L'amour est toujours présent même dans les ténèbres* |
Comme ça fait du bien de retrouver ses repères, son propre
rythme de sommeil, son hygiène de vie et toute sa tête ! J’avais adopté
l’idée que les repères étaient une façon de s’accrocher, de vouloir contrôler
la vie et que l’adaptation était un signe d’intelligence. Il y a un gros tri à
faire dans toutes ces croyances !
Oui, s’accrocher par besoin, telle une moule à son rocher peut sembler
ridicule cependant quand nos choix découlent de la connaissance de soi et permettent
de nous donner une forme de stabilité mentale, émotionnelle et physique, il
s’agit plutôt de sagesse intérieure.
La condition humaine est
« difficile » (encore une fausse croyance à libérer) enfin ça, c’est
l’idée qu’on a lorsqu’on tente de tout contrôler, comprendre et qu’on n’a pas
conscience de la puissance qui nous habite.
Mais quand on est « connecté »
et qu’on s’écoute, nous sommes inspirés à agir de façon à nous protéger tant
que la confiance en notre propre puissance n’est pas totalement acquise. Il
s’agit alors de gérer son temps selon ses vrais besoins, ceux du corps
physique, mental, émotionnel. Ils sont
nos aspects fragiles, soumis aux conditions de l’incarnation, la maladie, la
vieillesse et la mort. Tant qu’on ne sait pas se nourrir d’amour et de lumière,
il nous faut sélectionner la nourriture qui nous allège, donner autant de repos
que nécessaire à notre corps physique et surtout à nos corps mental et
émotionnel qui se rechargent durant la nuit.
Ces quelques mois m’ont permis de libérer des peurs, des
fausses croyances et de vérifier l’importance de se « blinder » par
la connexion à la conscience, de se protéger de l’influence extérieure. Il ne
s’agit pas d’accuser les autres de nous manipuler puisque la plupart du temps,
ils n’en sont pas conscients mais de faire en sorte de ne plus les attirer par les
basses fréquences qui sont en nous.
L’effet miroir n’a pas pour but de nous
maintenir dans la culpabilisation ou l’impuissance mais bien de nous montrer
nos faiblesses afin que nous les entourions de conscience/ lumière, que nous
les voyions et ne les rejetions pas, soit par l’accusation ou par le déni mais
que nous laissions l’amour divin les dissoudre par notre acceptation de nos
émotions (et non celles des autres) que nous reconnaissons comme nos créations,
nos enfants. Il ne s’agit pas de les nourrir mais de les libérer, de choisir
consciemment de s’en séparer en cessant tout simplement de les entretenir par
des pensées dévalorisantes.
Puis pour le chapitre de l’acceptation comme j’ai déjà dû
le dire mais un rappel n’est jamais superflu, le truc, c’est de se l’appliquer
à soi-même. Accepter ce qui se vit en soi et non le comportement de l’autre
même si celui-ci fait écho à quelque chose en nous. J’ai cru qu’en ayant un
amour inconditionnel pour les défauts de l’autre, ça nous aiderait tous les
deux mais c’est aussi un leurre ! A moins que l’autre agisse de la même
façon, en conscience et en vérité, il ne peut y avoir guérison mutuelle. Puis
là, c’est encore le rôle du sauveur qui a été mis en évidence.
Ce que
l’autre fait, dit ou croit ne me concerne pas, ne me regarde pas, je n’ai aucun
pouvoir de l’influencer s’il ne veut pas changer. S’il
se complait dans un rôle parce que son estime de soi en dépend, je ne peux rien
n’y faire. Encore moins au nom de l'amour! Le seul amour qui ait le pouvoir de guérir et celui qu'on cultive en soi et qui par son rayonnement naturel aura éventuellement une influence sur l'extérieur, si nous ne posons aucune intention. Dès que le mental s'en mêle, tente de s'approprier le pouvoir de guérison, c'est l'ego qui se manifeste.
Même si chacun est lumineux intérieurement et peut être
éclairé par sa propre sagesse, il doit en faire le choix conscient. Puis
l’amour inconditionnel pour l’autre, s’il ne sait pas s’aimer sans condition,
n’aura aucun effet sinon que de le renforcer dans l’estime de soi basée sur la
personnalité, le rôle choisit, incarné.
Croire qu’en jouant les sauveurs, on
augmentera l’amour de soi est totalement faux, on nourrit l’illusion, la
lumière falsifiée, celle de l’ego qui se gonflera alors et se nourrira de
l’énergie de l’orgueil, du pouvoir de la domination.
De plus, on sera dans la
manipulation, dépendant des autres, de leur reconnaissance pour se sentir
valable. Ce qui induit des relations vampiriques d’interdépendance.
A moins de
lâcher les rôles, on sera vidé de l’intérieur. Il faudra ensuite une grande
dose de courage pour sortir du triangle. Même si ça demande de se défendre, de
rester ferme dans ces choix, ce sera un premier pas vers la délivrance.
Sachant cela, j’ai donc cessé d’espérer qu’il change et
j’ai accepté ces travers, ces faiblesses. Mais cette acceptation m’ayant amené à
devoir suivre son rythme, son style de vie, bref, à délaisser mes propres
choix, ma façon de gérer ma vie, il a été urgent de réviser mes attentes à
propos de celle-ci et aussi de ma façon d’envisager le couple.
C’est là que
j’ai vu que je m’accrochais à mes rêves d’adolescente, à mes croyances en un
sauveur extérieur, à l’illusion que l’amour de l’autre pouvait me guérir,
m’élever et vice et versa.
Même l’attente de la rencontre avec ma flamme
jumelle a été révélée. J’avais beau me dire, dans des moments de lucidité, que
je n’avais pas besoin de voir le divin intérieur matérialisé en une personne
puisque je suis complète, je persistais à espérer cette fusion.
Tant que je ne limitais pas l’amour à une seule personne,
ma conscience était éclairée et mes idées claires à propos de la notion de
sauveur. Même l’idée du sauveur intérieur est erronée.
Il n’y a pas de relation
de pouvoir ou de dominance avec notre présence divine !
Il s’agit plutôt
de multidimensionnalité où chaque aspect apporte sa contribution, participe à
l’élévation de tous les corps, pour peu que ceux-ci soient autorisés à vivre
cette coopération.
La présence divine ne peut agir autrement qu’au niveau
énergétique, de l’inspiration qui est livrée par de la lumière qui elle-même
est information et son soutien amoureux, inconditionnel mais là encore au
niveau énergétique. Elle peut inspirer une autre âme
à se faire messagère, mais en général, la personnalité de cet ange
humain n'en est pas consciente. En aucun cas elle ne viendra nous enlever de ce monde ou nous élever par la force ou la contrainte.
C’est à la personnalité de reconnaitre cette part divine intérieure et
d’apprendre à l’écouter et surtout sentir sa présence en étant attentif aux
mouvements internes, en se plaçant en mode réceptif, c'est-à-dire en ne faisant
pas obstacle par le doute, les pensées du mental tout en étant focalisé sur le
corps physique.
C’est d’ailleurs cette connaissance qui m’avait motivée à
arrêter les pétards et à diminuer les doses de cachets. Le résultat a toujours
été bénéfique puisque j’ai pu goûter à l’espace intérieur infini, par
l’attention à ma respiration et la détente qu’elle procure lorsqu’elle devient
profonde et calme.
Il est clair que lorsqu’on connait des états de bien-être
provoqué par les drogues, on en peut pas lâcher si facilement l’affaire mais en
apprenant à reconnaitre la puissance intérieure, le divin en soi, l’amour que
l’on ressent en dedans, on nourrit la motivation à continuer sur cette voie et il ne s’agit plus
de lâcher quelque chose par l’effort mais juste en étant conscient de notre
pouvoir intérieur.
Celui de créer des états de bien-être naturellement.
Ce
n’est pas aussi puissant, comme les produits dont l'effet est carrément violent mais je suis certaine que ça monte en puissance dès
lors qu’on est en mode réceptif, en confiance. D’ailleurs cette idée qu’il faille se faire
violence pour être bien est totalement fausse tout comme le fameux « il
faut souffrir pour être belle ! » Ou encore « il faut gagner sa
vie », « mériter son salaire »…la liste des devoirs et
obligations est infinie et nous vient de notre culture judéo-chrétienne basée
sur la notion de sacrifice ! Quelle arnaque ! Quel moyen génial de
maintenir la population dans la culpabilité, la concurrence, la lutte,
la comparaison, l’enfermement et la priver de liberté !
Heureusement, peu à peu ces
fausses valeurs se désagrègent !
Merci aux êtres de lumière, ma présence
divine comprise, d’insuffler leur énergie amour/ lumière pour nous libérer de tous ces
conditionnements.
Pour distinguer les voix intérieures, il existe une méthode
simple qui consiste à se poser la question suivante: qu’est-ce que cette idée
nourrit en moi ? Il est clair que ça demande d’être honnête avec soi, de
se connaitre un minimum, de savoir quelles sont les valeurs, les énergies qu’on
veut porter, amplifier, exprimer, manifester, vivre.
Il ne s’agit pas non plus
de nourrir des rêves illusoires mais de se contenter de savoir ce qui nous fait
vraiment du bien. Pas un bien éphémère provoqué par des choses extérieures à
soi qui ont nécessairement un prix (genre gueule de bois le lendemain) mais par notre cœur, qui amplifiera l’amour vrai de soi. En ressentant
comment ça vibre en soi, quelles sont les émotions qui émergent, on peut
reconnaitre ce qui est de l’ordre de la personnalité ou ce qui vient du divin.
En cherchant avec l’intention de se voir réellement, on a
toujours une réponse. Par exemple concernant ma décision de rentrer à la
maison, outre mon raisonnement logique effectué dans la paix, la neutralité, le seul fait de me sentir bien, sans peur, sans doute puis la façon
dont le voyage s’est déroulé, m’indiquent que j’ai fait le bon choix. Si je
pleurais sans arrêt, était dans le regret, la rancœur, je pourrais voir plus en
profondeur ce qui créerait cet état. Ce pourrait être l’expression de mes
doutes, de ma peur de perdre quelque chose, de l’idée que je ne suis pas
complète seule…
Au lieu de ça, je me sens libre, libérée d’un gros poids, plus
claire quant à mes croyances erronées et parce que j’ai tout de même accueillies
les émotions qui venaient lorsque j'étais là-bas, sans accuser l’autre, la
légèreté est au rendez-vous.
Comme l’estime de soi est d'abord essentiellement basée sur ma
lumière intérieure, ma foi en l’humain divin et mon expérience de connexion à
l’invisible, et comme l’ego n’est pas rejeté mais remis à sa juste place, il
n’y a pas de sentiment de perte, d’échec, de trahison…
Il reste quelques peurs mais en les accueillant quand elles
se manifestent, l’équilibre n’est pas bousculé et la libération s’effectue
naturellement, sans autre effort que l’acceptation de porter en moi les
reliquats des blessures de l’âme.
Cette expérience me montre la valeur de tout
le travail effectué en amont et même si je n’avais pas tout libéré, c’est maintenant
chose faite. Il est clair qu’on n’est jamais au bout du voyage puisque c’est
chaque jour qu’il nous faut faire les choix qui nous maintiennent sur la
fréquence de l’amour divin.
Ce qui me conforte dans le fait d’avoir vraiment libéré des
vielles croyances et des émotions, c’est de ne pas m’être jetée sur les cachets
comme la misère sur le pain. Au début de la relation, j’ai eu ce réflexe mais
j’ai vite senti que ça m’embrouillait encore plus, que je ne pourrais pas y
voir clair. La peur de l’échec, la croyance en cet amour, le désir de réussir à
vivre ensemble et la croyance que si je pouvais l’aimer sans condition, les
choses allaient s’améliorer, m’ont maintenu sur place. Il a fallu que j’accepte
de voir la réalité en face en cessant de fuir dans la drogue et l’alcool, qui
était à portée de main, pour que mes yeux s’ouvrent.
J’ai commencé par me pardonner d’avoir encore ce réflex
digne d’une autruche en me disant que je fais toujours de mon mieux, dans le moment présent. Il ne
s’agissait pas de me convaincre de ma valeur mais d’amplifier l’amour vrai de
soi par l’acceptation de cette peur qui me poussait à me cacher à
moi-même. J’ai réalisé qu’un amour qui
coûte, qui oblige à changer, n’est pas réellement ce qu’il devrait être.
Seul mon désir de rester intègre vis-à-vis de mon objectif
principal à savoir de libérer tous les masques peut m’amener à évoluer, à
changer de comportement mais en aucun cas ne peut être dicté par la volonté de
l’autre et inversement.
Au début j’ai fait des concessions puis finalement, je me
suis dit que je n’avais pas à me caler sur l’autre, à agir selon ses attentes
et c’est là que les choses ont commencé à devenir compliquées. Je suis
« du matin », il est « du soir », je ne mangeais pas de
viande avant notre rencontre et j’ai recommencé tant mon corps physique était
affaibli par le manque de stabilité, de sommeil. Là aussi, je me disais que ça
n’était pas si grave mais le problème c’est quand on commence à se laisser
influencer par la volonté de l’autre. Non seulement on perd ses repères, on
abandonne des choix conscients mais en plus, l’estime de soi se dégrade peu à
peu et au final, on fini par risquer de se trahir totalement, par perdre ses
propres valeurs. Puis quand j’ai constaté que plus je lâchais du leste et plus
il gagnait en confiance, en assurance et en pouvoir, je me suis dit que ça ne
pouvait pas coller, que nous n’étions pas sur la même longueur d’onde.
J’ai essayé de dialoguer, de pardonner, d’accepter bien des
choses mais ça m’a vidé de mon propre pouvoir d’agir, de choisir. Puis par
rapport à l’effet miroir, une âmie m’a confirmé ce que j’avais enfin vu par
moi-même, ce n’est pas parce que l’autre fait écho qu’il faille se sentir coupable,
porter le poids de la responsabilité de l’échec et rester en sa présence. D’ailleurs cette tendance à
m’accuser systématiquement m’a montrée qu’il utilisait mes faiblesses pour me
rabaisser, me manipuler. Cet effet miroir marche dans les deux sens et si
l’autre ne porte pas sa part de responsabilité dans la cocréation c’est
inévitablement voué à l’échec.
Je me suis heurté à son ego humain mais aussi spirituel. Le
premier réflexe évidemment c’était de me dire que je portais aussi ça et donc
de me flageller dans un premier temps. Puis ce qui fait la différence, c’est le
choix face au constat.
Soit j’accepte d’en être encore là, me pardonne et
console mon enfant intérieur, accueille mes émotions, soit je reste coincée
dans l’auto jugement, l’auto-accusation ce qui aura pour effet d’amplifier le
pouvoir égotique de l’autre et diminuer mon estime personnelle.
Je me félicite d’avoir pu rompre sans avoir besoin
d’accuser mon partenaire même si j’ai fini par voir plus clair dans son jeu.
Sans avoir eu à tomber dans la haine, les regrets pour ce faire, mais en
ayant malgré tout une forme de gratitude
pour cette occasion de mieux me connaitre et de libérer les schémas, mes rôles
avec intensité mais efficacité, de mieux comprendre ce que c’est qu’aimer et ce
qui m’a fait tomber dans l’illusion de l’amour, de reconnaitre mes faiblesses
mais aussi ma force. D’affirmer mes choix, d’amplifier ma foi, de découvrir le
potentiel guérisseur de mes mains, de me rapprocher de ma présence divine et de
demander à mon âme de se laisser embrasser par elle.
La foi, l’amour vrai de soi, les rayons, l’attention au
corps physique et la connexion au divin, à l’invisible, à la Terre Mère, m’ont
renforcé dans l’amour de soi, la connaissance de soi, tant de mes faiblesses
que de ma capacité à retrouver la lumière intérieure et à l’utiliser pour
guérir les blessures de l’âme.
Même si au départ j’ai été accablée par la découverte de
mes ombres, celles-là même que je pensais avoir libéré, finalement, tout ceci
m’a renforcée et donné plus de confiance en mes capacités, a révélé mon
puissant désir de liberté, d’autonomie…Je peux donc remercier cette âme même si
au niveau de la personnalité, il reste encore un peu de colère. Mais celle-ci
étant avant tout intérieure, je m’en vais l’accueillir…
J’ai aussi appris à clarifier la notion de transparence qui
s’applique au moment présent et non au passé. Raconter son vécu comporte le
risque de nourrir la victime intérieure et de donner à l’autre le bâton pour se
faire battre. Il est question de savoir dire son ressenti dans l’instant, comment
nous vivons les situations au niveau émotionnel et mental. Ainsi on gagne en
clarté vis à vis de soi et de l’autre ce qui a pour effet d’amener un dialogue sincère
de cœur à cœur et d'amplifier l'intimité.
Il faut que l’autre soit aussi disposé à être vrai sinon, ça ne
peut pas fonctionner. Pour cela, il lui faut être en amour pour lui-même,
autonome affectivement et non dans le besoin ou l’attente de reconnaissance.
Celui
qui base l’amour de soi sur l’extérieur n’en ai pas toujours conscient et pour
cette raison il ne sert à rien d’accabler ou d’accuser.
Chacun a son chemin, son rythme, sa façon d’être touché par
le divin intérieur, de créer l’intimité avec le Soi…Pour cela le jugement ou
même le désir d’enseigner l’autre devient vite de l’ingérence et on se retrouve
à porter le costume du sauveur et c’est reparti pour un tour !
Quand même, on peut dire que les énergies de la source sont
de plus en plus puissantes et à force d’être éclairé, on ne peut plus se cacher
à soi-même. Il est clair que ceux qui sont intéressés par la spiritualité ont
eu à libérer des attentes, des vieilles croyances, les rôles, les peurs et que
tout ceci n’est pas terminé.
En tout cas pour ma part, les illusions qui se
dissipent sont une « bénédictions » ! On gagne en clarté,
en puissance, en pouvoir de s’aimer et
ainsi on s’élève en fréquence, en conscience. Vivement la communion permanente
enfin consciente avec le divin !
Merci aux « invisibles », aux
guides, aux anges, à mon âme, ma famille d’âme, Jeshua, Ashtar, l’énergie du
rayon violet, l’énergie christique dorée, à la Terre Mère, à la source Père
Mère, à la vie, à cette incarnation et surtout à L’AMOUR, le VRAI !
Merci aussi à Cra (la chienne) qui montre une sagesse, un
amour, une attention particulière en ce moment. Sa faculté de comprendre m’épate !
Elle n’a pas hésité à grimper dans la voiture lorsque j’ai décidé de partir et
pourtant, elle n’aime pas trop ça ! Elle m’a protégée et a gardé la voiture
quand je suis allée aux toilettes à la station essence et que des individus
louches rodaient sur le parking, en quête de proies potentielles. Quand je suis
revenue des toilettes la gamelle d’eau que j’avais mise sur le toit était par
terre, signe que la chienne avait bougé à l’approche d’un curieux attiré par la
fenêtre, les portes et le capot ouverts !
Bon, j’arrête là mon roman, j’aurais l’occasion
certainement de revenir sur cette expérience plus d’une fois parce qu’il est
clair que je n’ai pas tout compris ni tout intégré mais déjà, le fait de garder
l’amour en soi et de ne pas porter d’énergies lourdes, est immense !
Je ne dis pas non plus que j’ai fait de mon mieux et que l’autre
a merdé mais au moins, je n’ai pas triché et pour cette raison, l’estime de soi
n’est pas affectée par un sentiment de trahison envers soi.
Peut-être un peu vis-à-vis
de mon corps physique mais là aussi, je peux avoir de la gratitude plutôt que
des regrets ou de la culpabilité.
Alors merci à toutes mes cellules de répondre
à mes demandes d’activation de la régénération cellulaire, de l’auto-guérison,
de la santé parfaite et de la vie éternelle, contenue en elles.
Je n'en suis pas
non plus à vouloir vivre éternellement dans ce corps spécifiquement mais au
moins à me sentir bien en ce temple par l’amour que j’aie maintenant pour lui
et la reconnaissance de ce qu’il est en vérité ; un magnifique véhicule de
manifestation du divin, une création dont la source peut être fière ! Je suis
convaincue d’avoir participé à son élaboration mais ça, c’est une autre
histoire…
Vous
pouvez diffuser ce texte à condition d’en respecter l’intégralité, de ne rien
modifier (sauf correction des fautes d'orthographe), de citer l’auteur :
Lydia Féliz, ainsi que la source : http://lydiouze.blogspot.fr et ces trois lignes. Merci
*Photo prise ce matin au lever du jour. Déjà hier, le ciel rose (énergie de l'amour divin), jaune (énergie de la sagesse divine) et bleu (énergie de la volonté divine) m'invitait à activer la triple flamme intérieure et à rechercher l'équilibre et l'harmonie en toutes choses. Ce sont des petits signes qui n'ont de signification que pour celui qui les reçoit comme tels. Ces énergies sont en nous et il suffit de les activer pour en sentir les bienfaits.