jeudi 28 novembre 2013

La liberté de choisir...vidéo "naissance d'un dauphin"


"Je m'ouvre à ma lumière" Facebook (c'est laissé volontairement dans ce format, même si ça rend la photo trouble)


L’être humain capable de penser a le pouvoir de choisir. Selon ce que je croie, l’âme, la présence divine co-créent une personnalité humaine afin que celle-ci puisse s’exprimer librement au travers d’un corps physique. Dans ce monde remplit de contraste où coexistent plusieurs dimensions, l’humain peut choisir à tous moments ce sur quoi il portera son attention. Il peut choisir ses croyances qui détermineront sa vision des choses. Comme nous sommes essentiellement des êtres vibratoires, constitués d’énergies, chaque cellule, chaque organe, chaque corps se nourrit d’énergies plus ou moins lumineuses, vivifiantes qui lui donneront une vision particulière des événements de sa vie.
Nous naissons puis mourrons et dans ce laps de temps nous expérimentons toutes sortes d’émotions, de pensées, d’états et avançons, grandissons selon ce qui nous attire, selon ce qui fait sens, ce qui nous motive. A tout moments nous avons le choix soit de voir les aspects sombres d’une situation, soit de voir ce qui peut nous épanouir. Nous pouvons croire les voix intérieures qui s’expriment selon la peur ou celles qui parlent au nom de l’amour ou bien nous pouvons nous identifier à cet aspect intérieur qu’on a du mal à nommer, a cerner puisque c’est un état d’être qui ne dépend d’aucune croyance mais dont la présence nous laisse une sensation d’éternité, de plénitude, de joie et de paix.
J’ai choisi de prendre en compte tous les aspects intérieurs et d’honorer chacun d’eux. De les écouter et d’apprendre à les accepter tels qu’ils sont en considérant qu’ils ont tous une raison d’être et recherchent le bien-être.
Je tente de les harmoniser sur la fréquence de l’amour puisque c’est en cette vibration que ma vie devient agréable, sereine et joyeuse. J’ai constaté qu’en accueillant ce qui vient avec attention et acceptation, une pensée sombre s’éclaire, une émotion lourde s’allège et lorsque je choisi d’envisager ce qui est, avec amour,  je ressens un bien-être né de la cohérence intérieure.

Eileen Caddy (oui, c'est un peu falshy!)

Bien que je sache que la mort du corps physique soit inéluctable, je me plais à croire en l’éternité de l’esprit, de la conscience et le fait de savoir que je suis divin tout autant qu’humain, me permet de trouver l’équilibre. J’ai expérimenté deux façons de voir la vie celle à partir de la peur et celle à partir du cœur. 
J’ai choisi de nourrir ma foi en l’amour et de porter mon attention sur la beauté du monde, celle des êtres vivants, sans pour autant nier les atrocités et tout ce qui est créé à partir de la peur et de la haine. Mais j’ai décidé de ne plus nourrir les pensées morbides et mes gestes se conforment peu à peu à ce souhait, cet élan du cœur.

Ma raison d’être, c’est la joie l’enthousiasme et la sensation de bien-être produite par l’harmonie intérieure. C’est en étant dans le juste milieu que je trouve la paix et je tente de le trouver en toute chose afin d’avancer avec légèreté, de combler les besoins de tous les aspects de ma personnalité en ayant conscience que je dois faire des choix, établir des priorités. Il ne s’agit pas de se positionner dans le bien ou le mal mais de maintenir un état intérieur serein et optimiste.
L’être humain a la capacité de créer, de rêver et de concrétiser ses rêves. Ce potentiel nous permet d’imaginer une forme d’idéal et de chercher à l’atteindre. Je pourrais m’attarder sur les horreurs du monde, la violence, la misère mais j’ai choisi de porter et de rayonner l’amour sur toute chose et avant tout en moi-même.
On peut poursuivre un idéal très élevé sans pour autant se sentir au-dessus des autres, sans perdre le sens du respect de l’autre et de ses choix. En se fixant des objectifs ont focalise son attention et son intention sur ce qui nous permettra de les atteindre. En libérant la peur de l’échec, le besoin de réussir et en ayant pour objectif premier, dans l’instant présent, d’être en paix et en amour avec soi-même, en cohérence, en harmonie, on libère toute pression. Le caractère éphémère des choses et de la vie, libère de la gravité sans pour autant tomber dans « l’à quoi bonnisme ».

On peut tout à fait définir des objectifs tout en vivant le moment présent. Donner un sens à sa vie sans chercher à contrôler ce qui est, mais en se laissant guider par le ressenti, le cœur, l’intuition. J’ai constaté qu’à chaque fois que je suis l’élan de mon cœur, je me sens bien et même si ça peut tout aussi bien être le résultat d’une forme de cohérence mentale, comme je ne rejette pas cet aspect de ma personnalité bien qu’elle soit mortelle, éphémère et illusoire au regard du divin, ça n’a aucune importance. Puisque ce qui compte avant tout, c’est d’aimer, de m’aimer, d’aimer la vie et d’aimer toute vie, d’être en accord avec soi-même.
Facebook, j'ai oublié de noter le nom de la page sur laquelle je l'ai trouvée
Le fait d’avoir formulé mes choix, d’affirmer vouloir vivre dans la paix, l’amour, la joie, la liberté, l’harmonie et l’abondance en toute chose, ne signifie pas que j’ignore tout ce qui est opposé ou que je ne vais pas rencontrer d’obstacle. C’est juste une façon de choisir les énergies que je veux porter en moi et de « réagir » à ce qui est.
Je définis la façon dont je veux avancer et interpréter ce qui est, parce que ça correspond à mes rêves, mes aspirations, mon idéal de vie, mes préférences.
Comme j’ai constaté que mon état d’esprit dépendait de mes croyances, je choisi de croire au meilleur, à ce qui me fait vibrer, ce qui me donne de la joie mais ça ne m’empêche pas d’être lucide. Bien que je puisse choisir ma façon d’interpréter les choses, je sais que je ne peux pas les contrôler et ça n’est pas mon objectif.
J’apprends à être capable d’accepter ce qui vient, de voir le côté impermanent et changeant de la vie comme une chance, quelque chose qui libère de la routine, de l’ennui, qui permet la nouveauté, le changement, l’évolution. Là encore, libérer la peur de la perte, de la mort, par ma foi en l’aspect divin éternel intérieur me permet d’envisager la vie avec beaucoup plus de légèreté.
La mort n’est en fait qu’un passage d’un état à un autre et je la vis régulièrement, chaque fois que je libère une croyance douloureuse, restrictive et limitante.
Plutôt que de rejeter ce qui me déplait, j’apprends la loi de permissivité au travers de ces choses. La liberté d’être que j’accorde aux autres et en rapport directe avec celle que je m’autorise à vivre et inversement.
Face à quelque chose qui me dérange, je laisse exister la première réaction issue de la peur, qui se manifeste en colère, en sentiment d’injustice, puis en faisant cela, peu à peu ma vision change.
Non par résignation ou conformisme, simplement par le fait que l’acceptation de ce qui est permet à l’énergie d’amour de se diffuser et de détendre, décrisper ce qui en moi s’est senti agressé. La sensation de détente, de bien-être retrouvé, ma vision devient plus neutre, moins colorée et le mental retrouve son calme. Je peux alors avoir un certain recul sur la situation et en l’acceptant, elle ne m’affecte plus, même si elle perdure. 
En général, dès que je lâche prise, que je cesse de me sentir victime, le problème n’en est plus un. Une fois que j’ai interprété ce qui est arrivé, que j’y ai trouvé un sens, une raison d’être, le mental se repose. 

Suren Manveylan

Il m’importe peu de savoir si mon interprétation est juste, ce qui compte c’est la sensation d’harmonie et de paix intérieures retrouvées. Ce qui est juste pour moi aujourd’hui, deviendra obsolète demain et en sachant cela, en connaissant la façon de fonctionner du mental à travers des croyances, je n’y attache pas d’importance.
Les croyances changent au fil de la vie, des expériences, mais la foi en l’amour s’épanouit à mesure que je laisse cette énergie grandir en moi par l’acceptation de ce qui me traverse.
Même si parfois, je me dis que tout le blabla intérieur est juste une suite de film du mental, une façon d’occuper le temps, je continue de jouer le jeu et de le rendre plus tendre et joyeux.
Même si mon interprétation de mon passé de mon vécu n’est pas la vérité, ce qui compte c’est que ça fasse sens à l’intérieur et qu’ainsi je sorte du rôle de la victime.
J’ai choisi de me fier au ressenti intérieur à la lecture des enseignements du christ, à la résonance et de suivre ce feeling en même temps que ma foi en l’amour, l’énergie de la source qui est la structure de base de tout ce que je suis.
Même si pour la majorité des gens, l’amour est une utopie et même si j’ai vécu des déceptions dans ce domaine, je continue de vouloir y croire en dépit de l’état apparent du monde.
Ma vérité, est celle que je ressens en mon cœur et tous les raisonnements contraires aussi logique soient-ils, ne m’enlèveront pas ma foi en la puissance de cette énergie, au fait quelle est au fond de chaque cœur humain et que le rêve participe à l’évolution, à l’établissement d’un monde meilleur. 
Comme je suis responsable de mon propre monde intérieur et uniquement de celui-ci, je me contente de l’harmoniser par l’acceptation de toutes les facettes de ma personnalité, l’association du cœur et de l’ego et de tous mes corps. Mon seul objectif, c’est de les maintenir sur la fréquence de l’amour. Mon ambition c’est de réaliser mes rêves afin de vivre ma vie selon ce que je suis en vérité, un humain divin multidimensionnel, venu expérimenter l’unité sur cette magnifique planète.

Voici une vidéo qui m’a ouvert le cœur, remplie de joie et d’optimisme. Même si cette vie prendra fin un jour, je ne cesse de m’émerveiller devant la naissance, la beauté et c’est sur le renouveau que je souhaite me focaliser. Appréhender la vie comme un enfant le fait, voilà ce qui me permet d’être bien dans tous mes corps et de voir les choses sous un aspect divin, lumineux et amoureux.  

« Naissance d’un dauphin » vidéo trouvée sur le site Epanews