J’ai
écris hier, une partie de ce qui suit, mais je n’ai pas eu le temps ni l’envie
de venir sur le blog. La phrase « Il est important de s’écouter en toute
chose et de penser à soi, premièrement », revient fortement, ce matin. Bien
que je me sente naturellement portée à "aider", à témoigner de ce que je
ressens comme vrai, ça comporte tant de pièges que je suis heureuse de m’en
détacher. Je ne doute pas de ce que je reçois mais de l’interprétation que j’en
ai. En effet, la drôle d’expérience d’avant-hier n’était peut-être pas tout à
fait ce que j’en ai pensé. Il s’agissait peut-être du personnage du "sauveur
intérieur", qui s’est manifesté et que j’ai libéré.
Remarque la théorie selon
laquelle nous attirons des énergies correspondantes à nos propres "personnages
intérieurs", n’est pas totalement fausse non plus. Selon la loi d’attraction, ça
semble logique. Ce n’est pas par hasard si les points de douleur étaient situées
aux endroits où les clous ont été plantés.
C’est certainement la force du
symbole qui est à retenir ici. Je ne me prends pas pour le Christ mais quelque
part, la tendance à vouloir "sauver" est illustrée dans cette expérience. C’est un des "pièges" dans lequel tombent
beaucoup de personnes dont le cœur est ouvert.
D’un autre côté, ce penchant à vouloir
tendre la main, à tout le monde, peu importe son origine, sa forme, sa couleur,
sa fréquence, ses actes et ses pensées, n’est pas non plus complètement "négatif".
Il y a là, un élargissement de cœur par l’intégration de l’amour
inconditionnel. Je vois en tout ça, la nécessité d’équilibrer et de clarifier
les choses. Chacun est habité par les énergies christiques mais celles-ci ont pour "but", de nous amener à nous élever nous-mêmes, au-delà de la dualité. Même
si je le comprenais en théorie, il me fallait aller encore plus loin dans la
libération des fausses croyances à ce sujet.
Que ce soit des âmes égarées qui m’ont
approché, n’est pas à remettre en cause mais celles-ci ont été attirées par mes
propres croyances. Oui, je me répète mais c’est pour que ce soit bien clair
autant pour moi que pour vous qui lisez. En les libérant, en leur parlant, j’ai
libéré premièrement le "sauveur intérieur" et par résonance, tout
ce qui pouvait s’y rattacher. C’est par l’affirmation de ma volonté de libérer
ces énergies, que le processus a été bénéfique.
L’intention de le faire sans
jugement, pour mon bien-être passant par celui des autres, est encore une façon
de se refuser de faire les choses pour soi-même. De croire que je ne mérite pas
cette délivrance pour moi seule. Mais mon plus grand pouvoir naît de l’intention
sincère de m’aimer sans conditions, simplement pour qui je suis et non pour ce
que je fais. Là où c’est utile aux autres, c’est simplement par le fait que
nous soyons inter-reliés. Mais y penser, c’est déjà se positionner en sauveur.
(écrit
hier) :
« Avec
un peu de recul, je m’aperçois que le processus d’ouverture de conscience est
toujours à peu près le même. Il commence par un désir, un appel d’unité, par
exemple, d’intégration des polarités. Je fais donc cette demande auprès du divin
intérieur et juste après, des ombres enfouies surgissent de l’inconscient ou d'ailleurs, afin
d’être vues et embrassées.
Le truc, c’est de ne pas opposer de résistance,
d’arriver à accepter ce qui est. C’est bien souvent là que je bloque le
processus mais quand j’y arrive, il s’en suit une meilleure compréhension, une
dimension inconnue du monde invisible qui se révèle. Quand je parle du monde
invisible, j’inclus l’inconscient, les émotions, tout ce qui est plus ou moins
caché ou refoulé. Même si je n’arrive pas à accepter, à lâcher prise, je
comprends au moins mieux ce qui bloque et c’est déjà un pas en avant, une
connaissance de soi approfondie. Il faut que j’arrive à me souvenir de cette
équation.
Appel à
la lumière= ombre révélée= cœur plus ouvert= ouverture de conscience.
Le
moment où l’ombre est mise en évidence, c’est là qu’il faut que je me souvienne
que les émotions qui surgissent dont la peur, sont l’annonce de quelque chose
de positif, de nouveau qui va élever ma fréquence vibratoire. Il est logique
que l’inconnu fasse peur et l’accepter permet de lâcher prise et d’être en
mesure de recevoir. Même si ça fait un peu « l’âne qui avance avec la carotte »,
peu importe, c’est quelque chose que le mental devrait accepter. Il faut
parfois « ruser » avec lui !
Depuis
hier, j’ai vraiment la sensation d’avoir élevé ma vibration, d’être beaucoup
plus légère. Un truc aussi c’est qu’avant de recevoir un éclairage sur les
aspects invisibles, ou divin de moi-même, je suis toujours poussée à m’ancrer.
Comme le fait de faire du ménage, d’aller au jardin, d’avoir majoritairement des
activités très terre à terre et de mettre les chaussettes « anti dérapant »
qui me permettent d’être au contact direct avec le sol, afin de créer un
équilibre, de ne pas être trop troublée par ce que je reçois. Comme si le fait
d’arriver à bien gérer les choses du quotidien en étant présente à celui-ci, représentait
une ancre.
La
journée d’hier m’a permise de me détacher de l’ordi. Il y a un piège certain
dans le fait d’être trop dans le monde virtuel. Encore une question
d’équilibre. En tout cas, la période est vraiment dédiée à l’intégration de la
notion d’harmonisation. Le mental conçoit de plus en plus facilement le fait
que l’ombre et la lumière soient complémentaires, tout comme le masculin et le
féminin.
Je ne
cherche plus à savoir si ce que je publie ici a un sens pour le lecteur, je
suis mon inspiration même s’il m’arrive encore de me demander à quoi ça rime et
surtout pourquoi mon âme me pousse dans ce sens. Même si je porte encore un
regard critique qui est amplifié par les commentaires "négatifs", que mon
propre regard sur moi-même, attire.
C‘est
marrant comme ça s’est arrêté. Encore une confirmation de la loi d’attraction.
Il faut dire que j’ai envoyé beaucoup d’amour sincère aux personnes qui les ont
écrites. Certainement que ça a dû avoir un impact tout comme le fait de m’être
un peu plus imposée dans le monde réel. Sans violence, juste parce que je suis
ce que je suis.
C’est
difficile de s’aimer simplement parce que l’on existe, sans avoir besoin de
faire des choses pour se trouver des raisons de le faire. Beaucoup de gens,
dont je fais encore partie, souffrent de besoin de reconnaissance extérieure
mais en fait, elle correspond à celui de se sentir valable, de s’accepter
soi-même. Comme s’il fallait se prouver qu’on a de la valeur parce qu’on fait
des choses bien ou qu’on en fait beaucoup. Là encore, la loi du moindre effort
devrait remplacer l’idée de devoir mériter l’amour. L’abandon à l’amour divin,
la confiance en sa bienveillance, au fait que nous soyons au bon endroit au bon
moment activent cet amour de soi.
Bon, je
retourne à mes occupations. Le soleil est de retour et il y a de quoi faire !
J’ai encore eu une petite visite ce matin et j’ai témoigné de ma foi à ces
entités invisibles, sans trop chercher à savoir qui elles sont exactement ni si
j’hallucinais ou pas. De toute façon se rappeler sa foi, ne peut qu’élever sa
fréquence vibratoire. Le résultat a été le même qu’hier, le calme
mental et l’énergie, l’enthousiasme dans l’action!
Je suis
allée m’allonger vers 17h et me suis réveillée à 21h ! Encore un rêve étrange
que j’essaie de ne pas interpréter. Il y avait une ambiance style foire
médiévale à note époque et je me focalise sur l’aspect festif et joyeux, quand
ça revient à ma mémoire. Je sature de trop cogiter, chercher à comprendre. De
toute façon comme je veux arriver à accepter ce qui est...
Quand je
dis accepter, ça ne veut pas dire de se soumettre à l’extérieur, ou encore
s’accrocher à un raisonnement, des pensées,
mais se poser et appeler l’unité, la cohésion intérieure, arrêter de
chercher à comprendre quitte à carrément faire quelque chose de concret, de
plaisant ou d’utile. Passer à autre chose. Se rappeler le désir d’unité, d’accepter
ce qui est, et basta, laisser l’équilibre se faire, en toute confiance. Puisque
l’intervention du mental, le désir de comprendre, est suscité par le doute, lâcher
aussi le raisonnement, permet de se libérer de l’emprise de l’ego ».
(écris ce matin. Je précise afin de montrer que la progression du raisonnement n'est pas si longue)
Le
programme du jour reste le même ; s’écouter, s’aimer inconditionnellement,
s’occuper uniquement de soi, accepter ce qui est, se poser, respirer quand le
mental est confus ou trop bavard, se faire plaisir, se faire confiance, donner
sans réfléchir et accepter de recevoir de la même façon...
Je vais
aller sur un site où je crois qu’on peut vendre ses photos. J’en ai fait près de 400
hier. Les avantages du numérique ! En plus, comme je les recadre presque
toutes...
Je
reviens à ce que je crois vrai dans le domaine de l’autonomie financière. Tant
que je n’aurais pas associé l’amour inconditionnel à ma personnalité, tant que
je n’aurais pas libéré l’idée de devoir, les fausses croyances liées à la loi
du donner et recevoir...
Tant que l’équilibre masculin féminin ne sera pas
acquis et que l’amour inconditionnel ne sera pas totalement présent, inutile de
vouloir "aider" l’autre. C’est déjà tout un truc de gérer ce blog !
Le
soleil radieux et les gouttes de la pluie matinale m’ont certainement préparés
des magnifiques vues que je n’ai plus qu’à immortaliser avec mon petit appareil
numérique. Elle est pas belle la vie, elle n’est pas facile !
Photos de ma collec'. La rapidité avec laquelle le programme les a chargé, contrairement à ces derniers jours, me montre que je progresse dans la confiance en soi. C'est souvent des petits détails de ce genre, tous simples, qui enseignent le mieux.
Merci pour vos commentaires de soutien. Je ne les publient pas puisque je veux libérer totalement le schéma victime/bourreau/sauveur. Merci de votre compréhension.
Extrait de mon "Journal de bord d'un humain divin comme tout le monde" publié ici:
http://lydiouze.blogspot.fr
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