auteur inconnu |
7h de
sommeil, alléluia ! J’ai dormi comme un gros bébé, en me réveillant tout
de même pour aller aux toilettes et j’ai pu constater que mon corps physique
évacuait des toxines par tous les pores de la peau. Je me sens en parfaite
cohérence avec cette dimension de mon être, mon corps physique et tous ces attributs, cellules, organes corps subtils...que j’aime de plus en plus, pour tout ce
qu’il est ; ma création !
Il est ma création non
seulement au niveau du divin que je suis, mais aussi selon mes pensées
quotidiennes et les aliments que je choisis de lui donner. La façon dont je lui
témoigne mon amour, ma reconnaissance de pouvoir vivre cette expérience
terrestre dans des conditions qui s’améliorent à mesure que je lui parle et que
j’apprends à créer en conscience, dans la joie, la légèreté et la facilité ou fluidité si ce mot réveille moins de résistance. J’ai
passé plus de deux heures hier, à mettre en page le message de l’animal totem de
l’année 2014 ! En le lisant, j’ai senti que cette année serait des plus
pétillantes ! Les énergies de 2013 étaient celles du condor, et nous ont
poussées à nous élever au-delà de la dualité, pour prendre suffisamment de recul,
afin de ne pas être englouti par l’auto-jugement, face aux remontées parfois
nauséabondes de l’inconscient. Finalement, sachant que nous créons notre vie au
niveau individuel mais aussi au niveau collectif, j’ai bien l’impression que
nous recevons les énergies que nous « méritons », enfin que nous
créons un égrégore selon les croyances communes les plus fortes qui appellent
une forme de guidance spécifique. L’année dernière, nous étions beaucoup dans
le mental, la nécessité de guérir et pour ce faire de fouiller dans les
méandres de l’inconscient, la notion de mérite, de travail, étaient très
présentes dans l’inconscient de ceux qui s’ouvrent à leur vraie nature. Cette
année, enfin, nous avons passé un cap est sommes mûrs pour accueillir la
grâce ! Nos pensées, nos croyances ont attiré l’énergie du Papillon, de
Dame papillon plus précisément !
Lydia Féliz |
En
lisant son message, j’ai compris encore plus profondément que le lâcher prise,
l’acceptation, ouvrent les portes du cœur, comme le dit Jésus dans les cours
« L'Art de faire la paix spirituellement » ( notamment la 15ème leçon que vous pouvez lire ici) et amènent naturellement
l’énergie de la solution à tout problème.
Je le vis par rapport à ma dépendance
aux cachets. La période, qui m’a semblé très longue au début, où j’ai appris à
lâcher tout jugement concernant cette faiblesse, a été un parcours de guérison à
bien des niveaux et m’a amenée tout naturellement à faire le choix de m’en
passer. Et comme la motivation, l’énergie qui sous-tend cette décision, est
légère, bienveillant vis-à-vis de moi-même, comme c’est de l’amour pur, la
réponse de ma présence divine à ce choix, c’est tout simplement la grâce.
Tant que
je me jugeais comme "malade", faible de
caractère, incapable de me libérer, de respecter mon corps physique...je ne
pouvais pas accéder à la guérison.
En effet, toutes ces pensées sont portées
par l’ego, totalement dépourvue d’amour et c’est l’énergie du rejet qui les
sous-tend. Or pour guérir de la blessure du rejet, il faut déjà ne rien rejeter de soi.
Quand j’ai commencé à accepter sincèrement la situation, j’ai
reconnu les souffrances de mon enfant intérieur, leur légitimité et par cette acceptation,
j’ai enfin cessé de nier une part importante de qui je suis. Celle qui porte le
désir, la joie de vivre, l’élan d’agir avec spontanéité, celle qui est portée
par le cœur, les énergies d’amour inconditionnel de la source. Le pardon à soi-même, la patience envers soi, sont des actes d'amour. Le fait
d’accepter, c’est ouvrir son cœur, appeler l’énergie d’amour à le remplir en
même temps que libérer la source en soi, par l’accueil de émotions. L’amour que
nous sommes peut enfin s’exprimer, chaque cellule le libère, les pensées
l’amplifient, la guérison de l’enfant intérieur qui se réalise par la patience,
l’attention, la tendresse, le libère de ses chaînes et il est enfin en mode
créatif. Tous cet amour que j’ai « donné » à l’enfant intérieur,
cette reconnaissance, l’acceptation de ma vulnérabilité, le pardon envers moi-même, a libéré les énergies
masculine et féminine qui ont enfin pu s’accorder.
Le chakra sacré a été
guéri puis ouvert, l’unité intérieure a permis la libre circulation énergétique dans tous
les corps et les a restaurés. Le féminin et le masculin, amoureux l’un de l’autre
ont donné une sécurité à l’enfant intérieur afin qu’il exprime toutes ses
"qualités".
La carapace chimique qui le protégeait, peut maintenant être ôtée sans
danger pour lui et c’est tout naturellement et logiquement que j’ai pu prendre
la décision de le faire. Je n’ai aucun doute quand au fait que cette fois-ci,
la libération est réalisée. J'ai confiance dans le processus qui demande de lâcher prise du résultat et la concrétisation de celui-ci, justement dans la confiance que c'est déjà réalisé. Tout m’amène à savoir que c’est déjà fait au niveau
de l’esprit, au niveau énergétique et même mental puisqu’il suit maintenant le
cœur. Psychologiquement, c’est tellement cohérent que ça se réalise facilement.
Physiquement, ça suit aussi sans aucune résistance. Le seul aspect qui pourrait
intervenir c’est l’ego mais comme j’ai enfin compris que je pouvais limiter son
pouvoir en ne l’écoutant pas. Non seulement j’ai le pouvoir de ne pas l’écouter
en ne m’identifiant plus à lui mais je peux carrément le commander !
Sans
être dans le contrôle mais juste dans ma souveraineté en exerçant ma liberté de
choisir les énergies que je veux porter et rayonner, celles dans lesquelles je veux baigner.
Facebook "The sacred of geometry" |
Ce que je vis individuellement, affecte le
collectif et comme nous sommes plusieurs à suivre le cœur, à lâcher les schémas
de conflit, de prédation et de domination, ensemble nous avons appelé la
facilité, la joie, la légèreté. Nos enfants intérieurs guéris manifestant leur
pouvoir créatif de façon optimale, soutenus par les énergies père mère,
masculines et féminines, la création consciente devient un jeu d'enfant. Nous portons
l’innocence, la pureté de l’action qui découle de la pureté de cœur. Je nous
dis Bravo !
Car
c’est bien nos « efforts » (qui consiste à choisir l'amour plutôt que la peur) individuels et communs qui ont permis ce basculement ! En
accueillant ses émotions, on libère la charge énergétique, l’énergie de vie et
chaque geste est alors dicté par le cœur.
On ne s’identifie plus à l’ego qui joue les
adultes en occultant les ombres qui ne sont autre que les souffrances de
l’enfant intérieur, les blessures de l’âme. On ne se contente plus de paraître "grand" on veut juste être vrai, soi-même.
En acceptant de guérir ces deux
aspects de soi-même, l’enfant intérieur et le corps émotionnel, le potentiel créatif est libéré. Les énergies masculine et
féminine se manifestent dans leur aspect divin, leur forces "positives". La sexualité retrouve son
caractère sacré par le mariage de ces énergies.
L’alchimie des émotions nous redonne notre plein pouvoir de créer en
conscience.
Puisque l’ombre a été absorbée par la lumière de l’amour, de
l’acceptation, de l’accueil, elle a offert son énergie, au service de la vie. L’inconscient
libéré ne vient plus interférer dans la création mais retrouve son rôle
primordial et sert uniquement la vie, les battements du cœur, la respiration...
J’ai
choisi de publier un texte rédigé par Dominique Lacroix avant de publier le message de "Dame papillon" parce qu’il explique très bien comment nous créons
notre vie et combien le fait d’attendre de connaître les prédictions
astrologiques, énergétiques...nous enlève notre pouvoir de création, nous rend
dépendant de l’extérieur.
Ce n’est qu’en acceptant de se prendre en charge, de
gérer ses blessures, ses émotions et ses pensées que l’on peut retrouver sa
souveraineté, créer en conscience sans se saboter. En acceptant de se donner à
soi-même l’amour qu’on donne aux autres en espérant recevoir en retour, en
acceptant d’être responsable de soi, on retrouve son plein potentiel d’humain
divin.
La
guérison des blessures de l’âme est indispensable sinon, nous restons soumis
aux mêmes schémas victime/bourreau/sauveur qui sont ceux de la dépendance.
On ne
peut créer de façon positive, dans ces conditions, il y a aura toujours un retour de bâton douloureux, pour nous amener à libérer tout jugement. On reste soumis à la loi de cause à effet, au karma, à
la dualité.
Lorsqu’on
choisit de vivre à partir du cœur, une restauration est nécessaire afin que les
énergies d’amour puissent circuler librement et harmoniser les
corps, les chakras qui peuvent alors s’aligner au cœur, à la fréquence de
l’amour inconditionnel. On n’est plus soumis au comportement inconscient à
l’action/réaction mais l’unité permet la manifestation instantanée de nos
pensées d’amour de paix, de joie...
La
vision du cœur qui est neutre, permet de voir ce qui est réellement et de
pouvoir agir avec discernement et amour. On sait que l’extérieur reflète l’intérieur et en revenant au cœur, tous nos corps, la pensée, l’action et
l’énergie s’alignent aux fréquences de l’amour, tout se replace
naturellement. Puisque on ne juge plus ce qui est, mais qu’on accepte de voir ce
qui en soi est distorsionné, et qu’on l’enveloppe de l’amour de notre
conscience, la guérison se reflète alors à l’extérieur. Les situations, les
gens s’alignent à cette fréquence amoureuse et lumineuse. Même quand ils
restent dans leurs schémas de conflit, on n’est plus affecté puisqu’on accepte
l’idée que chacun est libre et responsable de lui-même.
Lydia Féliz |
La
libération majeure et indispensable, afin de retrouver son plein potentiel,
c’est celle de la peur qui se réalise par le choix de l’amour, réitéré à chaque
fois que c’est nécessaire. Le cerveau qui est flexible et qui réponds aux
ordres du cœur, ne tarde pas à créer les circuits neuronaux appropriés. Cette
étape dont la longueur dépend du degré de résistance de l’ego, peut être
grandement facilitée par le lâcher prise. C'est-à-dire la confiance en l’amour,
au divin intérieur, la bienveillance de la vie et de la source.
Quand on se
rend compte qu’il n’y a aucun ennemi à l’intérieur, on retrouve la confiance en
soi, la vraie, qui ne dépend pas de la comparaison ou des interactions avec
l’extérieur. C’est sur cette base solide que l’on peut ensuite voir l’autre
comme un être d’amour et de lumière dont on a aucune raison de se méfier
puisque personne n’a de pouvoir sur soi. Personne ne peut choisir à notre
place. Et lorsqu’on se sent influencé par l’entourage, en revenant à soi, à la
foi que nous créons nous-même notre réalité, on retrouve sa force. Il n’y a
plus besoin de se protéger de l’extérieur mais de notre propre manque d’amour
de soi. Puis comme l’acceptation de ce qui est, resitue naturellement dans le
cœur, l’énergie de l’amour/lumière nous préserve de tout danger.
Cette
connaissance que l’autre me renvoie une part de mon ombre, m’amène à voir ce
que j’essaie de cacher inconsciemment et lorsque j’en deviens consciente, la
guérison est réalisée à 50%. Il me suffit ensuite d’accueillir l’émotion, de
libérer l’énergie pour que l’ombre devienne lumière et qu’elle amplifie l’amour
de soi, la puissance d’être.
On
retrouve son pouvoir créateur lorsqu’on décide d’être responsable de soi, qu’on
cesse d’accuser l’extérieur ou soi-même. Qu’on prend conscience que l’ego est
trompeur, qu’il n’est pas notre identité et surtout que nous ne sommes pas
obligé de le croire, de lui obéir. Notre conscience est souveraine et en lui
redonnant le pouvoir de diriger notre vie, c’est alors le divin intérieur qui régit
tout par l’amour.
Il nous
suffit de rester en notre cœur, de suivre notre intuition, sans douter de sa
bienveillance ni de la pertinence de ces inspirations. Seul notre mental a
besoin de comprendre mais lorsqu’on place sa confiance en la source qui est en
soi, le doute est l’expression de l’inconnu. La peur révèle quelque chose de
nouveau, un nouvel horizon qui s’ouvre à soi.
Seul
l’ego interprète en bien ou mal et c’est ce qui lui donne du pouvoir sur nous.
Tant que nous croyons devoir nous situer d’un côté ou de l’autre, nous sommes
régit par la peur, le jugement, l’inconscient qui est alors dirigé par l’ego,
et qui obéit à la nécessité de "détruire" l’autre pour exister.
En
choisissant l’amour, on autorise consciemment le cœur à commander tous nos
corps. L’harmonie s’installe en profondeur et on a le pouvoir d’agir au lieu de
réagir. On est plus en mode défensif mais actif.
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Les
vieilles croyances sont encore bien ancrées et à moins de faire l’expérience
par soi-même, de la délivrance qui découle de l’abandon du jugement, de la
notion de bien et de mal, on reste soumis à la loi du plus fort, à l’ego et
au conflit intérieur.
Mais en
cette deuxième année de l’ère nouvelle et par le constat des énergies
spécifiques du papillon que nous avons amenées, appelées à nous, tout espoir de
voir la paix s’établir dans les cœurs et sur la terre, est permis !
Nous
portons tout en nous-même et c’est dans notre choix que nous exerçons notre
pouvoir divin !
Je m’en
vais renouveler mon alliance éternelle avec la "terre mère", "le ciel père"; la source,
mon âme et ma présence divine afin de commencer la journée dans le désir de
vivre à partir du cœur, guidée par le divin intérieur.
En me
connectant aux énergies du papillon, par deux fois, ce sont des papillons bleus
qui sont apparus ! J’y vois le soutien de l’énergie masculine, la
nécessité d’être déterminée dans mon choix de libération et en même temps, celui
de l’énergie féminine, maternante, pour continuer de prendre soin de l’enfant
intérieur.
J’ouvre
mon cœur afin qu’il déverse l’énergie d’amour inconditionnel guérissant ainsi
mon âme de tous les traumas vécus dans les vies antérieures et les blessures
occasionnées dans les chakras correspondant, afin que les talents et dons, acquis
au fil de ces expériences, reviennent à ma mémoire et soient réactivés.
Je parle
souvent des blessures de l’âme en occultant complètement le fait que ce sont
ses expériences qui m’ont permises d’acquérir des connaissances et la maitrise
de certaines énergies.
Je vais
certainement choquer plusieurs d’entre vous mais j’ai envie de partager cette
vidéo. On a beaucoup d’à priori, d’images toutes faites sur ce que
sont la sagesse, le divin...on pense à tort que le sage est celui qui brille
de connaissance, qui montre avec sérieux, dans des postures spécifiques, ce que c’est
que d’être sage et divin.
Pourtant, selon mon expérience, la sagesse est portée
par la joie, la légèreté, l’authenticité, la simplicité... Elle ne s’encombre pas
de postures rigides ou de costume bien apprêté, du langage même de la CNV, mais s’exprime dans l’élan
spontané d’un cœur pur et enfantin, qui fait fi de tout jugement extérieur et intérieur. Les animaux,
les enfants et les humoristes en sont les porteurs naturels...Merci Môssieur
pour cette belle sagesse...
Dieudonné
M’Bala dans l’un de ses plus beaux sketchs :