Belle
journée pour commencer par communiquer avec ma présence divine.
Déjà, jour
relié au chakra du cœur. 7, comme les 7 corps, les 7 rayons sacrés.
Jeudi,
comme "je dis", beau jour pour proclamer mon désir de penser, d’agir, d’être dans
mon cœur sacré, de faire scintiller le cristal qui se loge à cet endroit
précis.
5h du
mat’ j’ai des frissons dans cette communication avec toi, présence divine.
Tout
me semble simple clair, évident. Le contact avec toi, spontané, facile,
familier.
Je me rends
compte que la seule barrière que je mets moi-même, entre toi et moi, ce sont les
croyances d'illégitimité, d’indignité.
Comme s’il me fallait être « pur », l’estomac
vide, sans cachets, sans cigarette, pour avoir le droit d’être avec toi !
Des
restes de vies passées, des reliquats des dix ans passés dans l’église de Jésus
christ des... Décidément, la longueur du nom de cette église en dépeint
parfaitement les conditions. Les « sacrifices obligatoires » pour
accéder à la part la plus intime de soi-même, celle qui se loge discrètement
dans le cœur sacré, tout comme dans chaque cellule, dans l’ADN...
Qui anime tout
mon être, des pieds à la tête et même encore plus loin puisque je suis avant
toutes choses, énergie pure.
Maintenant,
je prends conscience que la rencontre avec mes incarnations passées, est
l’occasion de guérir tout ce qui m’empêche aujourd’hui, d’être épanouie, dans
l’abondance financière, d’avoir une vie de couple, une sexualité épanouissante.
Là, la visite du moine cloîtré, ce fameux 21 décembre2012, prend toute son sens et sa guérison est une nécessité. Mais j’y reviendrais plus tard.
Aujourd’hui,
je reconnais ta présence constante, toi présence divine dont le nom contient
toute la réalité du sens.
Je libère ma colère envers la source père mère, pour
le traumatisme vécu lors de cette naissance originelle qui certes a causé des
souffrances, mais que je reconnais aujourd’hui comme un cadeau offert par cette
source éternelle, de pouvoir être à mon tour, entière, complète, autonome et
passer d’enfant de dieu à humain divin créateur conscient, de son quotidien,
guérisseur du passé proche ou plus lointain.
Bien
sûr, il me fallait passer par l’obscurité, commencer à zéro, cette aventure pour être conscient et choisir librement l’amour, en toutes circonstances.
Bien sûr il m’a
fallu comprendre ce qu’est l’amour tel que tu le conçois, tel qu’il est vraiment, tel que tu es toi.
Bien sûr j’en ai souffert mais seule mon manque d'amour inconditionnel envers moi-même et envers toute vie, ma résistance à aimer, m’a maintenu dans
l’ignorance.
Dans l’ignorance de ta présence constante. Dans l'illusion de la séparation.
Moi qui
me croyait seule, délaissée, abandonnée alors que tu suivais chacune de mes
pensées, m’inspirait me guidait et parfois me portait.
Toi qui me faisais
signe, à longueur de journée et moi qui restait aveugle et sourde à tes tendres
appels.
Au nom de la liberté, tu as eu la patience de me laisser errer, de me
croire séparée.
C’est parce que tu m’aimes et respecte ce que je suis, tout ce
que je suis, que tu m’as laissé croire que j’étais une victime. Seule ma vision
limitée de l’amour m’éloigne de toi. Alors qu’en vérité, tu es à mes côtés, en
moi, autour de moi, depuis l’éternité.
Tu me veux libre, sincère puisque rien
ne s’apprend dans la contrainte ni dans la peur. Devant toi, je suis nue, j'ai quitté mes costumes et mes masques, lâché le rôle de la victime, libéré le corps de souffrance.
Puisque l’intelligence doit
venir du cœur, tu as fait en sorte qu’il s’ouvre, dans chacune de mes vies
passées à te chercher, à rechercher l’amour de la source dont je me croyais
coupée, rejetée, exclue.
Aujourd’hui,
je reviens, je rentre à la maison, les bras chargés d’expériences acquises au
fil du temps. Plus jamais je ne veux me croire séparée de qui je suis en
vérité, de toute éternité, une enfant de la source prête à être à mon tour une
source d’amour et de lumière.
J’accueille l’unité, la fluidité, la facilité
puisque tout coule de source, je me place sur la croix, au carrefour de mon
cœur, embrassant l’union de mes corps, fusionnant tout ce que je suis, du plus
dense au plus subtil, du connu à l’inconnu, du parfait à l’imparfait, tout en
UN prête à reconnaître l’unité entre humains.
Je suis, tu es, il est, nous
sommes UN, en somme.
Une
seule et même conscience, un soleil scintillant de milliards de rayons plus ou
moins proches du centre, mais de la même essence, de la même substance d’amour
et de lumière.
Indivisibles, tout comme je Suis UN avec toi, présence divine
éternelle, je suis UN avec ces frères et sœurs humains divins. Je le sais en
mon cœur, le vois avec ses yeux.
Que l’étincelle de la source qui brille en moi, se ravive à chaque souffle, et qu’elle s’épanouisse à chaque battement de cœur. Qu’elle forme un feu de joie inextinguible. Que le soleil en moi brille de mille feux sur tout ce que je suis. Que plus jamais je n’ose nier ton existence, ta présence et me croire séparée de ce que j’ai toujours été.
Je dépose à tes pieds tout ce qui n’est pas amour et fusionne avec toi pour toujours. En ce jour béni, je te dis OUI, je t’épouse toute entière. Embrasse cette matière, d’amour et de lumière.
Parents divins, source de toute vie, je suis en votre cœur, comme vous êtes dans le mien. Je reviens enrichie de milliers de vies qui m’amènent à me dire, je sais ce que je suis. Je vois ce qu’est l’amour, je vois comme vous aimez et je veux à mon tour suivre vos pas, guidé par ma présence, conscience unifiée.
Je t’offre ces entités qui m’ont guidées vers toi, le critique, le juge, la victime, le sauveur, le bourreau, le corps de souffrance, ceux que je reconnais pour ce qu’ils sont en vrai, instructeurs, enseignants, guides. Dont l’apparence obscure a fait luire la lumière éclairant la route qui mène au cœur de tout ce que je suis, de tout ce que nous sommes.
Maintenant que je sais que la lumière et l’amour, c’est toi, c’est moi, c’est nous, que cette amour lumière soit le guide et le cœur de ma personnalité, ici et maintenant, dans cet éternel instant présent.
Je t’offre tous ces mots contraignants, limitatifs, restrictifs. Je t’offre tous ces maux accueillant le nouveau. Reconnaissant l’origine commune de l’ombre et la lumière, issus de la même source d’amour éternel. Que seul mon désir d’unité, de fusion des contraires, m’élève au-delà de toute vision duelle. Que tes yeux soient mes yeux, dans ce jeu de la vie et que la légèreté me conduise en tout temps. Accueillant ce qui est sans plus m’en offusquer puisque tout ce qui est c’est ta main qui le forme.
Je renais à la vie, la vraie et en ce jour décide que ce parcours est un hymne à l’amour, la joie, la liberté.
Voici,
un humain divin dont la mémoire des incarnations passées est présente. Enfin,
au moins une. C’est une belle leçon de foi, d’humilité, de capacité à être dans
le moment présent, dans son cœur. Le cœur d’enfant est si pur, si proche de
l’âme que les lignes temporelles n’ont aucunes portes.
« Un
enfant les conduira par la main » !
Voici donc Tsung Tsung,
dont la vidéo est transmise par Joéliah, dans sa newsletter.
Dommage que dans la troisième séquence, ont imagine le père ou le professeur, lui montrer de sourire...Espérons que ce jeune talent soit respecté et qu'il puisse vivre une enfance simple, loin des projecteurs, des médias...Quoique, si tel est le choix de son âme.
Vous pouvez voir d’autres petits
« prodiges » musiciens dans l’âme.
Encore une belle illustration de la connexion à
l’âme. Ils n’en sont même pas encore conscients pourtant, la preuve est là.
Comme le mental n’interfère pas, que le doute n’a pas sa place, la connexion
directe, est.
C’est pour toutes ces raisons que j’insiste
lourdement sur la nécessité de guérir l’enfant intérieur, de porter son
attention sur cette part de nous-mêmes qui contient aussi l’énergie opposée,
dite positive. Le retrouver, le laisser s’exprimer, ouvre le cœur, accès à
l’âme fermé par nos peurs nos doutes et nos souffrances.
Notre corps mental, notre ego n’est pas à bannir,
à rejeter, il a juste besoin d’amour et de reconnaissance. Tant qu’on veut le
brimer, le faire taire, il se manifestera encore plus fort. Il est une pièce du
puzzle, aussi essentielle que le cœur.
En tant qu’adultes conscients de nos origines divines, nous pouvons l’éclairer par la
lumière de notre être divin et ainsi lui rendre tout son potentiel.
Nous
pouvons l’aimer pour ce qu’il est en réalité, une expression de notre
spécificité, de notre individualité, avide de se sentir inclus dans le
processus de progression d’ouverture de cœur et de conscience.
Si son désir était de nous maintenir totalement
dans l’inconscience, il rendrait les lectures spirituelles inintéressantes. Si
nous sommes en quête de connaissance, de compréhension c’est bien parce qu’il
suit les inspirations de notre cœur.
En reconnaissant sa participation active dans le
processus d’ascension, tout en étant conscient de ses limites et en sachant
qu’il n’attend que notre acceptation pour élargir son cadre de références, nous
laissons la lumière de notre présence divine, l’éclairer. Notre croyance en la
séparation, en l’indignité, notre culpabilité et notre difficulté à nous aimer
entièrement, nous prive de la fusion permanente mais il n’en est pas
responsable.
Je t’accueille en mon cœur, mental ego dit inférieur par manque d’amour.
Tout ce qui me constitue est divin. Même ce qui me semble dense participe à la danse au mouvement de la vie. La créature est à l’image du créateur, elle est son essence. Ni au-dessus ni en-dessous, simplement différents mais égaux face à la source.
A partir d’aujourd’hui, je choisi de croire en
l’unité de tout ce que je suis et m’adresse à ma présence divine comme si
elle était là, en permanence puisque la distance n’est que le fruit de mon
imagination tout comme le temps qui n’est qu’une illusion.
Je ne différencie plus mes corps, ils forment
l’unité que je suis.
Personnalité, âme, présence divine, émotions "positives",
"négatives", pensées "positives", "négatives", tout issu de la même
source, tout en UN.
Phot trouvée dans la presse galactique