Tout s’accélère depuis une semaine, mon horizon s'élargit considérablement, les lignes du temps s'interpénètrent !... Depuis que j’ai
retrouvé un "ami de trente ans", je fais un bond dans le passé d’une façon
positive et quand je le compare avec le présent, je mesure le chemin
parcouru ! C’est comme si j’avais fait le tour de la terre, à pied !
Nous avons parlé pendant près de deux heures au téléphone hier et on doit se voir
dans la semaine. C’est étonnant comme j’ai oublié pas mal de choses mais en
fait, c’est normal puisqu’à l’époque, je ne parlais pas des problèmes vécus
dans l’enfance et je lui avais même carrément menti au sujet de mon père !
Je cogite beaucoup à ce sujet et aussi sur la façon dont on s’est rencontré,
puis séparés. Il n’y a pas eu de conflits et même si je ne garde que peu de
souvenirs, parce que j’étais toujours gavée de codéine, (produit dérivé
d’opium), je me rappelle tout de même l’essentiel, l’ambiance de la relation.
J’étais plutôt du genre femme/enfant en besoin de sécurité à tous les niveaux
et cet homme, ce géant de près de deux mètres, à la voix douce et paisible avait
les traits d’un père malgré les 4 ans de différences.
Nous avions beaucoup de
points communs, l’accordéon, l’amour de la nature, le côté solitaire, un
certain détachement des choses matérielles bien qu’il travaillait à l’EDF et
vivait confortablement. Mais voilà, le problème, c’est que j’ai pris
peur ! C’était trop sécurisant pour quelqu’un qui se cherchait, trop
« facile ». J’avais besoin de faire mon propre chemin, de comprendre
l’humain, de me comprendre, de trouver la réponse à la question qui me taraudait
depuis l’enfance : « mais qu’est-ce que je fous là ? »
La liberté, l'expérience, l'âme m’appelaient et j’ai dû encore prétexter quelque chose pour sortir de
ce que je voyais alors comme une prison dorée.
Ce retour en arrière et le fait de constater à quel point
j’étais fermée, est un cadeau de la vie, une occasion de voir comment
j’ai fonctionné, combien la souffrance a pu me « pervertir », moi qui
pensais n’avoir jamais menti ! Mais ce mensonge était le parfait reflet de
mon monde intérieur d’alors. Le déni de l’enfance, la drogue qui faussait
l’expression de l’enfant intérieur, ce masque d’urgence me permettait d’exister
mais en m’amputant d’une grande part de moi-même.
Comme les émotions
douloureuses étaient enfouies dans l’inconscient, elles conditionnaient mon comportement
et je ne pouvais pas être une femme, pleinement ancrée. D’ailleurs les
relations avec les hommes après cette histoire, en sont aussi l’expression.
J’ai vécu deux ans avec un ami de mon frère décédé, qui était plus jeune que moi
e deux ans et 7 ans avec un autre qui avait 7 ans d'écart. (tiens les chiffres sont assez marrants)
Les deux consommaient
des drogues et en vendaient même. Je n’ai jamais voulu participer à cette
activité que je jugeais très négatives mais d’un autre côté, ça me permettait
de ne pas risquer d’être en manque. Il y avait beaucoup de sentiments,
d’affinités avec ces jeunes mais le besoin d’être sécurisé, d’être prise en
charge au niveau de mes besoins, ceux que je jugeais essentiels à l’époque, en était la trame, la structure.
Ce
dévoilement de ma personnalité, de la façon dont j’ai fonctionné est maintenant
réalisable parce que je suis dans une démarche d’épuration et que j’ai libéré
la notion de jugement.
Cette mise ne lumière n’arrive pas du tout par hasard
mais s’inscrit dans une suite logique. Je suis à vouloir tomber tous les masques
et à libérer la dépendance aux cachets qui pallient ma peur de dépendre
affectivement d’un homme.
La première étape pour se libérer d’un comportement
faussé, c’est de prendre conscience des jeux de rôles, des stratégies utilisées
par l’ego et de la façon dont ça conditionne les relations.
Comment ça créé
même des affinités, des préférences et nous amène vers la personne qui
correspond exactement à nos besoins, nos attentes.
Même si le couple peut être
l’occasion de se voir, comme je me fermais totalement à l’effet miroir (que je ne connaissais pas encore en plus) en
occultant une grande part de mes émotions et que je ne pouvais pas jouer ce jeu
puisque je me cachais à moi-même, ces expériences m’ont aidée, à l’époque, à ne
pas m’enfermer dans la solitude, à survivre et à maintenir l’amour en moi-même
si c’était en mode falsifié.
C’est maintenant, rétrospectivement, que je peux
appliquer en conscience, cette technique.
Le couple permet de faire ressortir
les ombres mais il faut être honnête, totalement vrai pour que le travail de
libération puisse s’effectuer.
Pas de hasard non plus dans le fait de retrouver cette
personne maintenant, au moment où je réfléchis honnêtement au couple sacré, à
la « valeur » des émotions, au fait qu’elles expriment une
disharmonie intérieure et que l’amour vrai ne s’exprime pas à travers elles. J’ai
confondu longtemps les effets créés par la peur tels que l’émoi, la passion
même, tout ce ressenti au niveau du ventre, avec l’amour et plus la
sensation était forte, plus je croyais être amoureuse !
Je ne dis pas non
plus que je n’ai pas aimé les hommes avec qui j’ai vécu mais plutôt qu’il
s’agissait de rencontres basées sur le manque, le besoin et donc les attentes,
c’était un amour très conditionné et conditionnel ! Où le même reflet
m’était renvoyé puisque je restais dans le même rôle.
Même si en allant avec
des gens plus jeunes je me donnais l’illusion de ne pas chercher la sécurité,
d’être « libre », de ne pas risquer d’être paternée, le transfert
était bien réel tout comme la dépendance !
En fait, mon « arme »
était la sexualité, j’amplifiais l’interdépendance en n’ayant pas de tabou,
d’interdit dans ce domaine. Le fait d’être une « femme libérée »
faisait de la sexualité un passeport pour entrer dans l’intimité de la personne
puis avec les hommes plus jeunes, mon expérience les comblaient en même temps
qu’elle les valorisait auprès de leurs amis. Malgré mon besoin d’être prise en
charge, je tenais trop à ma liberté et comme je ne voulais pas prendre le
risque d’être manipulée, j’endossais ce rôle sans même m’en rendre compte.
Depuis l’enfance, j’avais associé la sexualité au pouvoir
et la société ne démentait pas cette croyance qui est encore la réalité pour la
majorité des humains.
La découverte de la sexualité sacrée m’a ouvert une porte
sur une vision qui me correspond tout à
fait même si le sujet n’est pas encore traité très clairement faute de
recul et de références. C’est ce dont j’ai toujours rêvé, la possibilité de
fusionner à tous les niveaux avec un homme. La condition sine qua none, c’est
la transparence totale.
La capacité à se regarder dans les yeux pendant l’acte
sexuel.C'est une chose qui demande d'être honnête, sincère. Je pouvais le faire avant, parce que j'étais très souvent celle qui dominait dans le couple et c'était une façon d'amplifier mon pouvoir sur l'autre. Maintenant, je ne sais pas si j'en serais capable!
C'est réalisable si la sexualité est libérée des jeux de pouvoir, des tabous et des fausses croyances...
Les partenaires doivent être sortis des jeux de rôle ce qui
implique une connaissance intime de soi, de ses peurs, de ses blocages, une reconnaissance du divin intérieur
et une relation étroite avec la source.
Si on n’a pas goûté à l’amour en soi,
celui qui s’écoule librement lorsqu’on libère ses ombres, ses émotions, on n’a
pas accès à ce nectar et on va dépendre de l'extérieur pour en avoir quelques gouttes.
On peut le connaitre partiellement dans des situations
particulières mais comme cet amour pur, inconditionnel, divin, ne dépend pas d’un objet extérieur, des
circonstances mais qu’il est le résultat d’un lâcher prise, d’une totale
acceptation de soi, cet aperçu peut laisser croire que ce sont les événements
qui l’ont suscité et créer une dépendance avec l’objet, la circonstance qu’on
cherchera à reproduire. Cet amour conditionné n’a rien à voir avec l’amour
divin même s’il en est l’expression lointaine.
L’amour de la source n’est pas envahissant, possessif, spectaculaire, né des fantasmes du mental/émotionnel, même s’il peut s’approcher de l’extase parfois. Mais c’est rare puis ces
expériences mystiques sont vécues à des moments de la vie où l’âme est en
danger.
On peut aussi le vivre lorsqu’on ouvre son cœur, par le pardon par
exemple. Le pardon à soi ou aux autres.
Je commence à reconnaitre les effets de la libre
circulation de l’amour divin à mesure que je réintègre tous les aspects de ma
personnalité, que je suis dans l’équilibre, la paix et l’harmonie et la
« sensation » est très subtile.
Il s’agit plutôt d’un état de
félicité que la paix, le sentiment de liberté, la transparence, procurent. Tout
autant que la joie subtile mais profonde et réelle, qui résulte de l’harmonie,
de la cohérence intérieure, de l’alignement des corps, lorsque le mental est
éclairé, que l’émotionnel a libéré un poids, que le corps physique frétille
lors d’une connexion à l’âme, à la terre, au divin. Dans ces cas là, le mental n'a pas suscité quoi que ce soit, il constate le bien-être et peut l'interpréter lui donner un sens mais c'est la libération de la source divine en soi, qui créé cet état.
La vie qui nous reflète notre état intérieur est encore
vérifié dans cette situation, ces retrouvailles ! On a discuté dans la
transparence, sans jouer de jeu, en toute honnêteté même si j’ai un peu
regretté de lui avoir donné l’adresse du blog et qu’à un moment je me suis
demandée si ce qu’il me disait au sujet de son attirance pour les écrits de
Jeshua était réelle tant ça me parle aussi ! Je suis encore stupéfaite par
toutes ces ressemblances, par la vision partagée de la spiritualité qui vient
s‘ajouter aux affinités plus temporelles. Évidemment, le mental est à 100 à
l’heure, il projette, calcule, fait des rapprochements basiques du
style : c’est un homme célibataire, on est célibataire, il aime la nature,
on aime la nature, il vit en « sauvage », on est aussi
« ourse »…du style 1+1=ça marche !
Je ne le suis
pas dans ses raisonnements mais considère que c’est logique, normal puis que
c’est même mignon, plein d’innocence !
Il est vrai que ça fait beaucoup de coïncidences, de
synchronicités même ! Après le coup de fil, l’écran de veille de l’ordi
qui se déclenche au bout d’une minute, m’a inondée d’images de couples, de
cœurs, de symboles relatifs à l’amour entre un homme et une femme ! Lors
de la ballade, idem, j’ai vu les canards col vert, mâle et femelle, qui ne se
montrent pas souvent, j’ai même pu les photographier sans qu’ils s’envolent.
Je n’ai pas ouvert le lecteur musique pour ne pas pousser le bouchon trop loin
puis aussi parce que les morceaux qui parlent d’amour expriment plus souvent la
souffrance, l’échec, la rupture…Comme tout ceci fait partie du passé, il est inutile de le nourrir…
Malgré tous les signes, je reste sereine et ne tombe pas
dans le piège de l’identification au mental, à l’idéal de couple sacré qu’il
nourrit. Il est bon de rester centrée, ancrée en pareilles circonstances,
d’être à l’écoute de l’âme, des corps et de ne pas interpréter ce qui est, au
travers des besoins, des manques et de l’illusion des projections mentales ou
inconscientes. je suis allée instinctivement auprès de mon arbre, mon copain le chêne et de la rivière pour intégrer leurs énergies équilibrées et leur témoigner mon amour, ma reconnaissance pour leur présence dans ma vie, leur soutien subtil mais néanmoins réel. La technique du miroir est à appliquer sereinement, en toute
transparence et les émotions qui surgissent à ne surtout pas retenir et à traiter
au fur et à mesure. J’ai eu droit à une large palette des peurs surgies du
passé mais qui restent encore vivantes à l’intérieur. La peur de l’enfermement,
de perdre ma liberté, d’être le jouet de mes besoins, la peur de l'engagement avant même que ce soit probable, tout ceci est à libérer.
C’est le moment d’être très lucide, objective et de mettre
en pratique toutes les connaissances acquises ces derniers temps, de continuer
de gérer ma vie selon l’élan du moment, en prenant soin d’agir à partir du cœur, de
l’amour vrai de soi et non de la peur. Puis cette peur est une messagère
extrêmement importante en pareille circonstance, c’est l’occasion de libérer ce
qui est resté enfoui pendant tant d’années, de réintégrer les aspects de ma personnalité afin qu'il me rendent complète, entière, intègre et donc plus autonome affectivement.
La lune continue de produire ces effets et je le vis avec
reconnaissance, gratitude ! Il est vrai que lorsqu’on est prêt à se voir
en réalité, en profondeur, tout s’écoule
facilement, l’âme, le divin, sont tellement présents que ça devient une
expérience magnifique, une plongée dans les profondeurs qui révèlent ses
trésors, ses perles de sagesse, les aspects de ma personnalité qui me
semblaient défectueux m’apparaissent comme des soutiens, des balises, des
qualités qui me permettent d’effectuer ce parcours en sécurité.
Merci la vie, merci mes corps, du plus dense au plus
subtile, merci de vous unifier amoureusement créant une harmonie intérieure,
une complétude, une plénitude de joie qui nourrit l’amour vrai de soi, la
véritable liberté, celle de l’être.
Merci pour les connaissances qui me permettent de vivre
cette expérience comme une magnifique occasion de grandir, d’amplifier l’amour
de soi, de mieux connaitre cette énergie, de débusquer les comportements issus
de la peur, de pouvoir libérer les vieilles croyances dans une joie renouvelée.
Merci pour cette connaissance essentielle, cette exhortation constante à vivre
dans le moment présent, à revenir en son cœur, son centre, à s’ancrer afin de
ne pas se laisser submerger par les émotions et les pensées, à être soi-même. La garantie du respect de ma liberté, de mon intégrité, de ma souveraineté, l'essence, la substance de l'amour vrai de soi.
Jeffry Surianto |
Quand je commence à me projeter mentalement dans le futur et que des peurs se montrent,
je les accueille et la paix revient, la réponse est pratiquement la même :
"sois toi-même". C’est ce qui me permet d’être connectée à mon être divin, à ma
personnalité unique, d’être libre et sereine !
J’apprends aussi à canaliser l’énergie de vie qui s’écoule
avec intensité, à m’en donner le vertige par moments ! Les rêves éveillés
de ces derniers jours m’ont aussi ouverts les portes de l’inconscient afin de
libérer des peurs ; la tendance à manipuler par la sexualité, à risquer
d’être dépendante du plaisir, à transférer le besoin du plaisir que comblent
les cachets, dans la relation sexuelle.
J’ai eu l’occasion de canaliser un
désir venu de nulle part, c'est-à-dire non provoqué par le mental, par un
raisonnement, lors d’une séance de méditation, de respiration consciente.
J’ai
laissé cette sensation remplir le chakra sacré et amplifier au point de
ressentir un orgasme ! C’était carrément jouissif et ça m’a permis de
lâcher la peur de la dépendance sexuelle, d’envisager cette rencontre au niveau
de l’âme, en frère et sœur.
La précipitation qui nait d’une projection, d’un calcul du
mental ou d'un bouleversement émotionnel est le meilleur moyen de tomber dans l’illusion, de construire quelque
chose sur du sable. La gestion émotionnelle et énergétique s’avère très utile aussi puisqu’elle me permet de ne pas
être influencée par ce corps qui je le répète, n’exprime pas l’amour vrai.
Si
on considère objectivement les émotions qui surviennent lors d’une rencontre
entre un homme et une femme, on peut voir que très souvent, elles sont
associées aux projections mentales. Celui-ci a une conception de l’amour très
cadrée, il se créé des critères de sélection, des références basées sur des
préférences, les expériences passées, les modèles inconscients construits sur
les frustrations affectives, le besoin de réparation, les situations vécues dans l‘enfance, les premiers
contacts avec l’autre, les ressemblances, les attraits et répulsions…Tout ceci
n’est pas l’amour vrai, inconditionnel.
Les schémas inconscients doivent être détricotés au fur et
à mesure qu’ils apparaissent. Le seul fait qu’ils se montrent suffit à s’en
libérer.
Être conscient est la première étape dans le processus de guérison.
Ensuite, l’accueil de l’émotion libère la charge énergétique au niveau du corps
émotionnel et de l’inconscient, du mental. Si on réfute mentalement ce qui nous
apparait, ça retourne se loger dans l’inconscient jusqu’à ce qu’une situation
similaire le ramène à la conscience.
Accepter ce qui est créé la guérison, l’abandon
aux énergies de la source qui équilibrent les polarités.
L’émotion libérée de
sa charge révèle son aspect positif, utile à la progression de l’être. Que ce
soit une ouverture de cœur, le déversement de l’amour divin ou un aspect dévoilé
de la personnalité qui va amplifier la sagesse, on a tout à gagner à laisser
être l’émotion !
Quand le corps émotionnel est libéré, épuré, il peut alors
se faire l’interprète, le traducteur de l’énergie de vie, de l’énergie sexuelle
qui canalisée vers le cœur, la couronne réalise la complétude de l’être, l’alignement
des corps et peut-être même une extase.
C’est ce que je suppose parce que jusqu’à
maintenant, je ne suis pas allée au-delà du chakra du cœur. Mais déjà, en
faisant ça, j’ai pu sentir la paix, la joie et le sentiment d’être souveraine dans
la capacité à gérer, à sublimer la pulsion de vie ! Ce sera « l’objet »
de mes futures méditations.
Pour vivre cette expérience, il ne s’agit pas de créer une
excitation à partir du mental en cherchant des pensées qui évoquent la
sexualité mais plutôt de se focaliser sur le ressenti du corps physique, de
chercher à sentir ce qui se passe dans la région du nombril au sacrum, des chakras sacré
et racine.
Si on force quoi que ce soit, on ne peut pas vivre une expérience
réelle, ça sera du préfabriqué. L’observation et l’attention sont à mon avis, les
pré-requis, en ayant évidemment aucune forme de jugement, d’à priori, de
projection. Ça demande de décrocher du mental, de ne pas s’identifier à son
bavardage en ne le censurant pas non plus parce qu'il révèle des croyances qu'il sera bon de libérer, ou réviser, actualiser.
Je vais me préparer pour le repas entre voisin de tout à l’heure.
C’est cool il pleut et je ne suis pas obligée d’aller arroser ! Là aussi,
je peux constater à quel point l’amour de soi la reconnaissance du divin, de
son soleil intérieur, libère de la dépendance aux circonstances extérieures. Ma
joie, mon enthousiasme n’en dépendent plus vraiment, quel soulagement, quel pouvoir, quelle liberté !
Je vais aller accueillir cet enthousiasme exacerbé qui me
porte depuis hier ! Je peux aussi constater les bénéfices soins énergétiques de Laurent, accès sur l’équilibre des polarités !
Il est
clair que son intervention a été un plus et comme j’ai participé
activement au « travail », je ne me sens pas redevable, je n’ai pas l’impression
d’avoir été portée ou que mon pouvoir ait été amoindri.
Au contraire cette
expérience co-créative a amplifié la confiance en soi et en l’autre, libéré la peur de la
manipulation, développé mon propre pouvoir, la foi en l’interaction qui
amplifie l’énergie de guérison, par l’intention commune. Ma foi en l’auto-guérison
est aussi nourrie et je n’ai plus aucun doute quant à mon potentiel à ce niveau.
Lors d’une séance de soins, j’ai ressenti une forte chaleur
dans les mains qui m’a amenée à prendre la décision de recevoir l’initiation au
Reiki. Je ne sais pas du tout en quoi ça consiste même si j’ai une petite idée
de la question.
J’aborde cela comme une expérience nouvelle à prendre au
fur et à mesure, comme un outil, une capacité à canaliser les énergies. J’ai tout de suite été réceptive aux
enseignements de Saint Germain, canalisés par Joéliah, puisque la liberté est essentielle
dans mon parcours, elle a une immense valeur à mes yeux !
Mais il me
fallait d’abord acquérir plus d’autonomie affective, trouver mon propre pouvoir
d’aimer, développer mon discernement pour approfondir la question. Puis faire le tri parmi les nombreux messages censés émaner de l'énergie appelée Saint Germain, utiliser pour ce faire, la sagesse et l'intelligence du cœur, l'écoute et la connexion à l'âme...
J’utilise
les rayons de façon spontanée depuis quelques années mais j’ai préféré focaliser
mon attention sur la compréhension des schémas inconscients, des comportements
issus de la peur…
Tout vient toujours à point et les circonstances idéales
sont réunies pour que je puisse aborder ce savoir en toute transparence, en
confiance, sans risquer d’être subjuguée par la notion de maitre. Ma vision
passée de la relation aux enseignants, aux mondes invisibles, était trop
mentale, dominée par la peur de la manipulation, le rejet systématique de l’autorité, reflétant ma propre difficulté à assumer mon pouvoir, à être responsable…
Maintenant
que l’équilibre s’installe, que par exemple cette peur de la dépendance à un
pouvoir extérieur a été ramenée au centre, a développé ma capacité de
discernement, et que je connais mon pouvoir d’aimer, que la connexion à l’âme
est reconnue en permanence, je suis prête à entendre et à apprendre.
La vie est magnifique !
Vous
pouvez diffuser ce texte à condition d’en respecter l’intégralité, de ne rien
modifier (sauf correction des fautes d'orthographe), de citer l’auteur :
Lydia Féliz, ainsi que la source : http://lydiouze.blogspot.fr et ces trois lignes. Merci