C’est parti pour une série de nouvelles leçons ! La
lune a permis, enfin ses énergies ont permis de passer un cap, de libérer les
derniers vestiges du passé et une vie quotidiennement renouvelée s’offre à moi.
Évidemment, l’enthousiasme est amplifié et maintenu par la reconnaissance de
tous les petits signes qui me le confirment.
Avant l’éclipse, il restait des zones
d’ombre et on dirait qu’elles ont été absorbées au moment où la lune a été
privée de l’éclat du soleil. Je ne sais pas comment ça s’est passé réellement
et encore moins scientifiquement mais je constate une nette amélioration de mon
état général.
Les leçons nocturnes sont plus accès sur l’extérieur, sur
le monde, sur ses illusions, les stratagèmes et les manipulations. Il ne s’agit
pas dans cet apprentissage de critiquer, juger ou accuser mais au contraire de
libérer tout ce qui en moi reste coincé. Les peurs relatives à l’histoire, celles
qui sont liées à l’inconscient collectif, aux vies antérieures, demandent à être vues afin d’être
rendues à la source par l’acceptation.
Le processus est toujours le même, on
voit, on embrasse et ça se dissout.
On gagne ainsi un nettoyage mental,
émotionnel, un équilibrage énergétique, un élargissement de la conscience, une
ouverture de cœur et l’amour peut alors rayonner encore plus loin.
J'ai eu l'image d'une spirale hier, comme une évidence, le symbole du parcours naturel de l'énergie de la source, de l'amour divin, du centrage qui permet de rayonner vers l'extérieur. Rien à voir avec l’égocentrisme mais plus le symbole d'un principe universel qui régit toute vie. Le premier tour se vit dans le cœur, au centre de l'être, pour s'étendre en rayonnant toujours plus loin. L'énergie de la source doit d'abord rayonner sur tous les corps, afin d'être autonome affectivement et donc libre d'aller vers l'extérieur sans attentes mais en donnant, en rayonnant depuis l'être unique unifié, entier, complet. Ce qui est remarquable, c'est qu'il qu'il n'est pas fermé et qu'il se déploie à l'infini. Je suppose
que la suite, c’est le contact avec ma famille galactique mais là, j’anticipe…
Le
plus important, c’est de continuer de sentir, de percevoir, de maintenir vivant
et permanent le contact avec l’âme, la source, la présence du divin intérieur. Continuer
d’être sensible à l’énergie, la reconnaitre, la canaliser. Prendre conscience
de mon monde intérieur mais cette fois-ci, en focalisant l'attention sur la façon dont je fonctionne en tant qu’être
multidimensionnel. Il est l’heure de se tourner vers les chakras du haut avec
toutes les précautions qui s’imposent.
Le mental-émotionnel a besoin d’être épuré, le cœur libéré
des souffrances afin de ne pas se bercer d’illusion, de ne pas nourrir la
division intérieur, la notion de supériorité ou d’infériorité. L’enfant
intérieur apaisé et surtout autorisé à s’exprimer au quotidien, révèle ses
trésors à mesure que j’ose être moi-même, me faire confiance, et aimer tout ce
qui était vu comme négatif, mal, sale…
En fait, c’est simple d’être heureux ! Enfin, le
principe est simple mais ça demande une épuration constante, renouvelée, une libération des masques,
du passé et de l’idée de futur. Les moyens de le réaliser sont aussi très
simples ; l’accueil des émotions, l’écoute attentive de son monde
intérieur, l’amour de soi, l’attention et la présence dans le moment présent qui amène la reconnaissance du divin intérieur. Cette prise de conscience libère les fausses croyances…
Les voiles dont on parle dans la bible, ne sont autres que
la peur, la culpabilité, le rejet et le déni de soi, l’accusation et le jugement.
En libérant ces ombres, la nature divine se révèle au travers de l’enfant
intérieur qui une fois guérit, exprime la pureté, l’innocence de l’être, son
unicité et comme les énergies masculines et féminines sont aussi guéries, équilibrées par la libération de la notion de dualité, il
est accompagné, éduqué en toute sécurité.
Tous les corps épurés et réharmonisés,
par l’énergie de l’amour pur de la source qui s’écoule librement, la
personnalité fusionne avec le divin, une magnifique association se met en place
et le quotidien devient une belle co-création consciente et joyeuse.
La création consciente n'est pas tant de visualiser mais de répondre à l'élan de l'instant, en toute confiance, de dire oui à ce qui est.
L’enfant apporte la légèreté, l’enthousiasme, l’innocence
qui permet d’accueillir l’inconnu, de s’ouvrir à la nouveauté, de ne pas
craindre le changement. La présence divine diffuse les énergies appropriées
pour soutenir la personnalité dans ses choix, ses désirs que le cœur émet une
fois qu’il a pris en compte les besoins de tous les corps. L’âme apporte sa créativité,
la mémoire de ses expériences dans l'incarnation, qui lorsqu'on est libéré de la notion de bien et de mal, deviennent une quantité d'informations, de connaissances disponibles selon le besoin du moment. La source émane la pulsion de vie qui parcourant tous les corps se manifestera par un désir, puis au travers du corps physique en accord avec les autres corps en une réalité
tangible. Bon, le processus est plus complexe mais ce qui est à retenir, c’est
le fait que tous les corps, tous les aspects de l’humain et du divin sont
nécessaires à la cocréation consciente, la réalisation de ses élans, et c’est l’harmonie,
la réunification de toutes ces dimensions qui le permet.
J’ai fait un nouveau rêve éveillé hier, le terme n’est
peut-être pas approprié parce que j’ai eu l’impression de vivre une réalité parallèle,
c’était très spécial et très agréable. La libido se réveille mais comme je ne la
refoule pas, l’énergie sexuelle, se diffuse librement et vient nourrir l’élan
de vie, l‘enthousiasme, la créativité, l’imagination, celle qui permet d’innover et non de ressasser ou de nourrir la peur du lendemain.
Nos corps peuvent être portés par la fréquence de l’amour
ou par celle de la peur et ils fonctionneront selon ces énergies.
En réalité, ils
obéissent à l’énergie que la personnalité choisit de soutenir, de nourrir, de
porter, ils sont des exécutants fidèles, loyaux et les incriminer est encore
une forme de déresponsabilisation. Il faut rendre à César, ce qui est à César. Même
si on accuse la personnalité ou l'ego, c’est encore une forme de démission parce
que nous avons toujours le choix.
Si nous sommes à l’écoute de notre cœur, de
notre âme, nous savons toujours quel est le meilleur choix à faire mais très
souvent, la peur nous embrouille, nous paralyse même parfois. D’où la nécessité
absolue de libérer toutes les énergies coincées par la peur et le rejet de soi.
Je n’ai jamais voulu croire au diable, disons plutôt que je
n’ai jamais voulu lui donner de l’importance, le nourrir, parce qu’il est une
projection des énergies de basse vibration et à ce titre, une illusion tout
comme peut l’être toute représentation faussée de l’énergie divine. De la même
façon, même si les petits gris ou autres méchants extra-terrestres existent, tant
qu’on considère les choses sous l’angle de la dualité, on est à côté de la
réalité parce c’est cette façon de voir qui perverti les choses, les visions,
les êtres.
Le « diable », selon ce que je ressens est
simplement une énergie spécifique qui n’est ni « bonne » ni « mauvaise »,
c’est notre interprétation au travers du voile de la peur, de nos propres
ombres, qui le concrétise, le matérialise dans les mondes subtils, d’une façon
qui correspond à nos propres fantasmes, proportionnelle à la quantité de désir, d’énergie de vie, d'énergie sexuelle refoulée.
Quand on cesse de s’identifier uniquement à l’ego, à cet
aspect de nous qui fait son travail de protecteur, selon les énergies que nous
choisissons de porter, selon notre ouverture de cœur et de conscience, on
retrouve le sens de l’unité parce que le divin intérieur se manifeste, se
révèle.
Sa façon de se manifester n’a rien à voir avoir les
supputations mentales qui sont encore des projections issues de nos peurs, nos
manques, nos besoins et de nos désirs refoulés. Le mental, surtout s’il n’est
pas nettoyé, aura toujours une interprétation très limitée, selon ce qu’il
connait, selon sa capacité à imaginer mais il ne reproduira pas la réalité.
C’est par le ressenti physique, par l’écoute, la
reconnaissance des mouvements intérieurs subtils qu’on apprend à sentir, à
reconnaitre la présence du divin, de la source, de l’âme. Ce sont des énergies
qui peuvent prendre forme selon la dimension dans laquelle elles sont projetées,
selon le degré de conscience de l’objet qui les perçoit. La vision humaine est une réflexion de la
lumière sur un objet, dont la forme sera interprétée selon le programme interne
du mental-ego-inconscient. Plus nous pouvons porter les énergies de la source
avec pureté, transparence et plus notre conscience s’élargira et notre vision
deviendra fidèle à la réalité, mais son caractère subjectif sera toujours
présent.
Comme la connaissance, la foi, ne s’acquiert pas par la
vision et constitue en plus un piège, un risque de nourrir l’illusion, il est
vain de s’y fier et même de chercher à voir.
Je suppose que selon notre
fréquence vibratoire, nous pouvons accéder à des sphères subtiles de plus en
plus affinées mais comme nous sommes sur cette terre, il me semble que la
première chose à faire, c’est de passer de la vision duelle à la vision
unitaire, neutre, globale. D’être capable de voir les choses et de les interpréter à
partir du cœur et du divin associés.
L’image est un piège énorme que les
manipulateurs de ce monde utilisent sans modération, à dessein, afin d’endormir
la population, de conditionner les individus, de les diviser en amplifiant la
notion de dualité, en définissant ce qui est « bien » ou « mal ».
L’intérêt de savoir par le ressenti physique c’est que le
corps ne ment jamais. Ce qui peut fausser les choses c’est un mental
conditionné par la peur et les fausses croyances d’où l’importance d’épurer le
mental-émotionnel. De libérer la notion de bien et de mal, de division, de jugement
et d’accusation, afin d’interpréter la réalité de façon claire, neutre,
objective.
D’apprendre à voir ce que nous reflètent, les autres, les situations
de notre vie quotidienne.
La pureté de l’interprétation dépendra de notre à nous situer dans le cœur.
Le cœur est pur même si on peut croire qu’il
porte des blessures.
Il n’est pas atteint par ce qu’il considère comme des
expériences, c’est le mental, qui l’interprète de cette façon.
L’inconscient a
enregistré l’événement parce que l’émotionnel a dû taire la chose
et que le mental l’a refoulée. Le danger a été perçu et l’instinct de survie s’est
enclenché par le déni, le refoulement. La personnalité n’a pas pu traiter l’événement
alors l’instinct de survie a primé et les infos ont été stockées dans l’inconscient.
Mais ce qui était insoutenable pour un enfant est gérable par l’adulte. La
plupart des traumas sont inscrits dans l’inconscient dans l’enfance, parce que le mental n’a pas les moyens de
traiter l’info.
L’intégrité de l’enfant est atteinte d’une façon ou d’une
autre, par le seul fait d’être brimé, nié dans son expression naturelle alors
il va s’interdire d’être vrai. Puisque chaque fois qu’il voudra exprimer son
ressenti, ses émotions, il sera la plupart du temps invité à se taire, il
accumulera tout un tas d’émotions refoulées et perdra peu à peu sa pureté d’être,
son innocence en se revêtant de masques déformant sa vérité.
On n’est pas obligé non plus de remonter dans le passé pour
guérir. Mais comme le mental a besoin de comprendre, et surtout s’il a usé de
stratagèmes sophistiqués pour refouler et ainsi créer des masques, il faudra
beaucoup d’amour envers lui, de reconnaissance pour son travail de protection
afin qu’il retrouve son plein potentiel, qu’il s’associe librement au cœur et
se laisse guider par lui en toute confiance.
Un mental développé peut être un associé formidable dès qu’on
cesse de l’incriminer, de l’accuser, de croire qu’il est l’obstacle.
Encore une fois, tout dépend du choix de la personnalité, de sa volonté à vivre
dans l’amour ou dans la peur. C’est tout de même grâce au mental qu’on s’ouvre
à la connaissance théorique du divin. L’essentiel, c’est de se fier avant tout
à son ressenti et d’être centré, de se voir comme une unité parfaite.
J'ai passé la matinée au jardin, je me suis éclatée à jouer avec les éléments, j'ai fait un feu, arrosé tant bien que mal puisque le système d'irrigation n'est pas encore au point. J'ai semé des graines de salade en forme de cœur, planté des oignons de glaïeuls, cueilli des fraises. Comme j'étais ancrée et centrée, en connexion consciente avec la terre mère, ce fût un pur plaisir que j'ai exprimé par des chants. La paix intérieure a rayonné jusqu'au voisin qui s'agaçait à essayer de déboucher les tuyaux et il a fini par me demander qu'on s'occupe de revoir tout le système demain matin. Ce travail en commun est hautement symbolique! Tout le travail d'épuration, de libération de la notion de division, de dualité porte ses fruits et remettre en état de marche le système d'irrigation des jardins, ensembles, en est la concrétisation. Pouvoir canaliser l'eau, cet élément qui symbolise le féminin, la source, les émotions, sera un exercice tant physique qu'énergétique...
Vous
pouvez diffuser ce texte à condition d’en respecter l’intégralité, de ne rien
modifier (sauf correction des fautes d'orthographe), de citer l’auteur :
Lydia Féliz, ainsi que la source : http://lydiouze.blogspot.fr et ces trois lignes. Merci