Lydia Féliz |
Je
ressens beaucoup d’opposition depuis hier après midi. Rien de spécial n’est arrivé,
rien qui aurait pu déclencher une perte d’énergie, une descente vibratoire. A moins
que ce ne soit un processus inconscient stimulé par la lecture du livre de Véronique Baudoux; "Divine sexualité ". Je perds l’appétit,
ressens le besoin de jeûner, de plus en
plus souvent. J’ai comme un poids sur l’estomac, comme un blocage
énergétique qui persiste. J'ai la chance de savoir plus ou moins bien lâcher prise
et d’y penser au moment opportun mais il semble que ça ne soit pas suffisant
pour retrouver le sourire. Est-ce la réponse à toute cette débauche de produits
plus sucrés et emballés dans des matières plus flashantes les unes que les
autres, qui sont exposés bien en vue, dans le supermarché ? Ou bien les
images de la barbarie des humains envers les animaux sur lesquelles je tombe en
allant sur Facebook ? J’ai d’ailleurs arrêté de suivre la page de Michèle
Végé, son nom résume la cause qu’elle défend, ça me plombait le moral ! Oui,
il faut alerter les gens sur ce qu’ils mangent, la façon dont ils se
nourrissent de violence, de peur, de mort, de toutes les perversions humaines,
mais rester scotché dessus, rien de tel pour se laisser envahir par tout cet
égrégore primitif et morbide. Je ne risque pas de remanger de la viande ! Les
images ont toujours eu un fort impact sur moi. Je n’ai jamais pu voir un film d’horreur
ou de crimes ou tout autre scénario qui reproduit les schémas les plus sordides
de l’humain ; j’ai eu ma dose et sait parfaitement de quoi est capable
quelqu’un qui souffre, au point de penser qu’il soulagera sa douleur en faisant
souffrir autrui. Certainement pour me guérir de toute cette pollution, j’ai
passé deux heures à trier des photos de fleurs que je n’arrive toujours pas à "vendre". Le manque de confiance en soi et le sentiment de faire quelque chose
de banal persiste.
Je ne lis plus les messages qui annoncent la venue
imminente, enfin depuis près de 20 ans, de flottes extra-terrestres qui vont
venir secourir l’humanité. Non pas que je n’y crois pas, il est évident que
nous ne sommes pas seuls dans l’univers mais j’ai remarqué que très souvent,
ils se multipliaient quand nous recevions des vagues de lumière intenses qui
amènent chacun à contempler ses ombres, ses peurs, son insécurité face à l’avenir...
Je me
rend compte depuis un certain temps déjà, que la solution est en soi et qu’il est
beaucoup plus adéquate de se tourner vers son propre monde afin de libérer ce
qui n’est pas de l’amour plutôt que d’attendre que le monde change et ces
annonces me font toujours le même effet. Partagée entre la certitude que le
travail est à faire en soi et le désir que cesse la barbarie, l’inconscience de
l’humanité.
L’idée d’un
sauveur est toujours attrayante mais elle déresponsabilise, maintient dans l’impuissance,
l’ignorance de son propre pouvoir. Comme celui-ci ne peut s’exercer sur l’extérieur,
les frustrations sont grandes et amènent à nier son potentiel créateur.
S’imaginer
qu’on peut changer le monde sans passer par une épuration de son monde
intérieur, c’est encore penser en "mode 3D" où la loi du plus fort a toujours
prévalu. Il est clair que c’est encore la règle mais ça n’est certainement pas
en étant dans l’attente d’un sauveur, de voir la justice rétablie, les « méchants »
punis, que les choses peuvent changer. On reste dans les mêmes schémas, basés sur
le modèle patriarcale qui veut que l’ignorance des uns soit gérer par la
supériorité intellectuelle, mentale d’une élite paternaliste aux cheveux blancs.
La paix
sur terre ne peut venir par la contrainte, la soumission des uns sur les
autres. Ce modèle engendre toujours des injustices, des frustrations, des
révoltes. A moins que chaque individu prenne conscience de sa vraie nature de
son potentiel et ne retrouve sa souveraineté en usant tout autant de sa
conscience éclairée que de l’intelligence du cœur, le monde continuera de subir
la violence qui nait du rejet des différences, de la peur et de l’insécurité.
Le jugement
qui découle le la vision bien/mal, de la croyance en la séparation a toujours
été à l’origine des conflits intérieurs et des guerres dans le monde. Il n’est
pas nécessaire d’être diplômé en histoire des civilisations ou encore psychologue pour s’en rendre
compte !
Tant qu’on
juge, tant qu’on accuse, on maintient la violence, l’injustice, l’illusion de
la séparation, pourtant l’humanité est Une, ne serait-ce que dans ses aspirations
les plus profondes. Chacun veut le bonheur, chacun recherche l’amour mais ce
qui fait le malheur de l’humain c’est de se tourner vers l’extérieur pour
assouvir ses besoins vitaux. Je m’inclus dans le lot même si en prenant
conscience de mon pouvoir, petit à petit, je vais vers plus d’autonomie.
Selon
mon expérience, ce n’est qu’en accueillant dans l’amour total, tous les aspects
« dérangeants » de ma personnalité, que ma vie s’améliore. Tout ce
qui est aimé se révèle sous un nouveau jour et c’est uniquement de cette façon
qu’on devient conscient de sa nature véritable, de ses origines et qu’on
retrouve sa souveraineté.
Accepter
d’être puissant tout autant que fragile, lumineux tout autant que sombre,
immense et infini tout autant que contraint par les limites du mental, du corps
et de l’inconscient, de porter autant l’amour que la peur...permet de s’éveiller,
de devenir conscient et de retrouver sa souveraineté.
Tant qu’on
agit à partir de son mental, qu’on se limite à sa vision, on reste coincé dans
le cadre de références qui lui permet de survivre. On reste soumis à la peur,
répétant les schémas du passé et craignant l’avenir.
J’ai un
peu la flemme d’écrire ce matin et je m’en vais accueillir des émotions. Je
partage avec vous cet exercice de libération de la colère d’Inelia Benz :
« Plusieurs
d’entre nous sommes réticents à traiter ou à libérer la colère. C’est parce
qu’elle est d’une telle puissance que nous pensons que, si nous la perdons,
nous ne serons plus en mesure de nous défendre ou de défendre les autres. Bien
qu’elle ait pu aider des gens à se sortir de la dépression ou de relations
abusives, la colère n’est pas la seule alternative.
En
réalité, la colère est un degré au-dessus de la peur. Elle a la couleur de
l’énergie de la peur, mais d’un ton plus prononcé et c’est de là que l’ombre
prend naissance. Elle est en fait, très destructive, tant pour nous que pour
les autres autour de nous.
Donc, il
y a deux croyances dont il faut se libérer. La première est de croire que si
nous libérons la colère, nous deviendrons plus vulnérables; et la seconde
est que la colère est nécessaire pour appuyer nos convictions.
Maintes
fois, c’est notre colère qui nous propulse à faire quelque chose, pour cesser
une guerre, par exemple. Et souvent, il n’y a que la colère pour nous faire
entendre et nous faire comprendre par ceux qui nous mènent par le bout du nez
ou qui nous marchent sur les pieds; ils cessent alors d’agir ainsi. Et
c’est une bonne chose. Mais une fois que nous aurons contacté notre pouvoir,
nous n’aurons plus besoin de la colère pour nous exprimer, puisque nous aurons
alors de meilleurs outils pour le faire.
La
colère peut nous amener à perdre notre sang froid. Quand nous perdons notre
calme, nous pouvons blesser d’autres personnes émotionnellement,
psychologiquement ou physiquement. Nous perdons notre contenance, notre équilibre.
Dès
notre jeune âge, on nous apprend à contrôler notre tempérament, à dompter et à
réprimer notre colère. Cela est aussi négatif. Devenir libre implique de
reconnaître et de libérer notre colère envers notre vie, notre sort, notre
situation et envers les gens qui nous ont blessés ou rejetés.
La
colère comme la peur est une émotion destructive. Lorsqu’elle est réprimée,
elle a une emprise sur nous et peut éclater à tout moment.
Au cours
du processus ascensionnel, la colère nous maintient à un niveau vibratoire
inférieur.
Et voilà
un point très intéressant. Plusieurs personnes m’ont demandé comment augmenter
leur capacité à percevoir leurs guides, leur Soi supérieur, leurs anges; ou
encore comment communiquer avec des êtres de lumière d’autres dimensions, ou
avec des extraterrestres par exemple. Il y a deux blocages fondamentaux qui
nous empêchent de communiquer avec eux: le premier est la PEUR, le second est la COLÈRE.
Et oui !
Ça prend plus que des capacités psychiques pour contacter ces êtres, bien qu’ils
puissent toujours nous rejoindre par les rêves, les synchronicités ou autres
moyens. Mais cela est difficile autant pour eux que pour nous. Une personne
bien branchée peut facilement contacter ces êtres. Mais imaginez ce que l’on
pourrait accomplir sans nos blocages. On ne se laisserait pas tromper ni
affecter par la négativité de certains êtres.
Bien
qu’une première étape soit de libérer les peurs, la seconde en importance est
de libérer la colère.
Donc, si
vous le voulez bien, passons à l’exercice de libération de la colère. Celui-ci
est très simple et similaire à celui de la libération de la peur.
Vous
pouvez effectuer cet exercice à n’importe quel moment ou lorsque vous ressentez
de la colère.
Pour de
meilleurs résultats, il est suggéré de faire cet exercice dans un endroit calme
et privé.
Asseyez-vous
ou étendez-vous confortablement en tenant votre dos droit, puis fermez les
yeux. Prenez une grande inspiration abdominale, tranquillement, puis expirez le
plus rapidement possible. Répétez : inspirez lentement, expirez rapidement. En
tout, 3 fois. Vous pouvez maintenant recommencer à respirer à un rythme
régulier.
Scannez
votre corps, de la tête aux pieds, pour trouver l’énergie de la colère.
Cherchez
où est logée votre colère. Si vous ne la trouvez pas, scannez votre corps à
nouveau, de la tête aux pieds.
Une fois
que vous avez repéré la colère dans votre corps, il faut tout simplement
l’observer. Ne l’analysez pas, observez-la. Permettez-lui d’être présente et
d’exister. Permettez-lui d’être et de grandir.
La
colère peut se manifester par de l’inconfort, comme un nœud, un malaise ou une
douleur à un endroit précis, ou encore par une pensée ou un souvenir. Il se
peut que ce soit seulement le sentiment de colère.
Observez-la.
Ressentez-la.
Autorisez-lui d’être là.
Dites-lui
: «Colère, tu es la bienvenue. »
Accueillez-la
et laissez-la grandir.
Grandir
de plus en plus.
Sentez-la.
Permettez-lui d’être présente.
Laissez-la
grandir et grandir le plus possible.
Autorisez-la
à devenir aussi grande que possible.
Autorisez-la
à s’exprimer à l’intérieur de vous.
Mais ne
l’analysez pas.
Il
suffit de permettre, à tout ce qui vient, de se manifester.
Tout
simplement, permettez, à ce qui peut survenir.
Que ce
soit des mots, des pensées, des souvenirs.
Suivez
l’évolution, même si ça change d’émotion ou d’endroit dans votre corps.
Peu
importe ce qui arrive, dites : « Tu es la bienvenue, je permets aux émotions de
se manifester, aux mots de monter, aux souvenirs de refaire surface. Colère, tu
es la bienvenue. »
Regardez-la.
Observez-la.
Maintenant,
autorisez-vous à vous en approcher et à l’accueillir à bras ouverts, peu
importe la forme par laquelle elle a choisi de s’exprimer.
Donnez-lui
de la lumière et de l’amour, et permettez-lui d’exister.
Remerciez-la
pour ce qu’elle vous a permis d’apprendre. Remerciez-la d’avoir été avec vous
depuis si longtemps.
Maintenant,
libérez-la dans l’Unité, dans l’Infini. Permettez-lui de retourner librement à la Source.
Inspirez,
expirez, profondément. Pendant que vous inspirez, faites-le dans la Lumière et l’Amour.
Lorsque vous expirez, laissez cette Lumière et cet Amour remplir les espaces où
il y avait de la colère dans votre corps. Répétez jusqu’à ce que tous les
espaces soient remplis d’Amour et de Lumière. À la fin, laissez cette Lumière
et cet Amour se répandre autour de vous, dans votre environnement immédiat et
élargi.
Maintenant,
scannez votre corps de vos pieds jusqu’à votre tête, et vérifiez s’il reste de
la colère en vous. Si oui, répétez l’exercice. Si non, vous pouvez refaire
l’exercice plus tard. Terminez maintenant en ouvrant vos yeux et en vous
étirant tranquillement dans tout votre corps.
Répétez
cet exercice tous les jours jusqu’à ce que vous ne ressentiez plus de colère
dans votre vie. Chaque session est valable non seulement pour vous, mais
également pour le collectif humain tout entier ».
Source
: Ascension101.com
J’ai
fait un mélange, une synthèse des exercices proposés par Darpan, Inelia Benz, Isabelle Padovani et Yann Thibaud, en dialoguant autant avec le divin intérieur qu’avec
l’enfant et ses gardiens que je viens de remercier sincèrement d’avoir protégé
loyalement ce petit être fragile, quand ma personnalité humaine n’avait pas les
moyens de le faire, préférant s’évader du corps physique.
Je n’ai pas insisté
pour qu’ils s’en aillent, j’ai pris conscience qu’il était tout à fait juste qu’ils
maintiennent une certaine vigilance et j’ai senti une décrispation au niveau du
plexus et du chakra de la gorge.
C’est là que la colère de l’enfant intérieur s’est
logée tout naturellement, puisque le silence et la soumission lui étaient
imposés par l’extérieur.
En
comprenant les mécanismes de défense que les gardiens ont mis en place, j’y
vois beaucoup d’amour, de loyauté, de fidélité, qui me remplissent de gratitude et
en les voyants comme des amis et plus comme des ennemis, empêcheurs d’accéder
au bonheur, la sérénité intérieure et le sentiment d’unité, diminuent considérablement
les douleurs physiques. Il me faut maintenant gagner la confiance de ces
protecteurs et c’est par la patience, en associant leur résistance au fait qu’ils
prennent leur rôle très à cœur, que celle-ci sera acquise.
Les douleurs et crispations ressenties, lorsqu'on comprend que c'est l'énergie de vie qui cherche à pénétrer les chakras et qu'il n'y a donc derrière ça, aucune manipulation intérieure, due à des mauvaises entités ou même extérieure, on peut alors les considérer comme des appels aimant de la source, des invitations à guérir, en ouvrant les portes des centre énergétiques, par l'accueil, on ne peut que s'ouvrir à l'amour et l'amplifier en soi.
4h30, je
vais aller me recoucher afin que tout ce petit monde puisse se reposer!
Photos de fleurs du jardin, de ma confection que vous pouvez utiliser en citant la source: "Journal de bord d'un Humain Divin comme Tout le monde"