrai sinon, ça ne peut pas fonctionner. Pour cela, il lui faut être en amour pour lui-même, autonome affectivement et non dans le besoin ou l’attente de reconnaissance. 
Celui qui base l’amour de soi sur l’extérieur n’en ai pas toujours conscient et pour cette raison il ne sert à rien d’accabler ou d’accuser.
Chacun a son chemin, son rythme, sa façon d’être touché par le divin intérieur, de créer l’intimité avec le Soi…Pour cela le jugement ou même le désir d’enseigner l’autre devient vite de l’ingérence et on se retrouve à porter le costume du sauveur et c’est reparti pour un tour !
Quand même, on peut dire que les énergies de la source sont de plus en plus puissantes et à force d’être éclairé, on ne peut plus se cacher à soi-même. Il est clair que ceux qui sont intéressés par la spiritualité ont eu à libérer des attentes, des vieilles croyances, les rôles, les peurs et que tout ceci n’est pas terminé. 
En tout cas pour ma part, les illusions qui se dissipent sont une « bénédictions » ! On gagne en clarté, en  puissance, en pouvoir de s’aimer et ainsi on s’élève en fréquence, en conscience. Vivement la communion permanente enfin consciente avec le divin ! 

Merci aux « invisibles », aux guides, aux anges, à mon âme, ma famille d’âme, Jeshua, Ashtar, l’énergie du rayon violet, l’énergie christique dorée, à la Terre Mère, à la source Père Mère, à la vie, à cette incarnation et surtout à L’AMOUR, le VRAI !

Merci aussi à Cra (la chienne) qui montre une sagesse, un amour, une attention particulière en ce moment. Sa faculté de comprendre m’épate ! Elle n’a pas hésité à grimper dans la voiture lorsque j’ai décidé de partir et pourtant, elle n’aime pas trop ça ! Elle m’a protégée et a gardé la voiture quand je suis allée aux toilettes à la station essence et que des individus louches rodaient sur le parking, en quête de proies potentielles. Quand je suis revenue des toilettes la gamelle d’eau que j’avais mise sur le toit était par terre, signe que la chienne avait bougé à l’approche d’un curieux attiré par la fenêtre, les portes et le capot ouverts !
Bon, j’arrête là mon roman, j’aurais l’occasion certainement de revenir sur cette expérience plus d’une fois parce qu’il est clair que je n’ai pas tout compris ni tout intégré mais déjà, le fait de garder l’amour en soi et de ne pas porter d’énergies lourdes, est immense !

Je ne dis pas non plus que j’ai fait de mon mieux et que l’autre a merdé mais au moins, je n’ai pas triché et pour cette raison, l’estime de soi n’est pas affectée par un sentiment de trahison envers soi. 
Peut-être un peu vis-à-vis de mon corps physique mais là aussi, je peux avoir de la gratitude plutôt que des regrets ou de la culpabilité. 
Alors merci à toutes mes cellules de répondre à mes demandes d’activation de la régénération cellulaire, de l’auto-guérison, de la santé parfaite et de la vie éternelle, contenue en elles. 
Je n'en suis pas non plus à vouloir vivre éternellement dans ce corps spécifiquement mais au moins à me sentir bien en ce temple par l’amour que j’aie maintenant pour lui et la reconnaissance de ce qu’il est en vérité ; un magnifique véhicule de manifestation du divin, une création dont la source peut être fière ! Je suis convaincue d’avoir participé à son élaboration mais ça, c’est une autre histoire…


Vous pouvez diffuser ce texte à condition d’en respecter l’intégralité, de ne rien modifier (sauf correction des fautes d'orthographe), de citer l’auteur : Lydia Féliz, ainsi que la source : http://lydiouze.blogspot.fr  et ces trois lignes. Merci 

*Photo prise ce matin au lever du jour. Déjà hier, le ciel rose (énergie de l'amour divin), jaune (énergie de la sagesse divine) et bleu (énergie de la volonté divine) m'invitait à activer la triple flamme intérieure et à rechercher l'équilibre et l'harmonie en toutes choses. Ce sont des petits signes qui n'ont de signification que pour celui qui les reçoit comme tels. Ces énergies sont en nous et il suffit de les activer pour en sentir les bienfaits.