Je suis sur un nuage ce matin! Je me suis réveillée en
pensant à mon amoureux et la sensation d’être près de lui hier soir après qu’on
se soit téléphoné a été si forte que je suis tombée comme une masse ! Je
me connecte souvent à lui au niveau de l’âme, au niveau subtil et je ressens sa
présence, l’énergie d’amour en moi et entre nous. Ma foi est forte et elle
couvre tout les domaines de la vie, l'aspect du divin intérieur omnipotent est en
développement. Enfin, je pense que le pouvoir de se déplacer, de fusionner au
niveau éthérique ou énergétique, est en chacun mais qu’il nous manque la foi
pour le réaliser. L'expression: « L’amour donne des ailes » est une réalité ! J’ai
vraiment la sensation de pouvoir me « transporter » jusqu’à lui. C’est
une certitude au niveau du mental puisqu’il
me suffit de penser à lui, de me souvenir certaines « scènes » pour m’y
retrouver. Puis comme le temps est une illusion, que tout arrive dans le moment
présent, les sensations ressenties alors, sont revécues. C’est
encre plus fort au niveau du cœur et de l’âme. Quand je me centre et pense à
lui, je peux sentir l’amour qui circule à l’intérieur même si c’est encore
subtil.
J’ai retrouvé la bonne fréquence que j’avais perdue ces
deux derniers jours. Tant que je me disais qu’une fois de plus, ma mère venait déranger
ma vie, je nourrissais la colère envers elle et envers moi-même. Je me disais
que j’aurais dû lui dire de ne pas venir, que j’avais trahi mon désir de rester
auprès de mon amoureux, ma vision était enfermée, limitée. D’un autre côté, comme je
savais que tout ce que l’on vit a un sens et que c’est « voulu » par l’âme,
ça m’empêchait de sombrer dans l’idée que je me faisais encore manipuler,
contraindre. J’ai passé ces deux jours à accueillir toutes les émotions qui
venaient. Enfin disons plutôt que je n’ai rien retenu, amplifié, ni même réfléchi
aux pensées qui émergeaient. Je n’ai pas jugé le côté infantile de certaines de
mes réactions mais j’en ai fait une occasion d’embrasser l’enfant intérieur. J'étais consciente des rôles que je jouais et c'était suffisant pour ne pas se prendre au jeu.
Ma séance de Reiki quotidienne s’est terminée par un
roupillon de deux heures et j’ai senti que tout ce que je n’arrivais pas à
libérer à l’état de veille, ce sur quoi j’avais tendance à bloquer, était
traité pendant mon sommeil. La méditation en temps « ordinaire », n’a
pas toujours un impact puissant mais elle représente une ancre, un moment de
communion avec le divin intérieur qui permet d’appréhender la vie avec plus de
sérénité et dans les moments qu’on pourrait qualifier d’épreuve dans le sens où
ils nous sortent de notre zone de confort, ça devient carrément un grand
secours et ça facilite grandement l’intégration des nouvelles énergies, de l’amour
vrai et la guérison des mémoires cellulaires, karmiques. Finalement, c’est
encore la preuve que tout peut être fait dans la facilité. Quand on sent que la
personnalité bloque, on fait appel au divin qui prend le relais et si le mental
ne peut pas lâcher prise, en revenant en son cœur, simplement en respirant et
en pensant à se situer dans l’amour, tout se calme.
Quand je pédalais contre le vent hier, j’ai demandé pardon
à mon corps physique de l’avoir négligé pendant deux jours en le nourrissant mal,
enfin trop peu et en ayant nourrit des pensées de colère. Puis j’ai demandé à
mes cellules d’activer la régénération cellulaire et la force afin de ne pas
souffrir de cet exercice physique soudain d’autant plus que c’était pour aller
voir le toubib. L’idée que je pouvais fournir un effort pour avoir "ma dose" m’est
venue mais elle a été estompée par la foi en l'amour vrai de soi qui guérit tout et libérée la lecture d’un texte de Mesnet qui n’est
pas tombé sous mes yeux par hasard ! Merci les synchronicités. Elle parle
de la dépendance et de son rôle dans nos vies. Du moins quand on sait remercier
cette situation qui nous permet de prendre conscience de nos peurs, de nos
besoins et ainsi de pouvoir les lâcher en les entourant d’amour. Cette attitude
vis-à-vis de ce que l’on qualifie de faiblesse est un moyen d’amplifier
considérablement l’amour de soi. Tout comme l’enseigne Lise Bourbeau, c’est en
ayant un regard bienveillant sur soi-même, en acceptant toutes les situations
que nous vivons, que nous grandissons en sagesse, en conscience et en amour.
Miles Morgan |
Quand
je me suis adressée à mon corps physique avec reconnaissance, respect et que j’ai
accepté d’être dépendante des cachets, j’ai senti un regain de force et les
tiraillements musculaires se sont effacés. C’est comme si un souffle me portait
malgré le vent qui me venait en face. J’ai été épatée par ce constat et l’idée
que la foi grandissante nous permet de retrouver des pouvoirs, m’est
clairement apparue.
Comme j’ai relativement bien réagi à ce qui se manifestait
hier, j’ai la nette sensation d’avoir retrouvé la fréquence du cœur et que le
travail qui restait à faire a été effectué durant la nuit. Si je reviens
là-dessus, c’est pour mettre en évidence l’idée que la facilité peut être
intégrée au parcours évolutif, au processus de guérison.
Le lâcher prise peut
se faire pendant le sommeil et le savoir permet de se détendre. Bien que l’appel
au divin trouve toujours une réponse, on peut être si confus ou sur une fréquence
vibratoire si basse, qu’on ne se rendra même pas compte de son action. Puis si
on résiste mentalement, si on a de la difficulté à accueillir ce qui est, à ne
pas s’y accrocher, le nourrir, notre corps physique demandera du repos afin que
l’intégration se fasse plus facilement.
C’est vraiment le résultat des énergies envoyées par la
source qui amplifient la foi et donc son efficacité, puis qui activent nos
pouvoirs psychiques. Les libérations placent sur une fréquence supérieure et
permettent un regard nouveau sur ce qui est. Ceci ouvre notre cœur et élève
encore notre fréquence. Quand on revient au cœur par l’amour vrai de soi, le
recul permet de voir ce qui avance et donne du courage pour continuer.
Tout ce que j’ai lu à propos des dons et talents que nous
retrouverions est une réalité. Non seulement la connexion à l’âme est permanente
lorsqu’on est conscient d’être divin mais j’ai des visions, et la capacité de communiquer
à distance simplement par la pensée, commence à être développée ou reconnue. La seule chose qui pouvait me faire croire
le contraire, c’était ma façon de concevoir le divin et les talents. J’avais
une idée à ce propos trop proche de la magie, infantile. Il est évident que ce
qui se passe au niveau subtil ne peut pas être envisagé par le mental même si
celui-ci s’exprime aussi de façon « invisible ».
Tout est énergétique, vibratoire et la seule chose à faire
en toutes circonstances, c’est de retrouver la fréquence de l’amour. Le fait de
m’être acheté des vêtements hier, d’avoir suivi mon impulsion, m’a aidée à m’élever
vibratoirement. Une fois sur la fréquence de l’amour, j’ai pu relativiser les
choses et me souvenir que rien ne peut me contraindre à part moi-même.
Je m’agaçais
à devoir faire du ménage mais c’est mon mental qui m’insufflait cette idée, en
faisait une obligation. La peur d’être jugée l’incitait à me pousser en ce
sens. Puis, je me suis dit que l’appart n’était pas si sale et que ma mère ne
venait pas inspecter les lieux mais plutôt me voir. Cette seule pensée a suffit
à me faire changer mon regard sur la situation.
Plutôt que de me dire que j’étais
obligée de faire les choses, j’en suis venue à choisir de les accueillir
dignement et même si ça m’oblige concrètement à faire du ménage, l’énergie qui
sous-tend cette action étant totalement différente, ça devient un plaisir.
Idem concernant cette visite que je considérais comme un
obstacle à mon bonheur. Même si j’y voyais une occasion d’affirmer mes choix,
tant que je restais bloquée sur ce point de vue, il n’amenait que rancœur et colère.
En me disant que mon âme "prépare le terrain", épure, créé des situations pour guérir,
changer, amplifier l’autonomie affective, l’amour en moi et dans la relation
aux autres, je peux voir effectivement la pertinence de cette situation.
Je peux
« mesurer » l’intensité de mon amour pour Yves, mon degré de
dépendance à cet amour, affirmer mes choix, retrouver le centrage et utiliser
les repères créés dans mon appartement de célibataire pour fortifier ma
personnalité, ma foi et mon autonomie affective et matérielle.
En pédalant devant le camping, je me suis dit que la région
touristique pouvait m’aider à me sentir en vacances, à lâcher prise sur les
obligations et suivre l’élan du moment, la liberté d’être que l’on éprouve
lorsqu’on est en congés. Ce matin l’orage gronde ! Le jardin a été
copieusement arrosé pendant la nuit, ce qui me laisse du temps pour préparer l’appart
et le repas de ce midi. Merci la vie bienveillante, les synchronicités, les
choses qui changent selon la fréquence sur laquelle je me trouve.
Je sens que la coupure du cordon ombilical va se faire dans
la tendresse. Je n’ai jamais aimé la phrase de Freud je crois, qui dit "qu’il
faut tuer ses parents". Même si c’est une métaphore, c’est chargé
énergétiquement et je suis persuadée que ça peut se faire en douceur. Simplement
en étant ferme et déterminé dans ses choix. Bien sûr, ça demande de ne pas
craindre la réaction des parents don d'être plus autonome affectivement, détaché mais en ayant un amour vrai pour soi, son
âme, quand on reconnait être un humain divin, on ne peut pas se fâcher pour se
séparer.
Je ressens le soutien de ma famille d’âme, de mon âme, de
ma présence divine, de la terre mère qui sont présents en ce moment et m’aident
à fortifier ma foi. Une grosse pluie est en train de tomber ! Je lui offre
la tristesse de l’éloignement de mon amoureux qui du coup se change en joie de
le retrouver bientôt.
Là encore, tout dépend du regard qu’on veut porter sur
une situation. On peut voir l’aspect « négatif » ou le positif. C’est
le truc de la bouteille à moitié vide ou à moitié pleine !
Quand on apprend à revenir à l’instant présent et à suivre
simplement ses envies, déjà, on se libère du poids du temps et on retrouve la
fréquence de l’amour. En cela, nous avons un grand pouvoir.
Puisque les pensées
ne sont pas réelles, puisqu’elles viennent de l’imaginaire, autant choisir les
plus belles. Parce que bien quelles soient illusions, leur impact lui est bien
réel ! Elles peuvent nous transporter sur des fréquences diamétralement
opposées et en cela le fait de revenir au centre, nous permet d’être sur la
bonne longueur d’ondes, celle qui permet la communion et donc le soutien
ressenti du divin intérieur.
Une bonne nouvelle, je n’ai pas encore pris mon premier bout
de médicament alors qu’il est déjà presque 9 heures ! J’ai remarqué que
lorsque j’étais sur la fréquence de l’amour, que ce soit seule ou avec mon amoureux,
le besoin de prendre ce truc n’était pas présent.
Il faut que j’arrive à voir
cette dépendance comme un choix de l’âme, quelque chose qui est positif plutôt
que de continuer de nourrir la critique à ce sujet ! Pas évident lorsqu’on
s’imagine que c’est en ayant de la colère envers une situation, qu’on peut la
changer. Oui, quelques temps, on arrivera à s’en passer mais comme ce n’est pas
l’amour qui nous aura guidé mais la peur, ça ne tiendra pas longtemps. On replongera
et le dégoût de soi, l’échec, amplifieront la sensation d’être une merde. Je ne
force pas non plus dans l’autre sens, à me dire que c’est très bien comme ça ou
encore que j’aurais besoin toute ma vie de ce produit mais j’essaie de le voir
comme un soutien momentané.
Que ce soit en amour, vis-à-vis des parents ou d’un
produit, un détachement se fait dans l’amour et pas dans la colère, la haine ou
par la force de volonté. Seule l’acceptation de ce qui est, ramène sur la
fréquence de l’amour et on fait mieux la part des choses. J’ai dû couper la
connexion tant l’orage est puissant.
J’offre ma colère, s’il en reste en moi, à
ma présence divine et m’entoure de l’amour de la source afin de poursuivre cette
journée dans l’amour, la joie et la légèreté. Je retrouve les sensations liées
à la connexion à l’âme, la terre mère, avec délice !
J'ai tout remis en état et préparé le repas en deux heures! La motivation portée par le cœur donne de l'énergie.
Vous
pouvez diffuser ce texte à condition d’en respecter l’intégralité, de ne rien
modifier (sauf correction des fautes d'orthographe), de citer l’auteur :
Lydia Féliz, ainsi que la source : http://lydiouze.blogspot.fr et ces trois lignes. Merci